Zoom sur les relations composées entre les migrants et l'autre, soit l'occident
Du nouveau chez Layla Triqui. Cette réalisatrice vient d’entamer le tournage de son nouveau long-métrage intitulé «Wachm Errih» (Empreintes du vent) entre les villes de Tanger et Bordeaux. Dans l’intrigue, la cinéaste, qui a conçu le scénario de son œuvre par ses soins avec l’Américain Keith Cunningham, s’inspire, de faits réels. En détail, elle y aborde des «relations composées entre les migrants, réguliers ou réfugiés, et l’autre, soit l’Occident».
La scénariste marocaine traite des identités composées et de la relation entre deux cultures, soit celle des migrants avec ceux qui ont soumis une demande d’asile. Entre migration, mariage mixte, asile et exil, les sujets humains varient dans l’œuvre de la réalisatrice qui travaille selon «une vision profonde» à travers l’image, le son ainsi que le mouvement.
Un casting de différentes nationalités
Le film raconte l'histoire d’une photographe qui veille à tracer sa propre voie loin du contrôle parental. Par hasard, cette héroïne découvre que sa mère, qu’elle pensait décédée depuis longtemps, est encore en vie.
Pour tourner son long-métrage, la réalisatrice s’entoure d’un casting de différentes nationalités. Il s’agit de la Franco-marocaine Ouidad Elma, la Marocaine Nadia Niazi, la Française Anne Loiret, du Syrien Mahmoud Nasr, des Marocains Jilali Ferhati et Azelarab Kaghat.
Le parcours impressionnant de Layla Triqui
Lauréate de l’Isadac, Layla Triqui, a réalisé plusieurs œuvres qui ont connu un énorme succès. Avant de démarrer sa carrière, elle a, également, obtenu un master en techniques de réalisation cinématographique de films réels et documentaires de fiction auprès de l’école supérieure de l’image et du son à Paris.
Cette réalisatrice marocaine a pu réaliser différents courts-métrages comme «Ribat» (Lien) en 2001, «Dame El Hibr» (Le sang de l’encre) en 2004, «Watajri Erriah» (Les vents courent) en 2006, et «Watastamirrou El Hayat» (La vie continue) en 2007.
Du nouveau chez Layla Triqui. Cette réalisatrice vient d’entamer le tournage de son nouveau long-métrage intitulé «Wachm Errih» (Empreintes du vent) entre les villes de Tanger et Bordeaux. Dans l’intrigue, la cinéaste, qui a conçu le scénario de son œuvre par ses soins avec l’Américain Keith Cunningham, s’inspire, de faits réels. En détail, elle y aborde des «relations composées entre les migrants, réguliers ou réfugiés, et l’autre, soit l’Occident».
La scénariste marocaine traite des identités composées et de la relation entre deux cultures, soit celle des migrants avec ceux qui ont soumis une demande d’asile. Entre migration, mariage mixte, asile et exil, les sujets humains varient dans l’œuvre de la réalisatrice qui travaille selon «une vision profonde» à travers l’image, le son ainsi que le mouvement.
Un casting de différentes nationalités
Le film raconte l'histoire d’une photographe qui veille à tracer sa propre voie loin du contrôle parental. Par hasard, cette héroïne découvre que sa mère, qu’elle pensait décédée depuis longtemps, est encore en vie.
Pour tourner son long-métrage, la réalisatrice s’entoure d’un casting de différentes nationalités. Il s’agit de la Franco-marocaine Ouidad Elma, la Marocaine Nadia Niazi, la Française Anne Loiret, du Syrien Mahmoud Nasr, des Marocains Jilali Ferhati et Azelarab Kaghat.
Le parcours impressionnant de Layla Triqui
Lauréate de l’Isadac, Layla Triqui, a réalisé plusieurs œuvres qui ont connu un énorme succès. Avant de démarrer sa carrière, elle a, également, obtenu un master en techniques de réalisation cinématographique de films réels et documentaires de fiction auprès de l’école supérieure de l’image et du son à Paris.
Cette réalisatrice marocaine a pu réaliser différents courts-métrages comme «Ribat» (Lien) en 2001, «Dame El Hibr» (Le sang de l’encre) en 2004, «Watajri Erriah» (Les vents courent) en 2006, et «Watastamirrou El Hayat» (La vie continue) en 2007.