L'art au service de l'identité féminine
Née à Marrakech, Lalla Essaydi témoigne de son parcours de femme arabe ayant grandi dans une culture musulmane. Elle explique : « Mon travail est une quête d'une voix unique d'artiste, non une tentative de me positionner en victime. Je veux exprimer la complexité de mon identité ». À travers sa série « Harem », l'artiste explore les dimensions sociales et historiques liées à cet espace traditionnellement réservé aux femmes dans le monde musulman. Cette exposition nous invite à réfléchir sur des thèmes tels que le genre, l'identité et l'histoire culturelle du monde arabe.
Un regard actif et engagé
Dans ses œuvres photographiques, Lalla Essaydi ne présente pas les femmes comme des sujets passifs, mais comme des actrices engagées. Elles confrontent le regard du spectateur, l'invitant à la contemplation. Utilisant le henné pour écrire en calligraphie arabe sur le visage, les mains et les pieds des femmes, elle renvoie à une tradition féminine tout en transcendant les codes sociaux. Les motifs élaborés de leurs caftans se fondent harmonieusement dans le décor du palais, illustrant l'importance de l'art et de l'architecture dans la culture islamique.
Cette exposition, organisée par la Fondation nationale des musées et Lalla Essaydi, offre une perspective intime sur le rôle des femmes dans ces environnements clos, tout en remettant en question les constructions sociales existantes.
Née à Marrakech, Lalla Essaydi témoigne de son parcours de femme arabe ayant grandi dans une culture musulmane. Elle explique : « Mon travail est une quête d'une voix unique d'artiste, non une tentative de me positionner en victime. Je veux exprimer la complexité de mon identité ». À travers sa série « Harem », l'artiste explore les dimensions sociales et historiques liées à cet espace traditionnellement réservé aux femmes dans le monde musulman. Cette exposition nous invite à réfléchir sur des thèmes tels que le genre, l'identité et l'histoire culturelle du monde arabe.
Un regard actif et engagé
Dans ses œuvres photographiques, Lalla Essaydi ne présente pas les femmes comme des sujets passifs, mais comme des actrices engagées. Elles confrontent le regard du spectateur, l'invitant à la contemplation. Utilisant le henné pour écrire en calligraphie arabe sur le visage, les mains et les pieds des femmes, elle renvoie à une tradition féminine tout en transcendant les codes sociaux. Les motifs élaborés de leurs caftans se fondent harmonieusement dans le décor du palais, illustrant l'importance de l'art et de l'architecture dans la culture islamique.
Cette exposition, organisée par la Fondation nationale des musées et Lalla Essaydi, offre une perspective intime sur le rôle des femmes dans ces environnements clos, tout en remettant en question les constructions sociales existantes.
L'ODJ avec lematin