Le FVS offre une alternative simplifiée à la VAR, spécialement adaptée aux ligues disposant de ressources financières limitées et d'une infrastructure de caméras restreinte.
Bien qu'il partage des similitudes avec le système actuel d'assistance vidéo à l'arbitrage (VAR), le FVS permet notamment de transférer une partie du pouvoir décisionnel aux entraîneurs, leur offrant la possibilité de contester les décisions qu'ils jugent erronées.
Testé récemment lors des Coupes du monde féminines U20 et U17, le FVS permet aux entraîneurs de lancer jusqu’à deux contestations par match pour des décisions spécifiques, telles que les buts, les pénalités ou les cartons rouges.
Approuvé par l’International Football Association Board (IFAB) plus tôt cette année, la FIFA prévoit d'étendre son utilisation à d'autres compétitions suite aux retours positifs des essais, rapporte L’Equipe.
Contrairement à la VAR, qui repose sur des arbitres situés hors du terrain surveillant le match sous plusieurs angles, le FVS utilise une technologie minimale avec généralement seulement quatre à cinq caméras.
Dans le système VAR, l'entraîneur principal de chaque équipe peut demander la révision d'une décision en faisant signe à l'arbitre, qui visionnera la séquence sur un moniteur de bord de terrain. Un opérateur de rediffusion prendra en charge l’analyse, mais la décision finale appartient à l'arbitre, sans intervention d'un responsable VAR distinct.
Cette configuration permet aux entraîneurs de contester des décisions tout en s'assurant que tous les incidents de match ne sont pas réexaminés. Les contestations sont limitées aux situations clés, telles que les buts, les décisions de pénalité et les cartons rouges. Les entraîneurs doivent utiliser judicieusement leurs contestations, étant limités à deux par match et perdant une contestation si l'examen échoue.
Bien que la VAR soit devenue essentielle dans les meilleures ligues mondiales, son déploiement global a rencontré des obstacles, notamment dans les ligues moins dotées en ressources. Le système FVS vise à combler cette lacune en offrant une solution économique, permettant à la FIFA d'améliorer la cohérence de l'arbitrage à travers le monde.
Bien qu'il partage des similitudes avec le système actuel d'assistance vidéo à l'arbitrage (VAR), le FVS permet notamment de transférer une partie du pouvoir décisionnel aux entraîneurs, leur offrant la possibilité de contester les décisions qu'ils jugent erronées.
Testé récemment lors des Coupes du monde féminines U20 et U17, le FVS permet aux entraîneurs de lancer jusqu’à deux contestations par match pour des décisions spécifiques, telles que les buts, les pénalités ou les cartons rouges.
Approuvé par l’International Football Association Board (IFAB) plus tôt cette année, la FIFA prévoit d'étendre son utilisation à d'autres compétitions suite aux retours positifs des essais, rapporte L’Equipe.
Contrairement à la VAR, qui repose sur des arbitres situés hors du terrain surveillant le match sous plusieurs angles, le FVS utilise une technologie minimale avec généralement seulement quatre à cinq caméras.
Dans le système VAR, l'entraîneur principal de chaque équipe peut demander la révision d'une décision en faisant signe à l'arbitre, qui visionnera la séquence sur un moniteur de bord de terrain. Un opérateur de rediffusion prendra en charge l’analyse, mais la décision finale appartient à l'arbitre, sans intervention d'un responsable VAR distinct.
Cette configuration permet aux entraîneurs de contester des décisions tout en s'assurant que tous les incidents de match ne sont pas réexaminés. Les contestations sont limitées aux situations clés, telles que les buts, les décisions de pénalité et les cartons rouges. Les entraîneurs doivent utiliser judicieusement leurs contestations, étant limités à deux par match et perdant une contestation si l'examen échoue.
Bien que la VAR soit devenue essentielle dans les meilleures ligues mondiales, son déploiement global a rencontré des obstacles, notamment dans les ligues moins dotées en ressources. Le système FVS vise à combler cette lacune en offrant une solution économique, permettant à la FIFA d'améliorer la cohérence de l'arbitrage à travers le monde.