Par Najib Mikou
Tout rapport entre les paroles ci-dessous de Churchill et le comportement abjecte de candidats aux élections en cours dans notre pays, n'est que simple coïncidence. Le légendaire 1er Ministre britannique est décédé depuis plus de 56 ans.
Il est grand temps, il est encore temps, que les partis concernés agissent vite et avec virulence auprès de leurs candidats, pour arrêter le massacre de la "salmonnaie", dont les effets induits sur nos rapports sociaux et sur la crédibilité de nos institutions élues, sont désastreux.
Un minimum de pudeur, d'altruisme et de respect s'il vous plaît pour notre dignité, pour notre intelligence et pour notre orgueil collectifs. Le Maroc n'est pas votre fond de commerce ni votre vache à lait. Il est notre patrie commune, notre fierté commune, notre raison d'être commune.
Il en va de nos valeurs, de nos repères qui cimentent notre société et font de nous une grande nation fière et digne. Il en va de notre démocratie, de l'intérêt même de cette démocratie tant et tellement rêvée, souhaitée.
Si l'Etat tant critiqué par le passé, a eu le grand mérite d'avoir tout déployé, tout mis en œuvre durant ces vingt dernières années, pour que le peuple choisisse librement et en toute conscience, ses représentants au Parlement, dans les Régions et les Communes, il est hors de question que ça soit aujourd’hui des candidats, des partis, qui faussent, salissent, pourrissent, nos rapports sociaux et nos rapports à la démocratie.
L'argent ne peut, ne doit basculer de moyen d'acquérir des biens et des services d'une façon légale et loyale, à une "salmonnaie" pour conquérir d'une façon illégale, déloyale, sale, des positions auxquelles on aurait jamais accédé.
Qui a donné autant de pourvoir à l'argent ?
Il est grand temps, il est encore temps, que les partis concernés agissent vite et avec virulence auprès de leurs candidats, pour arrêter le massacre de la "salmonnaie", dont les effets induits sur nos rapports sociaux et sur la crédibilité de nos institutions élues, sont désastreux.
Un minimum de pudeur, d'altruisme et de respect s'il vous plaît pour notre dignité, pour notre intelligence et pour notre orgueil collectifs. Le Maroc n'est pas votre fond de commerce ni votre vache à lait. Il est notre patrie commune, notre fierté commune, notre raison d'être commune.
Il en va de nos valeurs, de nos repères qui cimentent notre société et font de nous une grande nation fière et digne. Il en va de notre démocratie, de l'intérêt même de cette démocratie tant et tellement rêvée, souhaitée.
Si l'Etat tant critiqué par le passé, a eu le grand mérite d'avoir tout déployé, tout mis en œuvre durant ces vingt dernières années, pour que le peuple choisisse librement et en toute conscience, ses représentants au Parlement, dans les Régions et les Communes, il est hors de question que ça soit aujourd’hui des candidats, des partis, qui faussent, salissent, pourrissent, nos rapports sociaux et nos rapports à la démocratie.
L'argent ne peut, ne doit basculer de moyen d'acquérir des biens et des services d'une façon légale et loyale, à une "salmonnaie" pour conquérir d'une façon illégale, déloyale, sale, des positions auxquelles on aurait jamais accédé.
Qui a donné autant de pourvoir à l'argent ?
Incontestablement trois maux : médiocrité, cupidité et vulnérabilité.
Les useurs de la salmonnaie doivent être bannis, dénoncés, rejetés parce qu'ils représentent un véritable danger contre les Hautes ambitions portées par Sa Majesté Le Roi pour notre Maroc collectif, un véritable danger contre les grandes et légitimes aspirations de chacun de nous marocains pour le rayonnement de notre Maroc, pour notre développement économique, pour notre justice et cohésion sociales.
Si nous nous sommes accordés depuis près de vingt mois maintenant, à s'imposer des barrières sanitaires pour contrer la pandémie du Coronavirus, il est urgent aujourd’hui qu'on s'impose également, des barrières éthiques pour contrer une salmonnaie encore plus dévastatrice que le Coronavirus.
Si les barrières sanitaires nous servent à continuer d'exister, celles éthiques nous serviront à continuer de vivre.
Najib Mikou