A l’aune de ce qui prévaut, actuellement, un peu partout dans le monde, cet exercice devient plus intéressant. Tant, qu’en ces temps de couvre-feu, de restrictions, de privations, de confinement, de déconfinement, de reconfinement, de virus, de ses variants, de vaccin, de ses effets… la condition humaine est mise à rude épreuve.
La peur s’installe, le doute hante les esprits, l’angoisse inhibe l’épanouissement voire la plénitude de l’espèce humaine.
Bref, la misère humaine dans toutes ses déclinaisons resurgie et les inégalités s’accentuent.
De nombreuses personnes se retrouvent ainsi exposées à la mort et au dénuement.
Et dire que le souci de réduire les inégalités fait, depuis belle lurette, partie intégrante des efforts visant l’atteinte des fameux objectifs de développement durable.
N’est-il pas beaucoup plus intéressant, en ces moments de grande détresse, d’associer lutte anti Covid-19 et bataille contre les inégalités. Une manière de soutenir une reprise inclusive et génératrice de beaucoup plus d’équité.
Une manière aussi de se réconcilier avec les plus démunis, les laissés-pour-compte.
Ceux qui survivent au compte goutte. Et qui risquent d’être de plus en plus nombreux.
De par la digitalisation accélérée en ces temps pandémie, il va sans dire que rares sont les travailleurs peu qualifiés qui auront des chances de retrouver un emploi ou une opportunité de travail. Que de ménages déstabilisés, que d’enfants déscolarisés. Que de gâchis. Que de séquelles durables…
Qu’apporte la réponse collective de la communauté internationale face à ses inégalités systémiques?
Du vent rien que du vent, si ce n’est le chacun pour soi et le Sars-CoV-2 pour tous. L’égoïsme vaccinal en est la parfaite illustration.
Et pourtant, l’avis de nombreux scientifiques est on ne peut plus explicite : « Tant que le virus circulera, les vaccins de première génération pourraient s’avérer inefficaces face à de nouveaux variants plus contagieux, plus mortels et plus résistants ».
La communauté internationale, est-elle myope à ce point? Au point d’amorcer une bombe à variants.
Ce serait un leurre, un grand leurre, de croire, pour un instant, que les vaccinés peuvent circuler librement tandis que les autres restent confinés.
Par Noureddine BATIJE
La peur s’installe, le doute hante les esprits, l’angoisse inhibe l’épanouissement voire la plénitude de l’espèce humaine.
Bref, la misère humaine dans toutes ses déclinaisons resurgie et les inégalités s’accentuent.
De nombreuses personnes se retrouvent ainsi exposées à la mort et au dénuement.
Et dire que le souci de réduire les inégalités fait, depuis belle lurette, partie intégrante des efforts visant l’atteinte des fameux objectifs de développement durable.
N’est-il pas beaucoup plus intéressant, en ces moments de grande détresse, d’associer lutte anti Covid-19 et bataille contre les inégalités. Une manière de soutenir une reprise inclusive et génératrice de beaucoup plus d’équité.
Une manière aussi de se réconcilier avec les plus démunis, les laissés-pour-compte.
Ceux qui survivent au compte goutte. Et qui risquent d’être de plus en plus nombreux.
De par la digitalisation accélérée en ces temps pandémie, il va sans dire que rares sont les travailleurs peu qualifiés qui auront des chances de retrouver un emploi ou une opportunité de travail. Que de ménages déstabilisés, que d’enfants déscolarisés. Que de gâchis. Que de séquelles durables…
Qu’apporte la réponse collective de la communauté internationale face à ses inégalités systémiques?
Du vent rien que du vent, si ce n’est le chacun pour soi et le Sars-CoV-2 pour tous. L’égoïsme vaccinal en est la parfaite illustration.
Et pourtant, l’avis de nombreux scientifiques est on ne peut plus explicite : « Tant que le virus circulera, les vaccins de première génération pourraient s’avérer inefficaces face à de nouveaux variants plus contagieux, plus mortels et plus résistants ».
La communauté internationale, est-elle myope à ce point? Au point d’amorcer une bombe à variants.
Ce serait un leurre, un grand leurre, de croire, pour un instant, que les vaccinés peuvent circuler librement tandis que les autres restent confinés.
Par Noureddine BATIJE