Cependant, à la surprise générale, cette dernière s’est retirée de la transaction, perturbant ainsi une procédure qui semblait promise à la réussite. Cet échec de la cession s’inscrit dans le cadre de la liquidation des actifs de la Samir, qui traverse depuis plusieurs années une crise financière majeure.
Cet abandon soulève des questions quant à la viabilité des projets de liquidation et aux raisons qui ont conduit Aylise Fedala à se désister après avoir pourtant déposé des chèques pour finaliser l’achat. Cette situation rappelle d’autres échecs de liquidation similaires, où la complexité des procédures judiciaires et administratives a freiné la conclusion des transactions.
Cet abandon soulève des questions quant à la viabilité des projets de liquidation et aux raisons qui ont conduit Aylise Fedala à se désister après avoir pourtant déposé des chèques pour finaliser l’achat. Cette situation rappelle d’autres échecs de liquidation similaires, où la complexité des procédures judiciaires et administratives a freiné la conclusion des transactions.