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Cette déclaration, qualifiant ces pratiques de risque majeur pour la sécurité nationale, intervient dans un contexte de tensions croissantes entre les États-Unis et la Chine, exacerbant ainsi les hostilités dans la guerre commerciale en cours depuis des années.
La Maison-Blanche, déjà engagée dans la préservation de son marché intérieur contre les modèles électriques chinois avec des taxes douanières élevées, envisage désormais d'augmenter davantage les droits de douane sur les produits chinois, y compris les voitures électriques, dans un projet de loi prévu pour les prochains mois. Cette offensive contre les constructeurs automobiles chinois survient dans un contexte où des voix influentes, telles qu'Elon Musk, expriment leur inquiétude quant à la domination potentielle des marques occidentales par les marques chinoises, si des mesures restrictives ne sont pas mises en place.
En parallèle, des initiatives visant à limiter l'accès des "adversaires étrangers" aux données personnelles sensibles sont en cours de préparation, alimentant ainsi les préoccupations américaines quant à la sécurité des données et à la souveraineté technologique. Cette escalade dans les tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine pourrait avoir des répercussions majeures sur divers secteurs, y compris l'industrie automobile, avec des mesures restrictives potentielles concernant les matériaux critiques extraits ou traités en Chine et les achats de batteries auprès de fabricants chinois par des entités gouvernementales américaines.
Alors que les États-Unis cherchent à protéger leurs intérêts nationaux, l'avenir de la concurrence mondiale dans le secteur de l'automobile reste incertain, laissant entrevoir un paysage concurrentiel aux enjeux géopolitiques de plus en plus complexes.
La Maison-Blanche, déjà engagée dans la préservation de son marché intérieur contre les modèles électriques chinois avec des taxes douanières élevées, envisage désormais d'augmenter davantage les droits de douane sur les produits chinois, y compris les voitures électriques, dans un projet de loi prévu pour les prochains mois. Cette offensive contre les constructeurs automobiles chinois survient dans un contexte où des voix influentes, telles qu'Elon Musk, expriment leur inquiétude quant à la domination potentielle des marques occidentales par les marques chinoises, si des mesures restrictives ne sont pas mises en place.
En parallèle, des initiatives visant à limiter l'accès des "adversaires étrangers" aux données personnelles sensibles sont en cours de préparation, alimentant ainsi les préoccupations américaines quant à la sécurité des données et à la souveraineté technologique. Cette escalade dans les tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine pourrait avoir des répercussions majeures sur divers secteurs, y compris l'industrie automobile, avec des mesures restrictives potentielles concernant les matériaux critiques extraits ou traités en Chine et les achats de batteries auprès de fabricants chinois par des entités gouvernementales américaines.
Alors que les États-Unis cherchent à protéger leurs intérêts nationaux, l'avenir de la concurrence mondiale dans le secteur de l'automobile reste incertain, laissant entrevoir un paysage concurrentiel aux enjeux géopolitiques de plus en plus complexes.