Benmoussa a souligné que ce type d’enseignement « entre dans le cadre des conventions et de l’ouverture de notre pays aux expériences et aux cultures mondiales », notant que « ces conventions encadrent l’éducation et l’enseignement à la fois en termes de gestion et de contrôle des services ou de l’équivalence des attestations délivrées ».
À ce propos, le ministère, « veille à assurer aux élèves marocains à l’intérieur de ces établissements des matières comme la langue arabe, l’histoire-géo et la culture marocaine, dans des conditions adéquates et conformément aux programmes officiels de l’éducation nationale ».
À ce propos, le ministère, « veille à assurer aux élèves marocains à l’intérieur de ces établissements des matières comme la langue arabe, l’histoire-géo et la culture marocaine, dans des conditions adéquates et conformément aux programmes officiels de l’éducation nationale ».
« Nous notons de temps à autre, soit à travers les manuels scolaires ou les pratiques pédagogiques, la présence de dysfonctionnements », relevant que son département a « demandé à toutes les académies de constituer des commissions régionales chargées d’exercer un contrôle strict sur ces établissements, que ce soit sur les programmes ou les manuels utilisés. Tout doit être en totale conformité et en respect avec les constantes nationales et religieuses, l’unité nationale et territoriale ainsi que l’identité nationale ».Sur l’absence éventuelle de référence à l’histoire de la récupération des provinces du Sud, notamment dans les manuels de l’histoire-géo des écoles étrangères M.Benmoussa a réaffirmé que « nous devons lutter contre ces agissements à travers un contrôle sérieux et local allant jusqu’à la prise des sanctions nécessaires ».