La plupart des cosmétiques analysés remplissent bien leur fonction en matière de protection contre les UVB. « Les produits de l’essai présentent presque tous une filtration des UVB à la hauteur de leur allégation. La plupart la dépassent, même. » fait savoir le magazine. En revanche, la promesse est limitée face aux UVA.
Or, ces derniers « participent pleinement aux dommages liés à l’exposition au soleil et nous y sommes continuellement exposés car ils traversent les nuages comme les vitres » rappelle l’organisation.
Par ailleurs, 60 millions de consommateurs précise que sur la quinzaine de laits solaires analysés : « Beaucoup sont pénalisés parce qu’ils ont de nombreux ingrédients dont les risques, même modérés, se cumulent : irritants, sensibilisants, allergènes, parfums… »
Bon pour la santé , bon pour l"environnement
Alors que les produits sont destinés à protéger la peau des méfaits du soleil, leurs compositions ne sont pas non plus sans conséquences pour l’environnement « malgré la profusion d’allégations de protection de la vie marine » précise 60 millions de consommateurs.
i les packagings se parent de petits coraux, de poissons ou de mentions arguant préserver les fonds marins, les produits sont entourés d’un certain flou car « aucune évaluation des risques écotoxicologiques n’est obligatoire ».
Pour couronner le tout, il n’existe aucun consensus sur les effets des filtres qu’ils contiennent sur les océans, leur faune et leur flore.
En fonction de nombreux critères et tests, l’organisation a attribué une note à chacun des produits. Celui qui s’en sort haut la main est le lait solaire Waterlover Sun milk signé Biotherm.
Il reçoit la note globale de 16,5/20. Tous les voyants sont au vert, puisqu’il est auréolé d’une bonne appréciation pour la santé et pour l’environnement.
Avec Version Femina