Une nouvelle gouvernance de la politique actionnariale de l’État marocain se veut ambitieuse et transformative
Dans un contexte de réforme ambitieuse, le dernier Conseil des ministres présidé par SM le Roi a été marqué par une présentation de la ministre de l’Économie et des Finances sur la nouvelle politique actionnariale de l’État marocain. Cette politique se structure autour de sept orientations stratégiques majeures visant à consolider la souveraineté nationale et à dynamiser l'économie.
La première orientation stratégique met en avant la consolidation de la souveraineté nationale dans des secteurs cruciaux tels que l'énergie, la santé, l'eau, la sécurité alimentaire, l'environnement, la connectivité et la mobilité. En renforçant ces secteurs, l'État aspire à une indépendance accrue et à une résilience face aux crises globales.
Le Maroc, sous cette nouvelle gouvernance, cherche également à renforcer la coopération Sud-Sud, particulièrement avec les pays africains. Cette stratégie vise à consolider les relations économiques et politiques avec les nations africaines, favorisant ainsi un développement mutuel et solidaire.
Pour dynamiser l’investissement privé, l'État met l'accent sur l'engagement du secteur privé dans l'économie nationale. La contribution accrue du secteur privé est perçue comme un levier pour stimuler la croissance économique et l'innovation.
La création d'un environnement concurrentiel et la promotion de modèles économiques viables sont également au cœur de cette politique. L'objectif est de créer des opportunités de marché tout en soutenant des entreprises durables et compétitives.
La politique actionnariale vise à assurer une équité territoriale, garantissant un accès équitable des citoyens aux services publics de qualité. Ceci s’inscrit dans le cadre de la régionalisation avancée, permettant un développement harmonieux et équilibré des différentes régions du Royaume.
Les établissements et entreprises publics sont appelés à promouvoir une gestion responsable des ressources naturelles. En parallèle, l'État souhaite renforcer la résilience du pays face aux défis climatiques, en adoptant des pratiques durables et respectueuses de l’environnement.
Enfin, la valorisation optimale du patrimoine matériel et immatériel des établissements et entreprises publics est un axe stratégique. L'amélioration des performances de ces institutions est essentielle pour maximiser leur contribution à l'économie nationale.
Lors de ce Conseil, plusieurs agences et groupements stratégiques ont été mentionnés pour leur rôle crucial dans cette nouvelle gouvernance. Parmi eux, l'Agence de développement du Grand Atlas, l'Agence nationale d'aide sociale, la Haute Autorité de la Santé, les Groupements sanitaires territoriaux, l'Agence marocaine des médicaments et des produits de santé, et l'Agence marocaine du sang et de ses dérivés.
Il convient de noter que la mise en œuvre de cette politique actionnariale sera assurée par l'Agence nationale chargée de la gestion stratégique des participations de l'État. Cette agence sera un pilier central de la réforme du secteur des établissements et entreprises publics, garantissant une gestion efficace et stratégique des actifs publics.
Cette nouvelle gouvernance de la politique actionnariale de l’État marocain se veut ambitieuse et transformative. Elle vise à renforcer la souveraineté nationale, dynamiser l’économie, assurer l’équité territoriale, et promouvoir une gestion responsable et durable des ressources. Cette réforme marque une étape décisive dans le développement du Royaume, promettant un avenir plus résilient et prospère pour tous les Marocains.
La première orientation stratégique met en avant la consolidation de la souveraineté nationale dans des secteurs cruciaux tels que l'énergie, la santé, l'eau, la sécurité alimentaire, l'environnement, la connectivité et la mobilité. En renforçant ces secteurs, l'État aspire à une indépendance accrue et à une résilience face aux crises globales.
Le Maroc, sous cette nouvelle gouvernance, cherche également à renforcer la coopération Sud-Sud, particulièrement avec les pays africains. Cette stratégie vise à consolider les relations économiques et politiques avec les nations africaines, favorisant ainsi un développement mutuel et solidaire.
Pour dynamiser l’investissement privé, l'État met l'accent sur l'engagement du secteur privé dans l'économie nationale. La contribution accrue du secteur privé est perçue comme un levier pour stimuler la croissance économique et l'innovation.
La création d'un environnement concurrentiel et la promotion de modèles économiques viables sont également au cœur de cette politique. L'objectif est de créer des opportunités de marché tout en soutenant des entreprises durables et compétitives.
La politique actionnariale vise à assurer une équité territoriale, garantissant un accès équitable des citoyens aux services publics de qualité. Ceci s’inscrit dans le cadre de la régionalisation avancée, permettant un développement harmonieux et équilibré des différentes régions du Royaume.
Les établissements et entreprises publics sont appelés à promouvoir une gestion responsable des ressources naturelles. En parallèle, l'État souhaite renforcer la résilience du pays face aux défis climatiques, en adoptant des pratiques durables et respectueuses de l’environnement.
Enfin, la valorisation optimale du patrimoine matériel et immatériel des établissements et entreprises publics est un axe stratégique. L'amélioration des performances de ces institutions est essentielle pour maximiser leur contribution à l'économie nationale.
Lors de ce Conseil, plusieurs agences et groupements stratégiques ont été mentionnés pour leur rôle crucial dans cette nouvelle gouvernance. Parmi eux, l'Agence de développement du Grand Atlas, l'Agence nationale d'aide sociale, la Haute Autorité de la Santé, les Groupements sanitaires territoriaux, l'Agence marocaine des médicaments et des produits de santé, et l'Agence marocaine du sang et de ses dérivés.
Il convient de noter que la mise en œuvre de cette politique actionnariale sera assurée par l'Agence nationale chargée de la gestion stratégique des participations de l'État. Cette agence sera un pilier central de la réforme du secteur des établissements et entreprises publics, garantissant une gestion efficace et stratégique des actifs publics.
Cette nouvelle gouvernance de la politique actionnariale de l’État marocain se veut ambitieuse et transformative. Elle vise à renforcer la souveraineté nationale, dynamiser l’économie, assurer l’équité territoriale, et promouvoir une gestion responsable et durable des ressources. Cette réforme marque une étape décisive dans le développement du Royaume, promettant un avenir plus résilient et prospère pour tous les Marocains.