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Par Abdeslam Seddiki
Le Covid-19 a infecté plus de 765 millions de personnes à travers le monde et en a tué environ 20 millions (pour comparaison, la grippe espagnole de 1918-1919 aurait fait 20 à 50 millions de morts).
Mais le virus a desserré son étau. Entre le 3 et le 30 avril 2023, près de 2,8 millions de nouveaux cas et plus de 17 000 décès ont été signalés dans le monde, « soit une diminution de 17 % et de 30 %, respectivement, par rapport aux 28 jours précédents », a relevé l’OMS dans son bulletin du 4 mai. Au plus fort de la pandémie, vers le 21 janvier 2021, 14 500 personnes mouraient chaque jour du Covid-19 dans le monde ; on en recense actuellement entre 500 et 600.
Les données relatives au Maroc telles qu’elles sont arrêtées au 5 mai, sont les suivantes : 1273832 personnes ont été contaminées ayant entrainé 16297 décès. On dénombre près de 25 Millions de personnes qui ont reçu la première dose de vaccin, dont 23, 5 Millions ont reçu une deuxième dose, près de 7 millions une troisième dose et à peine 60780 ont été piquées pour la quatrième fois.
A l’instar des autres pays, bien que le Maroc ait décrété la fin de l’Etat d’urgence, il appelle la population à demeurer vigilante car le virus continue de circuler même à un rythme lent : on comptabilise entre 300 et 400 personnes contaminées chaque semaine. Sans déplorer de décès fort heureusement.
En tout état de cause, nous ne devrions surtout pas perdre de vue les enseignements tirés de cette pénible période que l’humanité a traversée.
En effet, la pandémie telle qu’elle a été vécue nous a appris plusieurs leçons : d’abord, il a été prouvé l’intérêt d’un Etat interventionniste et stratège seul à même de gérer les crises et de venir en aide aux personnes vivant dans la précarité ; ensuite, on s’est rendu compte de l’importance de l’hôpital public seule à même d’assurer une égalité d’accès aux soins à tous les citoyens et d’éviter la marchandisation de la santé.
Un autre enseignement non moins important consiste à tempérer notre penchant pour l’ouverture tout azimut sur le marché mondial en comptant par trop sur les vertus du libre-échange, sacrifiant ainsi notre souveraineté économique et tout particulièrement la souveraineté touchant aux biens communs (Common goods) comme la santé, l’éducation, l’alimentation, l’énergie pour ne citer que ces secteurs ; et en lien avec la souveraineté économique, il est apparu l’importance d’investir massivement dans la recherche scientifique et l’innovation.
Mais le virus a desserré son étau. Entre le 3 et le 30 avril 2023, près de 2,8 millions de nouveaux cas et plus de 17 000 décès ont été signalés dans le monde, « soit une diminution de 17 % et de 30 %, respectivement, par rapport aux 28 jours précédents », a relevé l’OMS dans son bulletin du 4 mai. Au plus fort de la pandémie, vers le 21 janvier 2021, 14 500 personnes mouraient chaque jour du Covid-19 dans le monde ; on en recense actuellement entre 500 et 600.
Les données relatives au Maroc telles qu’elles sont arrêtées au 5 mai, sont les suivantes : 1273832 personnes ont été contaminées ayant entrainé 16297 décès. On dénombre près de 25 Millions de personnes qui ont reçu la première dose de vaccin, dont 23, 5 Millions ont reçu une deuxième dose, près de 7 millions une troisième dose et à peine 60780 ont été piquées pour la quatrième fois.
A l’instar des autres pays, bien que le Maroc ait décrété la fin de l’Etat d’urgence, il appelle la population à demeurer vigilante car le virus continue de circuler même à un rythme lent : on comptabilise entre 300 et 400 personnes contaminées chaque semaine. Sans déplorer de décès fort heureusement.
En tout état de cause, nous ne devrions surtout pas perdre de vue les enseignements tirés de cette pénible période que l’humanité a traversée.
En effet, la pandémie telle qu’elle a été vécue nous a appris plusieurs leçons : d’abord, il a été prouvé l’intérêt d’un Etat interventionniste et stratège seul à même de gérer les crises et de venir en aide aux personnes vivant dans la précarité ; ensuite, on s’est rendu compte de l’importance de l’hôpital public seule à même d’assurer une égalité d’accès aux soins à tous les citoyens et d’éviter la marchandisation de la santé.
Un autre enseignement non moins important consiste à tempérer notre penchant pour l’ouverture tout azimut sur le marché mondial en comptant par trop sur les vertus du libre-échange, sacrifiant ainsi notre souveraineté économique et tout particulièrement la souveraineté touchant aux biens communs (Common goods) comme la santé, l’éducation, l’alimentation, l’énergie pour ne citer que ces secteurs ; et en lien avec la souveraineté économique, il est apparu l’importance d’investir massivement dans la recherche scientifique et l’innovation.
D’ailleurs, ce sont les entreprises des pays développés qui ont tiré profit de la pandémie et notamment les grands laboratoires producteurs de vaccins (Big Pharma) et les champions du numérique que sont les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft).
On estime, en effet, que les trois laboratoires, Pfizer, BioNTech et Moderna, les grandes entreprises à l’origine des trois vaccins les plus utilisés dans la lutte contre le Covid-19, ont réalisé des bénéfices records en 2021.
Ainsi, les bénéfices annuels de ces entreprises sont estimés à 34 milliards de dollars avant impôts, ce qui représente plus de 1 000 dollars par seconde, 60 000 dollars la minute ou encore 93,5 millions de dollars par jour. Les marges bénéficiaires appliquées dépassent tout entendement : alors qu’une dose de vaccin Pfizer, BioNTech coûte tous frais compris moins de 1$ (0,88$), elle est vendue à plus de 20 $. Sans commentaire.
Les GAFAM pour leur part ont bien saisi l’opportunité. Les géants de la tech ont réalisé des résultats stratosphériques, engrangeant en une année 300 milliards de dollars de bénéfices nets pour 1 350 milliards de chiffre d'affaires, soit l’équivalent de 10 fois plus que le PIB du Maroc, et la moitié du PIB français !!
Bien sûr, le débat sur l’opportunité et l’efficacité des vaccins contre le covid-19 reste toujours ouvert entre les scientifiques et les spécialistes. Un ouvrage qui vient d’être publié tout récemment (février 2023) jette le pavé dans la mare. Son titre est révélateur : « les apprentis sorciers, tout ce qu’on vous cache sur l’ARN messager ».
L’auteure, Alexandra HENRION CAUDE, Docteur en génétique, a étudié notamment comment l’environnement modifiait nos gènes, et notamment l’ARN, (Acide ribonucléique) dans les maladies infantiles.
S’appuyant sur différentes enquêtes et études, et les déboires de certains vaccins contre d’autres maladies enregistrées dans le passé, elle a abouti à des conclusions pour le moins révoltantes. Une liste des effets indésirables provenant de Brighton Collaboration, qui est partenaire de l’OMS indique l’apparition d’une série de désordres dus au vaccin : hématologiques ; immunologiques ; pulmonaires ; cardiovasculaires dont myocardite, péricardite, arythmie, insuffisance cardiaque ; atteintes rénales et hépatites aiguës ; neurologiques ; dermatologiques.
Et cette liste est susceptible d’être mise à jour à mesure que de nouvelles preuves apparaissent. Autant d’effets secondaires qui ont fait dire à l’auteure en citant une étude menée par des scientifiques de Harvard et de Johns-Hopkins, que « le vaccin peut être plus dangereux que le virus lui-même » !
L’ouvrage est touffu de révélations sur les limites de la vaccination, notamment pour les enfants de bas âge et les femmes enceintes. La lecture de ce livre inquiète sérieusement et donne crédit à ceux qui étaient sceptiques au vaccin. Aux scientifiques et experts de nous rassurer, car il ne s’agit pas, pour paraphraser l’auteure des « Apprentis Sorciers » de traiter de météo ou de mode, mais de la santé des êtres humains.
Rédigé par Abdeslam Seddiki
On estime, en effet, que les trois laboratoires, Pfizer, BioNTech et Moderna, les grandes entreprises à l’origine des trois vaccins les plus utilisés dans la lutte contre le Covid-19, ont réalisé des bénéfices records en 2021.
Ainsi, les bénéfices annuels de ces entreprises sont estimés à 34 milliards de dollars avant impôts, ce qui représente plus de 1 000 dollars par seconde, 60 000 dollars la minute ou encore 93,5 millions de dollars par jour. Les marges bénéficiaires appliquées dépassent tout entendement : alors qu’une dose de vaccin Pfizer, BioNTech coûte tous frais compris moins de 1$ (0,88$), elle est vendue à plus de 20 $. Sans commentaire.
Les GAFAM pour leur part ont bien saisi l’opportunité. Les géants de la tech ont réalisé des résultats stratosphériques, engrangeant en une année 300 milliards de dollars de bénéfices nets pour 1 350 milliards de chiffre d'affaires, soit l’équivalent de 10 fois plus que le PIB du Maroc, et la moitié du PIB français !!
Bien sûr, le débat sur l’opportunité et l’efficacité des vaccins contre le covid-19 reste toujours ouvert entre les scientifiques et les spécialistes. Un ouvrage qui vient d’être publié tout récemment (février 2023) jette le pavé dans la mare. Son titre est révélateur : « les apprentis sorciers, tout ce qu’on vous cache sur l’ARN messager ».
L’auteure, Alexandra HENRION CAUDE, Docteur en génétique, a étudié notamment comment l’environnement modifiait nos gènes, et notamment l’ARN, (Acide ribonucléique) dans les maladies infantiles.
S’appuyant sur différentes enquêtes et études, et les déboires de certains vaccins contre d’autres maladies enregistrées dans le passé, elle a abouti à des conclusions pour le moins révoltantes. Une liste des effets indésirables provenant de Brighton Collaboration, qui est partenaire de l’OMS indique l’apparition d’une série de désordres dus au vaccin : hématologiques ; immunologiques ; pulmonaires ; cardiovasculaires dont myocardite, péricardite, arythmie, insuffisance cardiaque ; atteintes rénales et hépatites aiguës ; neurologiques ; dermatologiques.
Et cette liste est susceptible d’être mise à jour à mesure que de nouvelles preuves apparaissent. Autant d’effets secondaires qui ont fait dire à l’auteure en citant une étude menée par des scientifiques de Harvard et de Johns-Hopkins, que « le vaccin peut être plus dangereux que le virus lui-même » !
L’ouvrage est touffu de révélations sur les limites de la vaccination, notamment pour les enfants de bas âge et les femmes enceintes. La lecture de ce livre inquiète sérieusement et donne crédit à ceux qui étaient sceptiques au vaccin. Aux scientifiques et experts de nous rassurer, car il ne s’agit pas, pour paraphraser l’auteure des « Apprentis Sorciers » de traiter de météo ou de mode, mais de la santé des êtres humains.
Rédigé par Abdeslam Seddiki