Par Zineb MARJOUF
Zineb avec son écriture électrique et unique choque l’ordre établi, impose ses vues, mais aussi perturbe les codes linguistiques, énonciatifs et génériques.
Elle ne s’attarde donc pas à transcrire et a cristallisé la société maghrébine avec ses traditions et ses coutumes tout en nous faisant plongés dans le destin antithétique de deux femmes marocaines « Kenza et Fatiha » deux figures emblématiques du personnage féminin qui vit entre transgression et soumission.
Un carrefour de civilisation qui illustre bel et bien la lutte des classes où le plus fort écrase toujours le plus faible et le plus faible écrase la femme.
C’est ici, que l’écrivaine s'investit corps et âme dans l’exercice de l’écriture, elle utilise son crayon comme une arme contre l’injustice que subissent les femmes contre la négation de la liberté sexuel, contre la lois du plus fort où les politiques managériales semblent être inspirées de l’adage hobbesien : « L’homme est un loup pour l’homme ».
En écrivant, Zineb MEKOUAR donne vie au texte et envie au lecteur tout, on nous faisons goûter les délices et les affres d’un travail très original.
Avec sa plume Zineb MEKOUAR, tisse soigneusement un discours laborieux, elle devient la porte-parole de la réalité qui l’entoure. Rien n’est plus expressif que la célèbre citation du grand poète arabe حسين علي العمري :
«. ابن بيئته ومرآة تعكس الموروث برمته الشاعر»
L’écrivaine reflète donc la situation sociale et politique de son temps et de son pays.
L’écriture devient donc un grand espace de jeux et d’enjeux. Cela surprendra le lecteur et capturera grandement l'intention de l’interpréteur. Nous naviguons non seulement avec nos yeux, mais aussi avec nos sens. C'est là que tous nos sens sont vraiment stimulés. On tombe vite amoureux du bon usage des mots sous l’effet magique des lettres sonores qui font à la fois de la musique et du bruit.
Rédigé par Zineb Marjouf
Elle ne s’attarde donc pas à transcrire et a cristallisé la société maghrébine avec ses traditions et ses coutumes tout en nous faisant plongés dans le destin antithétique de deux femmes marocaines « Kenza et Fatiha » deux figures emblématiques du personnage féminin qui vit entre transgression et soumission.
Un carrefour de civilisation qui illustre bel et bien la lutte des classes où le plus fort écrase toujours le plus faible et le plus faible écrase la femme.
C’est ici, que l’écrivaine s'investit corps et âme dans l’exercice de l’écriture, elle utilise son crayon comme une arme contre l’injustice que subissent les femmes contre la négation de la liberté sexuel, contre la lois du plus fort où les politiques managériales semblent être inspirées de l’adage hobbesien : « L’homme est un loup pour l’homme ».
En écrivant, Zineb MEKOUAR donne vie au texte et envie au lecteur tout, on nous faisons goûter les délices et les affres d’un travail très original.
Avec sa plume Zineb MEKOUAR, tisse soigneusement un discours laborieux, elle devient la porte-parole de la réalité qui l’entoure. Rien n’est plus expressif que la célèbre citation du grand poète arabe حسين علي العمري :
«. ابن بيئته ومرآة تعكس الموروث برمته الشاعر»
L’écrivaine reflète donc la situation sociale et politique de son temps et de son pays.
L’écriture devient donc un grand espace de jeux et d’enjeux. Cela surprendra le lecteur et capturera grandement l'intention de l’interpréteur. Nous naviguons non seulement avec nos yeux, mais aussi avec nos sens. C'est là que tous nos sens sont vraiment stimulés. On tombe vite amoureux du bon usage des mots sous l’effet magique des lettres sonores qui font à la fois de la musique et du bruit.
Rédigé par Zineb Marjouf