Cependant, relève la même source, l’interprétation de l’amplitude de la croissance devrait être nuancée du fait que la robustesse de cette évolution découle en partie du rattrapage du secteur agricole qui a connu une campagne particulièrement sèche l’année passée.
Par ailleurs et comme toute prévision dans une conjoncture incertaine, la concrétisation de cette performance pourrait être “chahutée tout le long de cette année par des vents contraires et des phénomènes économiques contraignants qui caractérisent cette ère post-coronavirus et qui rongent toutes les économies du monde”, souligne le CMC.
Il s’agit en l’occurrence de “la poussée inflationniste, du resserrement monétaire et plus récemment de la crise financière avec des faillites de banques de renommée”, précise le Centre.
En outre, le CMC fait savoir que d’après les indices précurseurs disponibles et sur la base des anticipations des opérateurs économiques, la configuration sectorielle de cette performance globale de l’économie devrait connaître “un dynamisme notable”.
Ainsi, l’agriculture connaîtrait un taux de croissance en volume de l’ordre de 16% “compensant et faisant oublier l’importante décrue que ce secteur a essuyé au cours de la campagne précédente”.
Le secteur des industries manufacturières, autre activité déterminante de ce profil de croissance, contribuerait, quant à lui, à l’évolution globale du produit intérieur brut (PIB) avec un taux appréciable de sa valeur ajoutée aux prix constants d’environ 3,2%.
L’activité des industries extractives qui connaît présentement une conjoncture florissante à la faveur de l’augmentation des cours des phosphates et de ses dérivés et de la bonne orientation de la demande extérieure, devrait continuer sur cette trajectoire tout le long de l’exercice 2023.
Pour ce qui est du secteur des services dont certaines composantes ont profondément souffert en 2022 sous l’emprise des restrictions imposées par la crise sanitaire, il est en train de récupérer avec une certaine vigueur et pourrait afficher, en glissement annuel, un taux d’accroissement en termes réels de 4%, estime le Centre.
Source: MAP
Par ailleurs et comme toute prévision dans une conjoncture incertaine, la concrétisation de cette performance pourrait être “chahutée tout le long de cette année par des vents contraires et des phénomènes économiques contraignants qui caractérisent cette ère post-coronavirus et qui rongent toutes les économies du monde”, souligne le CMC.
Il s’agit en l’occurrence de “la poussée inflationniste, du resserrement monétaire et plus récemment de la crise financière avec des faillites de banques de renommée”, précise le Centre.
En outre, le CMC fait savoir que d’après les indices précurseurs disponibles et sur la base des anticipations des opérateurs économiques, la configuration sectorielle de cette performance globale de l’économie devrait connaître “un dynamisme notable”.
Ainsi, l’agriculture connaîtrait un taux de croissance en volume de l’ordre de 16% “compensant et faisant oublier l’importante décrue que ce secteur a essuyé au cours de la campagne précédente”.
Le secteur des industries manufacturières, autre activité déterminante de ce profil de croissance, contribuerait, quant à lui, à l’évolution globale du produit intérieur brut (PIB) avec un taux appréciable de sa valeur ajoutée aux prix constants d’environ 3,2%.
L’activité des industries extractives qui connaît présentement une conjoncture florissante à la faveur de l’augmentation des cours des phosphates et de ses dérivés et de la bonne orientation de la demande extérieure, devrait continuer sur cette trajectoire tout le long de l’exercice 2023.
Pour ce qui est du secteur des services dont certaines composantes ont profondément souffert en 2022 sous l’emprise des restrictions imposées par la crise sanitaire, il est en train de récupérer avec une certaine vigueur et pourrait afficher, en glissement annuel, un taux d’accroissement en termes réels de 4%, estime le Centre.
Source: MAP