Le texte français dit : interdiction de port des signes religieux « DANS L’HEXAGONE ». Le Maroc ce n’est pas l’hexagone !
Les parents d’élèves inscrits aux écoles de la Mission française au Maroc ont été choqués d’apprendre l’interdiction d’accès à ces établissements aux élèves portant le voile, l’abbaya ou les robes longues.
Les parents ont protesté auprès du ministre de l’Éducation nationale, expliquant dans une lettre que ces établissements n’ont pas annoncé cette décision lors de la procédure d’inscription, mais après avoir renfloué leurs caisses.
Aussi, il n’est pas légal ni sensé que ces établissements prennent des décisions contradictoires aux orientations de l’État, le Maroc étant un pays musulman avant tout, disent-ils.
Noureddine Akkouri, président de la Fédération des associations des parents d’élèves au Maroc, condamne fermement la décision du lycée Descartes. Selon lui, cette mesure va à l’encontre de la loi et des orientations de l’État marocain, et les établissements issus des missions étrangères ne devraient pas imposer des restrictions qui contredisent les politiques nationales.
Cette controverse soulève des questions complexes sur la liberté religieuse et les politiques éducatives, non seulement en France, mais également dans les écoles affiliées à la mission française à l’étranger. Les parents d’élèves attendent désormais une réponse du ministre de tutelle pour résoudre cette situation délicate et garantir l’accès à l’éducation pour tous les élèves, indépendamment de leur tenue vestimentaire.
Les parents ont protesté auprès du ministre de l’Éducation nationale, expliquant dans une lettre que ces établissements n’ont pas annoncé cette décision lors de la procédure d’inscription, mais après avoir renfloué leurs caisses.
Aussi, il n’est pas légal ni sensé que ces établissements prennent des décisions contradictoires aux orientations de l’État, le Maroc étant un pays musulman avant tout, disent-ils.
Noureddine Akkouri, président de la Fédération des associations des parents d’élèves au Maroc, condamne fermement la décision du lycée Descartes. Selon lui, cette mesure va à l’encontre de la loi et des orientations de l’État marocain, et les établissements issus des missions étrangères ne devraient pas imposer des restrictions qui contredisent les politiques nationales.
Cette controverse soulève des questions complexes sur la liberté religieuse et les politiques éducatives, non seulement en France, mais également dans les écoles affiliées à la mission française à l’étranger. Les parents d’élèves attendent désormais une réponse du ministre de tutelle pour résoudre cette situation délicate et garantir l’accès à l’éducation pour tous les élèves, indépendamment de leur tenue vestimentaire.