Les uns après les autres, les gouvernements réduisent ou mettent fin aux mesures restrictives sanitaires prises suite à la pandémie du Covid19, dans une ambiance de révolte des peuples, appauvris et épuisés après deux années d’application des dites mesures.
Il se trouve bien encore quelques gouvernements qui tentent toujours de convaincre leurs populations que sans 3ème dose de vaccin et sans pressions, à la légalité douteuse, sur les récalcitrants, il n’est point de salut, mais une telle position est de moins en moins tenable quand de plus en plus de pays prennent le chemin inverse.
Il se trouve bien encore quelques gouvernements qui tentent toujours de convaincre leurs populations que sans 3ème dose de vaccin et sans pressions, à la légalité douteuse, sur les récalcitrants, il n’est point de salut, mais une telle position est de moins en moins tenable quand de plus en plus de pays prennent le chemin inverse.
Occident à la dérive
Il est, toutefois, intéressant de noter que c’est particulièrement dans les pays occidentaux, réputés les plus démocratiques, que la sévérité des mesures liberticides a atteint des sommets inimaginables.
C’est aussi dans ces pays, qui se plaisent tant à donner des leçons sur les Droits humains à ceux du Sud, que la répression policière des manifestations contre le passe vaccinal a été la plus farouche.
Voir les blindés de la gendarmerie française déployés à Paris, dans un triste spectacle à la Tiananmen, pour contrer les manifestants anti-passe vaccinal du « convoi de la liberté » et des agents des forces de l’ordre infliger des bastonnades à leurs concitoyens est choquant.
C’est aussi dans ces pays, qui se plaisent tant à donner des leçons sur les Droits humains à ceux du Sud, que la répression policière des manifestations contre le passe vaccinal a été la plus farouche.
Voir les blindés de la gendarmerie française déployés à Paris, dans un triste spectacle à la Tiananmen, pour contrer les manifestants anti-passe vaccinal du « convoi de la liberté » et des agents des forces de l’ordre infliger des bastonnades à leurs concitoyens est choquant.
Hasardeuse diversion
Lorsque des scènes similaires se déroulent dans des pays en voie en développement, les médias occidentaux n’hésitent pas un instant à pousser des cris d’orfraie pour dénoncer la répression de dictateurs.
Etrangement, ces mêmes médias semblent soudain atteints de cécité et de surdité face à ce qui se déroule sous leurs nez. Ils préfèrent s’intéresser à un improbable conflit en Ukraine, auxquels ils semblent plus croire que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky.
En fin de compte, une guerre entre l’Ukraine et la Russie arrangerait bien les affaires de gouvernements occidentaux aux économies dévastées par les mesures restrictives sanitaires, confrontés à un soulèvement de leurs peuples écrasés par le renchérissement du coût de la vie.
Etrangement, ces mêmes médias semblent soudain atteints de cécité et de surdité face à ce qui se déroule sous leurs nez. Ils préfèrent s’intéresser à un improbable conflit en Ukraine, auxquels ils semblent plus croire que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky.
En fin de compte, une guerre entre l’Ukraine et la Russie arrangerait bien les affaires de gouvernements occidentaux aux économies dévastées par les mesures restrictives sanitaires, confrontés à un soulèvement de leurs peuples écrasés par le renchérissement du coût de la vie.
Faux calculs
Bien entendu, les chances que l’Ukraine puisse tenir tête devant la puissante armée russe, si elle venait à passer à l’assaut, sont totalement nulles. Elles sont toutes aussi inexistantes que la probabilité que les pays de l’Otan envoient des troupes porter secours aux Ukrainiens.
Il s’agit donc plus d’une mise en scène destinée à terrifier les opinions publiques que d’une véritable volonté de croiser le fer avec l’ours russe, soutenu par le dragon chinois.
La déclaration commune sino-russe du 4 février ne laisse aucun doute au sujet de l’alliance des deux puissances eurasiatiques pour contrer les pays occidentaux.
Il s’agit donc plus d’une mise en scène destinée à terrifier les opinions publiques que d’une véritable volonté de croiser le fer avec l’ours russe, soutenu par le dragon chinois.
La déclaration commune sino-russe du 4 février ne laisse aucun doute au sujet de l’alliance des deux puissances eurasiatiques pour contrer les pays occidentaux.
Fin d’une époque
La récente visite du président français, Emmanuel Macron, à Moscou a, cependant, démontré que l’investissement dans cette fiction médiatique n’est pas du tout rentable.
Cela ne fait que confirmer la baisse de puissance et d’influence des pays occidentaux, surtout à la périphérie des nouvelles puissances montantes, la Chine et la Russie.
Il n’en demeure pas moins que toutes manœuvres géopolitiques stupides maintiennent une ambiance de terreur nullement propice à une saine relance des économies endommagées par la crise sanitaire.
Un tel entêtement dans le déni des réalités promet encore plus de dégâts que la pandémie.
Cela ne fait que confirmer la baisse de puissance et d’influence des pays occidentaux, surtout à la périphérie des nouvelles puissances montantes, la Chine et la Russie.
Il n’en demeure pas moins que toutes manœuvres géopolitiques stupides maintiennent une ambiance de terreur nullement propice à une saine relance des économies endommagées par la crise sanitaire.
Un tel entêtement dans le déni des réalités promet encore plus de dégâts que la pandémie.
La parole aux peuples
Covid19 ne plaide coupable que pour une partie des conséquences de la crise sanitaire.
Entretenir la peur pour esquiver ses responsabilités n’est point de bon augure pour le proche avenir.
Les peuples pourront-ils ramener leurs gouvernements à la raison ?
Entretenir la peur pour esquiver ses responsabilités n’est point de bon augure pour le proche avenir.
Les peuples pourront-ils ramener leurs gouvernements à la raison ?