La cérémonie a été marquée par la présence de personnalités marocaines et égyptiennes du monde de la culture, d’Ahmed Tazi, ambassadeur du Maroc au Caire et représentant permanent du Royaume auprès de la Ligue des Etats arabes, ainsi que des représentants de médias locaux qui ont salué les publications et ouvrages présentés par le pavillon Maroc dans différents thèmes abordant le patrimoine, l'histoire, le roman, la traduction, les arts et les lettres.
A cet effet, les écrivaines marocaines ont exprimé leur fierté de la signature de leurs ouvrages lors de l'un des salons culturels les plus importants dans le monde arabe, et qui aide à faire connaître la culture et la pensée marocaines, en particulier la création féminine.
Dans une déclaration à la MAP, la présidente de la Ligue des écrivaines du Maroc, Badia Erradi, qui a signé son nouveau roman "Entre Esther et moi," a fait savoir que le pavillon Maroc connaît la participation de plusieurs figures du domaine de la nouvelle, du roman, de la critique et des études littéraires, mettant l'accent sur la présence féminine marocaine importante lors de cette 54ème édition du Salon.
Elle a indiqué qu'elle a écrit son roman il y a 3 ans en Jordanie, relevant qu'il traite du dialogue pour la paix et prône les valeurs humaines sous un aspect littéraire qui repose sur le récit implicite.
L'écrivaine a précisé qu'il s'agit de son troisième roman après "Les étrangers de l'océan" et "La fille aux pied nus," ainsi que plusieurs publications dans le domaine du théâtre, mettant en lumière les préoccupations du romancier et de l'écrivain.
Pour sa part, Zahra Izz a déclaré que son recueil traduit à l'anglais "Miroir de pain et de lune" fusionne la poésie et la prose et rend ce qui est familier à la fois surprenant, intéressant et brûlant.
Elle a ajouté que ce recueil traite de la réalité à travers des questions sociales et historiques qui sont conditionnées, à travers la création d'un contexte réel qui interfère avec les questions humaines d'actualité.
Dans le même contexte, l'écrivaine Samira Maslouhi, qui a signé un ouvrage intitulé "Vers une stratégie créative dans l'enseignement et l'apprentissage de l'arabe," a indiqué que ce livre s'inscrit dans le cadre de sa spécialité scientifique, qui est l'enseignement de la langue arabe en tant que langue étrangère.
L'écrivaine a souligné qu'elle voulait à travers cet ouvrage résumer ses remarques et propositions, s'appuyant sur les connaissances et les résultats des recherches qu'elle a menées, selon des stratégies modernes permettant d'atteindre un niveau élevé de la performance linguistique.
De son côté, Ahmed Tazi a noté que le pavillon Maroc abrite des intellectuelles marocaines dans les domaines du roman et de l'écriture, ce qui reflète le progrès réalisé par la femme marocaine dans de nombreux domaines, sur les plans sportif, économique, politique et administratif.
La femme marocaine s’est distinguée lors de ce Salon à travers ses productions intellectuelles qui font honneur à l'image culturelle et intellectuelle du Maroc, a souligné le diplomate marocain, relevant que ce pavillon a attiré de nombreux visiteurs en raison de la diversité des thématiques présentées, des romans et des livres de recherche.
La présence marocaine dans le paysage arabe en général et égyptien en particulier ne date pas d'aujourd'hui, a affirmé M. Tazi, faisant observer que les liens culturels, intellectuels et spirituels entre le Maroc et l'Egypte sont enracinés dans l'histoire.
Notons que le Royaume prend part à la 54ème édition du Salon international du livre du Caire avec un pavillon mis en place sous la tutelle du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, qui abrite plusieurs exposants, dont notamment la Librairie Dar Al Amane de Rabat, les Editions Bab Al Hikma de Tétouan et les Editions Slaiki frères de Tanger.
Selon les organisateurs, le Salon comprend 500 événements parallèles, dont des conférences, des rencontres littéraires et culturelles, ainsi que la signature de nouvelles publications, en plus d'activités pour enfants.
L'ODJ avec MAP
A cet effet, les écrivaines marocaines ont exprimé leur fierté de la signature de leurs ouvrages lors de l'un des salons culturels les plus importants dans le monde arabe, et qui aide à faire connaître la culture et la pensée marocaines, en particulier la création féminine.
Dans une déclaration à la MAP, la présidente de la Ligue des écrivaines du Maroc, Badia Erradi, qui a signé son nouveau roman "Entre Esther et moi," a fait savoir que le pavillon Maroc connaît la participation de plusieurs figures du domaine de la nouvelle, du roman, de la critique et des études littéraires, mettant l'accent sur la présence féminine marocaine importante lors de cette 54ème édition du Salon.
Elle a indiqué qu'elle a écrit son roman il y a 3 ans en Jordanie, relevant qu'il traite du dialogue pour la paix et prône les valeurs humaines sous un aspect littéraire qui repose sur le récit implicite.
L'écrivaine a précisé qu'il s'agit de son troisième roman après "Les étrangers de l'océan" et "La fille aux pied nus," ainsi que plusieurs publications dans le domaine du théâtre, mettant en lumière les préoccupations du romancier et de l'écrivain.
Pour sa part, Zahra Izz a déclaré que son recueil traduit à l'anglais "Miroir de pain et de lune" fusionne la poésie et la prose et rend ce qui est familier à la fois surprenant, intéressant et brûlant.
Elle a ajouté que ce recueil traite de la réalité à travers des questions sociales et historiques qui sont conditionnées, à travers la création d'un contexte réel qui interfère avec les questions humaines d'actualité.
Dans le même contexte, l'écrivaine Samira Maslouhi, qui a signé un ouvrage intitulé "Vers une stratégie créative dans l'enseignement et l'apprentissage de l'arabe," a indiqué que ce livre s'inscrit dans le cadre de sa spécialité scientifique, qui est l'enseignement de la langue arabe en tant que langue étrangère.
L'écrivaine a souligné qu'elle voulait à travers cet ouvrage résumer ses remarques et propositions, s'appuyant sur les connaissances et les résultats des recherches qu'elle a menées, selon des stratégies modernes permettant d'atteindre un niveau élevé de la performance linguistique.
De son côté, Ahmed Tazi a noté que le pavillon Maroc abrite des intellectuelles marocaines dans les domaines du roman et de l'écriture, ce qui reflète le progrès réalisé par la femme marocaine dans de nombreux domaines, sur les plans sportif, économique, politique et administratif.
La femme marocaine s’est distinguée lors de ce Salon à travers ses productions intellectuelles qui font honneur à l'image culturelle et intellectuelle du Maroc, a souligné le diplomate marocain, relevant que ce pavillon a attiré de nombreux visiteurs en raison de la diversité des thématiques présentées, des romans et des livres de recherche.
La présence marocaine dans le paysage arabe en général et égyptien en particulier ne date pas d'aujourd'hui, a affirmé M. Tazi, faisant observer que les liens culturels, intellectuels et spirituels entre le Maroc et l'Egypte sont enracinés dans l'histoire.
Notons que le Royaume prend part à la 54ème édition du Salon international du livre du Caire avec un pavillon mis en place sous la tutelle du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, qui abrite plusieurs exposants, dont notamment la Librairie Dar Al Amane de Rabat, les Editions Bab Al Hikma de Tétouan et les Editions Slaiki frères de Tanger.
Selon les organisateurs, le Salon comprend 500 événements parallèles, dont des conférences, des rencontres littéraires et culturelles, ainsi que la signature de nouvelles publications, en plus d'activités pour enfants.
L'ODJ avec MAP