Le variant ‘Delta’ a été signalé pour la première fois, le 22 avril 2021 en Inde, d’où son nom. Depuis lors, il a étendu son emprise à 92 autres pays.
Actuellement, c’est le premier variant anglais, appelé ‘Alpha’, qui prédomine au Maroc comme dans 172 autres pays, mais, selon les experts, il ne devrait pas tarder à se faire détrôner par son cousin indien.
Au moment ou l’opération de vaccination semble quelque peu ralentir, du fait du manque de doses de vaccin, nos autorités sanitaires doivent sûrement jeter un coup d’œil inquiet sur leur stock d’oxygène et compter les lits d’hôpitaux disponibles.
Actuellement, c’est le premier variant anglais, appelé ‘Alpha’, qui prédomine au Maroc comme dans 172 autres pays, mais, selon les experts, il ne devrait pas tarder à se faire détrôner par son cousin indien.
Au moment ou l’opération de vaccination semble quelque peu ralentir, du fait du manque de doses de vaccin, nos autorités sanitaires doivent sûrement jeter un coup d’œil inquiet sur leur stock d’oxygène et compter les lits d’hôpitaux disponibles.
Un quart des Marocains vacciné
Jusqu’à présent, le Maroc est parvenu à administrer les deux doses de vaccin à 8,95 millions de personnes et au moins une dose à 18,9 millions.
Globalement, cela fait 24,6% de la population totalement ou partiellement immunisée.
Si l’on tient également compte des personnes qui ont déjà été infectés par le Sras-Cov2 et en ont guéri, le taux d’immunisation de la population est sûrement plus élevé.
Ce qui pose toutefois problème est que même les personnes vaccinées ne sont pas à l’abri de l’infection.
Globalement, cela fait 24,6% de la population totalement ou partiellement immunisée.
Si l’on tient également compte des personnes qui ont déjà été infectés par le Sras-Cov2 et en ont guéri, le taux d’immunisation de la population est sûrement plus élevé.
Ce qui pose toutefois problème est que même les personnes vaccinées ne sont pas à l’abri de l’infection.
Degrés d’immunité
Les personnes qui ont reçu les deux doses du vaccin peuvent éviter l’hospitalisation, même s’ils affichent les symptômes de la contamination.
Avec une dose, les risques augmentent et sont, évidemment, plus prononcés dans le cas des personnes qui n’ont pas été du tout vaccinées.
La mutation d’un virus est un phénomène tout à fait naturel, permettant à celui-ci de s’adapter pour survivre.
L’être humain fait exactement de même, son organisme ajustant ses capacités immunitaires aux nouvelles menaces, quand il est parvenu à y survivre pour avoir déjà été infecté et guéri, ou suite à la vaccination.
Avec une dose, les risques augmentent et sont, évidemment, plus prononcés dans le cas des personnes qui n’ont pas été du tout vaccinées.
La mutation d’un virus est un phénomène tout à fait naturel, permettant à celui-ci de s’adapter pour survivre.
L’être humain fait exactement de même, son organisme ajustant ses capacités immunitaires aux nouvelles menaces, quand il est parvenu à y survivre pour avoir déjà été infecté et guéri, ou suite à la vaccination.
S’adapter pour survivre
C’est un affrontement humain-virus qui dure jusqu’à ce que ce dernier adopte une forme qui lui permette d’infecter de nouveaux hôtes sans les terrasser.
Comme toute entité biologique, le but ultime d’un virus est d’assurer sa survie en continuant à infecter de nouveaux hôtes.
S’il devait tous les éliminer, il disparaitrait automatiquement avec eux.
Dans le cas du Sras-Cov2, cette ‘évolution’ adaptative se traduit essentiellement pas une vitesse de transmission plus rapide virus.
Comme toute entité biologique, le but ultime d’un virus est d’assurer sa survie en continuant à infecter de nouveaux hôtes.
S’il devait tous les éliminer, il disparaitrait automatiquement avec eux.
Dans le cas du Sras-Cov2, cette ‘évolution’ adaptative se traduit essentiellement pas une vitesse de transmission plus rapide virus.
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Contagiosité
Le variant indien ‘Delta est ainsi 60 à 70% plus contagieux que son prédécesseur anglais ‘Alpha’, qui est lui-même 60 à 70% plus contagieux que la version originelle ‘Wuhan’.
Le Sras-Cov2 semble apprécier le climat de la Grande Bretagne, ou le variant indien représente, actuellement, 95% des cas de contamination au Covid19.
Ce pays s’est transformée en épicentre du variant ‘Delta’ en Europe, après avoir reçu quelques 20.000 passagers aériens en provenance de l’Inde.
Le variant indien, même si plus contagieux que ses aînés, n’est pas, cependant, plus mortel. Mais il parvient à maintenir l’humanité dans une psychose, économiquement au moins aussi destructrice que la maladie.
Le Sras-Cov2 semble apprécier le climat de la Grande Bretagne, ou le variant indien représente, actuellement, 95% des cas de contamination au Covid19.
Ce pays s’est transformée en épicentre du variant ‘Delta’ en Europe, après avoir reçu quelques 20.000 passagers aériens en provenance de l’Inde.
Le variant indien, même si plus contagieux que ses aînés, n’est pas, cependant, plus mortel. Mais il parvient à maintenir l’humanité dans une psychose, économiquement au moins aussi destructrice que la maladie.
Nouveau vaccin
La crainte d’un nouveau confinement est telle que le simple fait de l’invoquer assombrit les visages et met en berne le moral des gens.
La bonne nouvelle est que l’Inde n’a pas seulement généré le variant ‘Delta’, mais aussi un nouveau vaccin, le ‘Covaxin’, qui serait efficace contre les variantes ‘Alpha’ et ‘Delta’.
Plus il aura de doses de vaccin produites et distribuées, plus vite l’humanité pourra enfin sortir de ce cauchemar.
En attendant, les gestes barrières demeurent de rigueur.
La bonne nouvelle est que l’Inde n’a pas seulement généré le variant ‘Delta’, mais aussi un nouveau vaccin, le ‘Covaxin’, qui serait efficace contre les variantes ‘Alpha’ et ‘Delta’.
Plus il aura de doses de vaccin produites et distribuées, plus vite l’humanité pourra enfin sortir de ce cauchemar.
En attendant, les gestes barrières demeurent de rigueur.