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Répression systématique et fermetures abusives / Un avenir sombre pour les droits humains en Algérie
Le gouvernement algérien a intensifié ses actions répressives, poursuivant en justice et condamnant de nombreux journalistes, militants et chercheurs. Parmi les victimes de cette répression, on trouve le journaliste Ihsane El Kadi et son groupe Interface Média, comprenant Radio M et le site Maghreb Émergent. Ces entités ont été dissoutes sur ordre d’un tribunal algérien. La cour d’appel a ensuite condamné Ihsane El Kadi à sept ans de prison, dont deux avec sursis, pour son travail journalistique, notamment ses contributions au quotidien français La Croix. Cette condamnation n’est qu’un exemple parmi d’autres.
En outre, le militant amazigh Slimane Bouhafs a été condamné à trois ans de prison pour des accusations infondées liées à ses publications en ligne. Ces actions judiciaires contre des figures médiatiques et des activistes soulignent une volonté claire du gouvernement de museler toute forme de critique et d’opposition.
Les autorités algériennes ne se sont pas contentées de cibler des individus ; elles ont également promulgué des lois draconiennes pour restreindre davantage la liberté d'expression. La nouvelle Loi organique n°23-14 relative à l’information impose des règles strictes concernant la licence et la propriété des médias, limitant leur détention aux seuls ressortissants algériens et interdisant la publication d’informations jugées « fausses » ou « portant atteinte à la mémoire nationale ». Cette loi prévoit également des amendes sévères et la confiscation de biens pour les médias recevant des financements étrangers, une mesure clairement destinée à isoler les médias algériens de toute influence extérieure.
Le rapport d’Amnesty International constitue une dénonciation accablante des pratiques autoritaires des autorités algériennes. En persistant dans cette voie, le gouvernement algérien non seulement bafoue les droits fondamentaux de ses citoyens mais se pose également en adversaire des principes démocratiques universels. Les voix critiques, qu’elles soient issues de la presse, des militants ou des chercheurs, sont systématiquement réduites au silence, plongeant l’Algérie dans une spirale de répression et d’autoritarisme.
Il est impératif que la communauté internationale prenne conscience de cette situation alarmante et exerce une pression sur le gouvernement algérien pour qu’il respecte les droits humains fondamentaux et les libertés individuelles. Les internautes marocains, tout comme le reste du monde, doivent rester vigilants et informés sur cette question cruciale, car la défense des droits humains est une cause qui transcende les frontières.
En outre, le militant amazigh Slimane Bouhafs a été condamné à trois ans de prison pour des accusations infondées liées à ses publications en ligne. Ces actions judiciaires contre des figures médiatiques et des activistes soulignent une volonté claire du gouvernement de museler toute forme de critique et d’opposition.
Les autorités algériennes ne se sont pas contentées de cibler des individus ; elles ont également promulgué des lois draconiennes pour restreindre davantage la liberté d'expression. La nouvelle Loi organique n°23-14 relative à l’information impose des règles strictes concernant la licence et la propriété des médias, limitant leur détention aux seuls ressortissants algériens et interdisant la publication d’informations jugées « fausses » ou « portant atteinte à la mémoire nationale ». Cette loi prévoit également des amendes sévères et la confiscation de biens pour les médias recevant des financements étrangers, une mesure clairement destinée à isoler les médias algériens de toute influence extérieure.
Le rapport d’Amnesty International constitue une dénonciation accablante des pratiques autoritaires des autorités algériennes. En persistant dans cette voie, le gouvernement algérien non seulement bafoue les droits fondamentaux de ses citoyens mais se pose également en adversaire des principes démocratiques universels. Les voix critiques, qu’elles soient issues de la presse, des militants ou des chercheurs, sont systématiquement réduites au silence, plongeant l’Algérie dans une spirale de répression et d’autoritarisme.
Il est impératif que la communauté internationale prenne conscience de cette situation alarmante et exerce une pression sur le gouvernement algérien pour qu’il respecte les droits humains fondamentaux et les libertés individuelles. Les internautes marocains, tout comme le reste du monde, doivent rester vigilants et informés sur cette question cruciale, car la défense des droits humains est une cause qui transcende les frontières.