Le polisario a annoncé, pour la 2ème fois, par la voix de son chef en dernier, la fin du cessez-le-feu. « Retenez moi ou je fais un malheur… »
Jouer à la guerre
Tirs massifs de messages et de vidéos des polisariens sur les réseaux sociaux. Faute de vrais combattants, les bataillons de trolls du polisario sont passés à l’attaque, faisant preuve, confortablement installés derrière leurs écrans, d’une rare « bravoure ».
Ils sont chargés par le haut commandement polisarien de faire croire au monde entier qu’actuellement à Mahbes, c’est pire qu’à Stalingrad en 1942, que les vagues d’assaut submergent le mur de défense des FAR, dans le style « tempête du désert ». Bref, la « mère de toutes les batailles » sur le mode du jeu vidéo « free fire », avec des « morts » par paquets.
Lâchage en règle ?
A un tel niveau de médiocrité dans la désinformation, il faut vraiment croire que le mirage séparatiste est en train de s’estomper. Les dirigeants polisariens en sont tellement affolés qu’ils font vraiment tout et n’importe quoi. Alors qu’Alger tire les ficelles, ou de moins laisse faire, sachant pertinemment qu’en agissant de la sorte, le polisario court à sa perte.
Serait-ce une manière de se débarrasser d’un proxy dont le coût est devenu insupportable, en ces temps de vaches maigres, ainsi que diplomatiquement encombrant ? L’hypothèse n’étant pas improbable, il faut donc songer à accompagner le mourant polisario dans ses derniers instants. Qu’en sera-t-il des habitants des camps de Tindouf, si le polisario venait à s’effondrer en tant que structure politico-administrative ?
Le jour d’après
Que faire de milliers de jeunes allaités à la propagande polisarienne, formés à la subversion et au maniement des armes ? Tenter de les intégrer en masse, c’est reproduire Gdim Izik en mode turbo et à large échelle. Il serait peut être temps que les pays sympathisants du polisario joignent l’acte à la parole et accueillent ceux des habitants des camps qui n’ont nul envie d’être marocains. La marocanité, ça se mérite.
En attendant, les salves de fake news polisariennes continuent de plus belle sur les réseaux sociaux, pendant que les camions marocains roulent tranquillement, via Guergarat, vers les marchés mauritaniens et ouest-africains. C’est toute la différence entre l’illusion et la réalité.
Ahmed NAJI