Par Zineb MARJOUF Université Ibn Tofail Kénitra Maroc .
Communiquer, implique donc une définition corrélative du locuteur et de l'interlocuteur et de la relation qui les relie.
Le préfixe du terme « inter » du mot interculturel indique une mise en relation et une prise en considération des interactions entre des groupes, des individus, des identités différentes.
Ainsi le concept d’interaction est essentiel pour savoir ce que la culture et l’identité culturelle.
D’ailleurs Cruche en 2001, à la page (51).
Stimule que « l’identité culturel d’un groupe donné ne se comprends qu’on étudiant ses relations avec les groupes voisins».
Celle-ci, se fond en effet, sur la question du rapport à l’autre différemment de soi.
Cette conscience de soi et d’autrui ne se définit et ne se construit que dans une relation d'opposition. On ne peut être soi-même seul.
L’individu en soi n’est pas une île. « Aucun homme n'est une île, complet en soi-même ; chaque être humain est une partie du continent, une partie du tout [1]. »
Il ya un fort besoin de lien que de bien. Pour All port : « Il y a un lien entre les relations sociales et le bien-être subjectif [2]
Selon Gergen (1981), « les individus tentent d’acquérir, à travers l’échange, un plaisir maximal à un coût minimal».
Selon Sartre, « soi et autrui ne se fondent qu'à travers une double négation qui implique aussi une liaison synthétique et active des deux termes dont chacun se constitue en se niant de l'autre. » (1943, p. 298)
Entre « soi » et « autrui» se trouve parfois une différence d’éducation sociale, d’environnement, de contexte, d’expérience, de culture.
Chose qui met en évidence la nature de nos comportements, notre façon de communiquer et d’interagir avec nos semblables.
Certes, nous pouvons avoir les même yeux mais pas forcément les mêmes visons. Chacun use ses stéréotypes, ses codes, et ses idées.
La communication est le fondement de l’inter culturalité. Deux individus de cultures différentes essayent d’adopter une attitude, un vocabulaire et une approche de communication adaptée afin de fluidifier les échanges et d’éviter les quiproquos.
Cette communication en soi ne s’est pas réduite à la conversation ; elle a intégré de multiples éléments « non verbaux » en utilisant des instruments autres que la langue.
C’est à travers les travaux de Gregory Bateson, Ervin Goffman, Edward Hall[[3]]url:#_ftn3 , Paul Watzlawick, que le concept de communication est défini et étudié comme
Un « processus » permanent, intégrant de multiples modes de comportements à titre d’exemple : le regard, le froncement de sourcils, la poignée de main, les manifestations physionomiques, l’espace interindividuel, l’intonation, les mouvements, etc. Ces multiples éléments traduisent nos profonds ressentis face aux situations d’interaction chose qui donne un langage au corps humain plus expressif que les mots en eux-mêmes.
Le préfixe du terme « inter » du mot interculturel indique une mise en relation et une prise en considération des interactions entre des groupes, des individus, des identités différentes.
Ainsi le concept d’interaction est essentiel pour savoir ce que la culture et l’identité culturelle.
D’ailleurs Cruche en 2001, à la page (51).
Stimule que « l’identité culturel d’un groupe donné ne se comprends qu’on étudiant ses relations avec les groupes voisins».
Celle-ci, se fond en effet, sur la question du rapport à l’autre différemment de soi.
Cette conscience de soi et d’autrui ne se définit et ne se construit que dans une relation d'opposition. On ne peut être soi-même seul.
L’individu en soi n’est pas une île. « Aucun homme n'est une île, complet en soi-même ; chaque être humain est une partie du continent, une partie du tout [1]. »
Il ya un fort besoin de lien que de bien. Pour All port : « Il y a un lien entre les relations sociales et le bien-être subjectif [2]
Selon Gergen (1981), « les individus tentent d’acquérir, à travers l’échange, un plaisir maximal à un coût minimal».
Selon Sartre, « soi et autrui ne se fondent qu'à travers une double négation qui implique aussi une liaison synthétique et active des deux termes dont chacun se constitue en se niant de l'autre. » (1943, p. 298)
Entre « soi » et « autrui» se trouve parfois une différence d’éducation sociale, d’environnement, de contexte, d’expérience, de culture.
Chose qui met en évidence la nature de nos comportements, notre façon de communiquer et d’interagir avec nos semblables.
Certes, nous pouvons avoir les même yeux mais pas forcément les mêmes visons. Chacun use ses stéréotypes, ses codes, et ses idées.
La communication est le fondement de l’inter culturalité. Deux individus de cultures différentes essayent d’adopter une attitude, un vocabulaire et une approche de communication adaptée afin de fluidifier les échanges et d’éviter les quiproquos.
Cette communication en soi ne s’est pas réduite à la conversation ; elle a intégré de multiples éléments « non verbaux » en utilisant des instruments autres que la langue.
C’est à travers les travaux de Gregory Bateson, Ervin Goffman, Edward Hall[[3]]url:#_ftn3 , Paul Watzlawick, que le concept de communication est défini et étudié comme
Un « processus » permanent, intégrant de multiples modes de comportements à titre d’exemple : le regard, le froncement de sourcils, la poignée de main, les manifestations physionomiques, l’espace interindividuel, l’intonation, les mouvements, etc. Ces multiples éléments traduisent nos profonds ressentis face aux situations d’interaction chose qui donne un langage au corps humain plus expressif que les mots en eux-mêmes.
1 John Donne
2 (Baumeister, 1991).
3 Le Langage silencieux, Seuil, 1984 ((en) The Silent Language, (1959).