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Le classement Doing Business est un rapport annuel publié par la Banque mondiale qui mesure la facilité de faire des affaires dans 190 pays. Le rapport est basé sur 10 facteurs clés, notamment la création d'entreprise, l'obtention de permis de construire, l'enregistrement des propriétés, l'obtention d'un prêt, le paiement des impôts, le commerce transfrontalier, le règlement des litiges commerciaux, l'exécution des contrats et l'accès à l'électricité.
Le classement Doing Business a été publié pour la première fois en 2003 et a été salué pour son rôle dans la promotion de la réforme économique et de la croissance. Cependant, le rapport a également été critiqué pour son manque de transparence et de rigueur méthodologique.
En 2018, la Banque mondiale a annoncé qu'elle suspendrait la publication du classement Doing Business pour deux ans. Cette décision a été prise à la suite d'une série de critiques, notamment le fait que le rapport était biaisé en faveur des pays développés et que les données utilisées pour le calcul des scores étaient erronées.
Le classement Doing Business a été publié à nouveau en 2020. La nouvelle version du rapport a été révisée pour répondre aux critiques qui avaient été formulées. Par exemple, le rapport est désormais plus transparent sur la méthodologie utilisée pour calculer les scores et les données sont collectées auprès de sources plus fiables.
Le classement Doing Business 2020 a été remporté par Nouvelle-Zélande, suivie de Singapour, de Danemark, de Norvège et des Pays-Bas. La France se classe 31ème, tandis que l'Allemagne se classe 22ème.
Les pays les plus mal classés sont le Tchad, le Soudan du Sud, le Soudan, le Venezuela et la Somalie.
Le retour du classement Doing Business est une bonne nouvelle pour les pays qui souhaitent améliorer leur climat des affaires.
Le rapport peut être un outil précieux pour les gouvernements et les entreprises qui cherchent à identifier les domaines où des réformes sont nécessaires.
Cependant, il est important de garder à l'esprit que le classement Doing Business n'est qu'un indicateur parmi d'autres de la facilité de faire des affaires.
Le classement Doing Business a été publié pour la première fois en 2003 et a été salué pour son rôle dans la promotion de la réforme économique et de la croissance. Cependant, le rapport a également été critiqué pour son manque de transparence et de rigueur méthodologique.
En 2018, la Banque mondiale a annoncé qu'elle suspendrait la publication du classement Doing Business pour deux ans. Cette décision a été prise à la suite d'une série de critiques, notamment le fait que le rapport était biaisé en faveur des pays développés et que les données utilisées pour le calcul des scores étaient erronées.
Le classement Doing Business a été publié à nouveau en 2020. La nouvelle version du rapport a été révisée pour répondre aux critiques qui avaient été formulées. Par exemple, le rapport est désormais plus transparent sur la méthodologie utilisée pour calculer les scores et les données sont collectées auprès de sources plus fiables.
Le classement Doing Business 2020 a été remporté par Nouvelle-Zélande, suivie de Singapour, de Danemark, de Norvège et des Pays-Bas. La France se classe 31ème, tandis que l'Allemagne se classe 22ème.
Les pays les plus mal classés sont le Tchad, le Soudan du Sud, le Soudan, le Venezuela et la Somalie.
Le retour du classement Doing Business est une bonne nouvelle pour les pays qui souhaitent améliorer leur climat des affaires.
Le rapport peut être un outil précieux pour les gouvernements et les entreprises qui cherchent à identifier les domaines où des réformes sont nécessaires.
Cependant, il est important de garder à l'esprit que le classement Doing Business n'est qu'un indicateur parmi d'autres de la facilité de faire des affaires.
Pour mémoire
Selon le rapport de 2020, le Maroc se classe 53ème, soit une amélioration de 7 places par rapport à l'année précédente.
Le pays a enregistré des améliorations significatives dans les domaines de l'obtention de permis de construire, du paiement des taxes et impôts, ainsi que dans la résolution des insolvabilités.
Cependant, il reste encore des défis à relever pour améliorer davantage le climat des affaires au Maroc.
Le pays a enregistré des améliorations significatives dans les domaines de l'obtention de permis de construire, du paiement des taxes et impôts, ainsi que dans la résolution des insolvabilités.
Cependant, il reste encore des défis à relever pour améliorer davantage le climat des affaires au Maroc.