Malheureusement, le principe -normalement- de cette égalité femmes/hommes n’est pas compris majoritairement. Une femme, présidente d’une grande association, a bien dit à CSS qu’elle n’avait rien demandé et n’avait rien à demander, rien car femmes et hommes ne voulaient pas comprendre l’égalité. « Rien à voir avec cela ! Parlez d’équité ! Mendicité ! Je vis librement, je ne vais pas dans l’ostentation, et personne ne me dicte comment vivre ! »
CSS entend parfaitement ce cri de désolation. Car la femme possède des qualités égales à celles des hommes. Mais historiquement, l’homme s’est tellement montré comme le chevalier, le sauveur, le protecteur, le penseur, le plus fort, qu’il en a oublié les capacités de celle qui pouvait seule porter un enfant près de neuf mois dans son ventre.
Mais la femme n’est pas que la porteuse ! Elle n’est pas la simple jolie princesse, qu’on veut voir faible. Ceci est à comprendre, pour ce qui est des hommes.
La femme, quant à elle, doit cesser de vouloir se comporter comme se comportent les hommes ! Un homme qui maîtrise activement son âme est conscient de sa part de féminité. Yin et Yang.
La femme doit, elle aussi, être consciente de sa part de masculinité. Mais il ne faut pas aller dans les excès, car l’équilibre se perd alors. CSS a eu des femmes comme responsable hiérarchique, avec la chance de tomber sur des femmes qui étaient conscientes de ce qu’elles étaient, et surtout qui n’ont pas essayé de reproduire le schéma directif qu’emploient moult hommes … et malheureusement bien des femmes.
Bien au contraire, c’est un management participatif, avec une énorme intelligence émotionnelle, avec tous ces bienfaits de la gestion par une femme, avec ses émotions liées à un sang-froid. Un niveau d’instruction notable, une éducation et de l’expérience. Les hommes sont trop intimes avec leur égo. Les femmes, par l’histoire, n’ont pas cette charge qui pèse. C’est ainsi qu’elles brillent le plus.
Il serait dans l’intérêt de tous que les femmes cessent de vouloir accéder aux mêmes possibilités que les hommes en imitant leurs attitudes qui sont parfois ou souvent sans élégance. Cela a des conséquences qui sont toxiques. CSS, hétérosexuel -le problème des causes qui se font entendre est que l’on essaye de mettre les gens dans des cases, comme inciter un hétérosexuel à s’affirmer homosexuel, ce qu’il ne sera pas ! Parce que son respect de la femme et son écoute font ressortir une part de féminité, qui permet de mieux s’entendre avec la femme.
Et CSS aime ses amis homosexuels. Si l’on vous dit qu’il faut lapider un homosexuel comme il a été dit à CSS, ce dernier, devant les raisonner ou au moins calmer leurs pulsions, leur répond que cela représente moins de concurrence pour gagner le cœur du sexe opposé …
Tout comme de grandes féministes qui forcent CSS à avouer qu’il est féministe profondément et qu’il répond par la négative, arguant qu’il est pour l’égalité femme-homme : il faut savoir s’adapter-, cet illuminé qui écrit pour éveiller ses semblables, aime voir des femmes épanouies avec des responsabilités ou des œuvres achevées, car cela les fait se sentir belles. Quoi de plus beau que la beauté ?
L’exemple déplaisant dans cette ère où beaucoup de femmes estiment devoir faire comme les hommes est celui de l’homme qui se comporte en parfait gentleman, galant, poli, respectueux, qui emploie un ton différent d’un homme à une femme, d’une femme à un homme. Cet homme loyal, fidèle à ses valeurs et qui s’adapte aux valeurs de la femme rencontrée.
Celui-ci, dans le cas où les femmes mimeraient l’homme, ne pourrait qu’être de confiance, gentil, donc potentiellement -souvent- vu comme faible, idiot, mais surtout pourrait finir maltraité car les femmes étant habituées à des attitudes irrespectueuses voire violentes se retrouveraient déstabilisées ! Si l’homme ne frappe pas, alors la femme doit le faire.
SI l’homme ne veut pas hausser le ton, la femme doit le faire ! L’équilibre des couples ne se fait pas par celui qui domine et celui qui est dominé. Il ne se fait pas par l’un qui gagne et l’autre qui perd.
C’est un travail d’équipe. On gagne ensemble, on perd ensemble ! La réflexion n’est pas à amalgamer avec Don quichotte, le romanesque héros du XVIème siècle, de Cervantès, ce Grand Espagnol. Il est alors question d’un gentilhomme idéaliste et rêveur, frisant le ridicule par son imagination imbibée, noyée de scénarios de chevalerie.
Les relations sont faites de hauts comme de bas. Feu Sa Majesté Hassan II, défunt Roi du Maroc, le disait bien, on le sait : « Ce ne sont pas les plus forts ou les plus rapides, mais les plus endurants qui réussissent ». Pour apprécier le bonheur, il faut connaître le malheur. Comment reconnaître la gauche ? Par rapport à la droite. Le haut ? Par le bas ! Alors il faut savoir endurer dans la vie et patienter le temps nécessaire -avec des efforts- pour jouir du bonheur.
Donc ne pas chercher le bonheur, car on ne le trouvera jamais. Être heureux tout de suite et maintenant. Carpe diem.
En cette période de pandémie, il faut voir ce qui est apocalypse, âalamate saâa, armageddon, comme la fin d’un monde, pas la fin du monde ! Nous respirons toujours. Il est essentiel de faire ce qu’a toujours fait l’Humanité : s’unir. Tels les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas, « Unus pro omnibus, omnes pro uno ».
Locution latine pour : « Un pour tous, tous pour un ». Originellement devise traditionnelle suissesse … Il faut se battre contre l’individualisme qui devient la mouvance internationale. Et s’il y a des conflits, il faut essayer, sans jamais oublier les événements, de passer outre en entrevoyant les bénéfices du lâcher-prise.
Il faut avancer et faire avancer. Quand on voit le bout du tunnel, cette lumière, il faut aller la montrer aux autres pour avancer ensemble. Il y a du « masculinisme » extrémiste. Maintenant on voit clairement du féminisme extrémiste, de droite comme de gauche ! Sujets à d’autres débats. Cela ne peut s’arranger si l’on se borne et qu’on ne veut pas réfléchir pour agir dans le sens commun. Les mousquetaires ont existé au XVème siècle, tout n’est pas que fiction. Comme vivre mieux malgré ce passage pandémique violent !
Il faut se tolérer, s’accepter, quitte à prendre le recul nécessaire. Le temps panse les plaies. Quels que soient les efforts réalisés pour son prochain, ne jamais vouloir récupérer ce qui a été fait. Regretter n’est pas constructif. Donner à son prochain finit toujours par payer. Pour certains, les résultats sont immédiats. Pour d’autres, il faut des décennies. Il faut aussi laisser le temps au prochain de comprendre la bienveillance des actes, des paroles.
« Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau », du philosophe grec Anaxagore. Citation reprise -formulation connue de tous- par le guillotiné Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ».
La leçon à tirer serait d’oublier la discrimination, négative ou positive. Cela mène à un racisme. Alors que les êtres humains -bien évidemment, femmes et hommes ; « Homme » n’ayant aucune légitimité dans ces réflexions- composent une seule et même race ! Le terme racisme n’a finalement aucun bon sens.
« L’intégration d’un racisme devenu inconscient est bien plus insidieuse que les insultes que j’ai entendues étant jeune. » Abd Al Malik, rappeur. L’intégration identitaire pluridisciplinaire ou la fierté de vivre en étant soi-même.
Sans masques. Pour les masques chirurgicaux, on attendra encore un peu, avant de faire tomber les masques.
Par Constant San Sophism
CSS entend parfaitement ce cri de désolation. Car la femme possède des qualités égales à celles des hommes. Mais historiquement, l’homme s’est tellement montré comme le chevalier, le sauveur, le protecteur, le penseur, le plus fort, qu’il en a oublié les capacités de celle qui pouvait seule porter un enfant près de neuf mois dans son ventre.
Mais la femme n’est pas que la porteuse ! Elle n’est pas la simple jolie princesse, qu’on veut voir faible. Ceci est à comprendre, pour ce qui est des hommes.
La femme, quant à elle, doit cesser de vouloir se comporter comme se comportent les hommes ! Un homme qui maîtrise activement son âme est conscient de sa part de féminité. Yin et Yang.
La femme doit, elle aussi, être consciente de sa part de masculinité. Mais il ne faut pas aller dans les excès, car l’équilibre se perd alors. CSS a eu des femmes comme responsable hiérarchique, avec la chance de tomber sur des femmes qui étaient conscientes de ce qu’elles étaient, et surtout qui n’ont pas essayé de reproduire le schéma directif qu’emploient moult hommes … et malheureusement bien des femmes.
Bien au contraire, c’est un management participatif, avec une énorme intelligence émotionnelle, avec tous ces bienfaits de la gestion par une femme, avec ses émotions liées à un sang-froid. Un niveau d’instruction notable, une éducation et de l’expérience. Les hommes sont trop intimes avec leur égo. Les femmes, par l’histoire, n’ont pas cette charge qui pèse. C’est ainsi qu’elles brillent le plus.
Il serait dans l’intérêt de tous que les femmes cessent de vouloir accéder aux mêmes possibilités que les hommes en imitant leurs attitudes qui sont parfois ou souvent sans élégance. Cela a des conséquences qui sont toxiques. CSS, hétérosexuel -le problème des causes qui se font entendre est que l’on essaye de mettre les gens dans des cases, comme inciter un hétérosexuel à s’affirmer homosexuel, ce qu’il ne sera pas ! Parce que son respect de la femme et son écoute font ressortir une part de féminité, qui permet de mieux s’entendre avec la femme.
Et CSS aime ses amis homosexuels. Si l’on vous dit qu’il faut lapider un homosexuel comme il a été dit à CSS, ce dernier, devant les raisonner ou au moins calmer leurs pulsions, leur répond que cela représente moins de concurrence pour gagner le cœur du sexe opposé …
Tout comme de grandes féministes qui forcent CSS à avouer qu’il est féministe profondément et qu’il répond par la négative, arguant qu’il est pour l’égalité femme-homme : il faut savoir s’adapter-, cet illuminé qui écrit pour éveiller ses semblables, aime voir des femmes épanouies avec des responsabilités ou des œuvres achevées, car cela les fait se sentir belles. Quoi de plus beau que la beauté ?
L’exemple déplaisant dans cette ère où beaucoup de femmes estiment devoir faire comme les hommes est celui de l’homme qui se comporte en parfait gentleman, galant, poli, respectueux, qui emploie un ton différent d’un homme à une femme, d’une femme à un homme. Cet homme loyal, fidèle à ses valeurs et qui s’adapte aux valeurs de la femme rencontrée.
Celui-ci, dans le cas où les femmes mimeraient l’homme, ne pourrait qu’être de confiance, gentil, donc potentiellement -souvent- vu comme faible, idiot, mais surtout pourrait finir maltraité car les femmes étant habituées à des attitudes irrespectueuses voire violentes se retrouveraient déstabilisées ! Si l’homme ne frappe pas, alors la femme doit le faire.
SI l’homme ne veut pas hausser le ton, la femme doit le faire ! L’équilibre des couples ne se fait pas par celui qui domine et celui qui est dominé. Il ne se fait pas par l’un qui gagne et l’autre qui perd.
C’est un travail d’équipe. On gagne ensemble, on perd ensemble ! La réflexion n’est pas à amalgamer avec Don quichotte, le romanesque héros du XVIème siècle, de Cervantès, ce Grand Espagnol. Il est alors question d’un gentilhomme idéaliste et rêveur, frisant le ridicule par son imagination imbibée, noyée de scénarios de chevalerie.
Les relations sont faites de hauts comme de bas. Feu Sa Majesté Hassan II, défunt Roi du Maroc, le disait bien, on le sait : « Ce ne sont pas les plus forts ou les plus rapides, mais les plus endurants qui réussissent ». Pour apprécier le bonheur, il faut connaître le malheur. Comment reconnaître la gauche ? Par rapport à la droite. Le haut ? Par le bas ! Alors il faut savoir endurer dans la vie et patienter le temps nécessaire -avec des efforts- pour jouir du bonheur.
Donc ne pas chercher le bonheur, car on ne le trouvera jamais. Être heureux tout de suite et maintenant. Carpe diem.
En cette période de pandémie, il faut voir ce qui est apocalypse, âalamate saâa, armageddon, comme la fin d’un monde, pas la fin du monde ! Nous respirons toujours. Il est essentiel de faire ce qu’a toujours fait l’Humanité : s’unir. Tels les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas, « Unus pro omnibus, omnes pro uno ».
Locution latine pour : « Un pour tous, tous pour un ». Originellement devise traditionnelle suissesse … Il faut se battre contre l’individualisme qui devient la mouvance internationale. Et s’il y a des conflits, il faut essayer, sans jamais oublier les événements, de passer outre en entrevoyant les bénéfices du lâcher-prise.
Il faut avancer et faire avancer. Quand on voit le bout du tunnel, cette lumière, il faut aller la montrer aux autres pour avancer ensemble. Il y a du « masculinisme » extrémiste. Maintenant on voit clairement du féminisme extrémiste, de droite comme de gauche ! Sujets à d’autres débats. Cela ne peut s’arranger si l’on se borne et qu’on ne veut pas réfléchir pour agir dans le sens commun. Les mousquetaires ont existé au XVème siècle, tout n’est pas que fiction. Comme vivre mieux malgré ce passage pandémique violent !
Il faut se tolérer, s’accepter, quitte à prendre le recul nécessaire. Le temps panse les plaies. Quels que soient les efforts réalisés pour son prochain, ne jamais vouloir récupérer ce qui a été fait. Regretter n’est pas constructif. Donner à son prochain finit toujours par payer. Pour certains, les résultats sont immédiats. Pour d’autres, il faut des décennies. Il faut aussi laisser le temps au prochain de comprendre la bienveillance des actes, des paroles.
« Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau », du philosophe grec Anaxagore. Citation reprise -formulation connue de tous- par le guillotiné Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ».
La leçon à tirer serait d’oublier la discrimination, négative ou positive. Cela mène à un racisme. Alors que les êtres humains -bien évidemment, femmes et hommes ; « Homme » n’ayant aucune légitimité dans ces réflexions- composent une seule et même race ! Le terme racisme n’a finalement aucun bon sens.
« L’intégration d’un racisme devenu inconscient est bien plus insidieuse que les insultes que j’ai entendues étant jeune. » Abd Al Malik, rappeur. L’intégration identitaire pluridisciplinaire ou la fierté de vivre en étant soi-même.
Sans masques. Pour les masques chirurgicaux, on attendra encore un peu, avant de faire tomber les masques.
Par Constant San Sophism