A lire ou à écouter en podcast :
Lahcen Haddad, Keynote Speaker de la rencontre organisée par Allianz a rappelé les quatre scénarios de McKinsey sur le sort de l’économie mondiale en 2030 :
1. La répétition de la performance 2000-2020;
2. La stagflation des années 70;
3. Le spectre de la « décennie perdue » après l’effondrement de la bulle au Japon dans led années 90;
4. L’accélération de la productivité lorsque tous les indicateurs sont au vert et l’IS est utilisée pour augmenter la productivité…).
Ensuite il a évoqué les politiques et stratégies structurantes entamées par le Maroc afin d’adhérer au Club des Pays Émergents.
Il est aussi revenu sur les ratages ainsi que liés différents défis, notamment ceux liés à la sécurité hydrique, l'équité sociale et le spectre du populisme, tout en mettant en avant une démarche vertueuse qui concise à réussir les transitions (énergétique et numérique), faire aboutir les stratégies sectorielles (Green Génération, Tourisme, Nouvelle Stratégie industrielle etc.) et réduire les fractures sociales et spatiales (via la couverture sociale et la revue de la régionalisation).
Cependant, l’objectif d’un Maroc prospère, démocratique et ouvert ne sera possible sans la réduction des effets négatifs des risques liés à la facture environnementale, à la gouvernance, à la réforme de l’éducation et la santé et á la sécurité alimentaire et judiciaire.
1. La répétition de la performance 2000-2020;
2. La stagflation des années 70;
3. Le spectre de la « décennie perdue » après l’effondrement de la bulle au Japon dans led années 90;
4. L’accélération de la productivité lorsque tous les indicateurs sont au vert et l’IS est utilisée pour augmenter la productivité…).
Ensuite il a évoqué les politiques et stratégies structurantes entamées par le Maroc afin d’adhérer au Club des Pays Émergents.
Il est aussi revenu sur les ratages ainsi que liés différents défis, notamment ceux liés à la sécurité hydrique, l'équité sociale et le spectre du populisme, tout en mettant en avant une démarche vertueuse qui concise à réussir les transitions (énergétique et numérique), faire aboutir les stratégies sectorielles (Green Génération, Tourisme, Nouvelle Stratégie industrielle etc.) et réduire les fractures sociales et spatiales (via la couverture sociale et la revue de la régionalisation).
Cependant, l’objectif d’un Maroc prospère, démocratique et ouvert ne sera possible sans la réduction des effets négatifs des risques liés à la facture environnementale, à la gouvernance, à la réforme de l’éducation et la santé et á la sécurité alimentaire et judiciaire.