Le Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) offre une analyse approfondie et objective de l'état actuel du système des urgences médicales dans un pays non spécifié, en se concentrant sur l'amélioration des soins d'urgence pour sauver des vies et garantir des soins de qualité pour tous. Il souligne l'importance cruciale de la filière des urgences médicales dans tout système de santé, visant la sauvegarde du droit à la vie et la qualité des soins.
Malgré les progrès réalisés ces vingt dernières années, comme la création d'une spécialité en médecine d'urgence et la mise en place du Service d'Aide Médicale d'Urgence (SAMU), de nombreux déficits et fragilités demeurent. Parmi ceux-ci, on note des insuffisances en régulation médicale, des carences dans le transport sanitaire public et privé, une coordination limitée entre divers services, et l'absence de normes opposables aux secteurs public et privé pour l'organisation des services hospitaliers d'urgence.
Le CESE propose des recommandations pour améliorer la prise en charge des urgences médicales, en accord avec les six critères qualitatifs de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Ces recommandations incluent renforcer la coopération entre différents services (SAMU, protection civile, hôpitaux, cliniques privées, collectivités territoriales), doter le SAMU de moyens adéquats, exploiter les outils numériques pour la régulation médicale, structurer le secteur du transport sanitaire, et élaborer des cahiers de charges pour les services hospitaliers d'urgence.
En outre, le CESE suggère d'assurer une prise en charge du transport sanitaire privé par l'Assurance Maladie Obligatoire (AMO), développer et valoriser les ressources humaines dans les services d'urgence, et imposer la mise en place d'équipements de premiers secours dans les administrations et établissements publics.
Il recommande également d'informer, sensibiliser et former la population sur les gestes de premiers secours.
Les résultats d'une consultation citoyenne menée sur la plateforme digitale « Ouchariko » ont également été intégrés, mettant en évidence les expériences des utilisateurs du système d'urgence. La majorité a utilisé des moyens de transport personnels pour se rendre à l'hôpital, et l'attente aux services d'urgence variait considérablement.
L'insatisfaction générale envers le système actuel est notable, avec des problèmes tels que le manque de médicaments, des pannes d'équipement et l'absence de médecins qualifiés.
En conclusion, le document du CESE propose une approche holistique pour réformer le système des urgences médicales, en mettant l'accent sur la collaboration, l'amélioration des ressources, et l'engagement du public. Ces mesures visent à garantir des soins d'urgence efficaces, équitables et centrés sur le patient, conformément aux standards internationaux et aux besoins des citoyens.
Malgré les progrès réalisés ces vingt dernières années, comme la création d'une spécialité en médecine d'urgence et la mise en place du Service d'Aide Médicale d'Urgence (SAMU), de nombreux déficits et fragilités demeurent. Parmi ceux-ci, on note des insuffisances en régulation médicale, des carences dans le transport sanitaire public et privé, une coordination limitée entre divers services, et l'absence de normes opposables aux secteurs public et privé pour l'organisation des services hospitaliers d'urgence.
Le CESE propose des recommandations pour améliorer la prise en charge des urgences médicales, en accord avec les six critères qualitatifs de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Ces recommandations incluent renforcer la coopération entre différents services (SAMU, protection civile, hôpitaux, cliniques privées, collectivités territoriales), doter le SAMU de moyens adéquats, exploiter les outils numériques pour la régulation médicale, structurer le secteur du transport sanitaire, et élaborer des cahiers de charges pour les services hospitaliers d'urgence.
En outre, le CESE suggère d'assurer une prise en charge du transport sanitaire privé par l'Assurance Maladie Obligatoire (AMO), développer et valoriser les ressources humaines dans les services d'urgence, et imposer la mise en place d'équipements de premiers secours dans les administrations et établissements publics.
Il recommande également d'informer, sensibiliser et former la population sur les gestes de premiers secours.
Les résultats d'une consultation citoyenne menée sur la plateforme digitale « Ouchariko » ont également été intégrés, mettant en évidence les expériences des utilisateurs du système d'urgence. La majorité a utilisé des moyens de transport personnels pour se rendre à l'hôpital, et l'attente aux services d'urgence variait considérablement.
L'insatisfaction générale envers le système actuel est notable, avec des problèmes tels que le manque de médicaments, des pannes d'équipement et l'absence de médecins qualifiés.
En conclusion, le document du CESE propose une approche holistique pour réformer le système des urgences médicales, en mettant l'accent sur la collaboration, l'amélioration des ressources, et l'engagement du public. Ces mesures visent à garantir des soins d'urgence efficaces, équitables et centrés sur le patient, conformément aux standards internationaux et aux besoins des citoyens.
Télécharger le document complet du CESE sur le sujet