Une citadine électrique plus abordable mais qui fait gagner de l’argent à Renault ?
Le retour de la R5, emblème d'une époque révolue mais toujours chère au cœur des passionnés, semble être plus qu'une simple résurgence : c'est un pari sur l'avenir, un clin d'œil au passé qui s'inscrit dans la modernité électrique. Car, malgré les craintes et les défis, Renault voit dans cette nouvelle itération une opportunité de récolter les fruits d'une stratégie audacieuse.
Les chiffres parlent d'eux-mêmes : sous la houlette de Luca de Meo, le vent a tourné pour le géant français de l'automobile. Des pertes abyssales sont devenues des bénéfices records, grâce à une vision axée sur la valeur plutôt que sur les volumes. L'Arkana, l'Austral, autant de noms qui évoquent une nouvelle ère de succès pour Renault.
Pourtant, le défi de la rentabilité dans le domaine électrique reste prégnant. Les investissements massifs nécessaires et la guerre des prix imposent une vigilance constante. Mais Renault ne recule pas devant l'adversité : une division dédiée, Ampere, est là pour affronter le défi et promet l'équilibre financier d'ici 2025.
Dans ce contexte exigeant, la R5 électrique se profile comme un pari calculé. Malgré sa fabrication en France, malgré un marché concurrentiel, Renault affirme qu'elle sera rentable. Les efforts pour réduire les coûts, à travers une plate-forme électrique dédiée et une conception optimisée, illustrent la détermination de la marque à réussir.
Le 26 février, le voile sera levé sur cette nouvelle icône électrique, mêlant le charme rétro de la R5 à la modernité de la propulsion électrique. Un mariage de passé et de futur, une symphonie de nostalgie et d'innovation, qui pourrait bien marquer un tournant pour Renault.
Dans cette course vers l'électrification, Luca de Meo appelle à la prudence, rappelant que les changements prennent du temps. Mais il voit également dans la collaboration avec les acteurs chinois une opportunité de progresser, une chance de s'inspirer d'une vision plus avancée.
Ainsi, la nouvelle R5 électrique, plus qu'un simple modèle, incarne le renouveau de Renault, un hommage au passé glorieux et une promesse pour l'avenir. Une voiture qui, tout en étant moins chère, pourrait bien rapporter gros à la marque au losange.
Les chiffres parlent d'eux-mêmes : sous la houlette de Luca de Meo, le vent a tourné pour le géant français de l'automobile. Des pertes abyssales sont devenues des bénéfices records, grâce à une vision axée sur la valeur plutôt que sur les volumes. L'Arkana, l'Austral, autant de noms qui évoquent une nouvelle ère de succès pour Renault.
Pourtant, le défi de la rentabilité dans le domaine électrique reste prégnant. Les investissements massifs nécessaires et la guerre des prix imposent une vigilance constante. Mais Renault ne recule pas devant l'adversité : une division dédiée, Ampere, est là pour affronter le défi et promet l'équilibre financier d'ici 2025.
Dans ce contexte exigeant, la R5 électrique se profile comme un pari calculé. Malgré sa fabrication en France, malgré un marché concurrentiel, Renault affirme qu'elle sera rentable. Les efforts pour réduire les coûts, à travers une plate-forme électrique dédiée et une conception optimisée, illustrent la détermination de la marque à réussir.
Le 26 février, le voile sera levé sur cette nouvelle icône électrique, mêlant le charme rétro de la R5 à la modernité de la propulsion électrique. Un mariage de passé et de futur, une symphonie de nostalgie et d'innovation, qui pourrait bien marquer un tournant pour Renault.
Dans cette course vers l'électrification, Luca de Meo appelle à la prudence, rappelant que les changements prennent du temps. Mais il voit également dans la collaboration avec les acteurs chinois une opportunité de progresser, une chance de s'inspirer d'une vision plus avancée.
Ainsi, la nouvelle R5 électrique, plus qu'un simple modèle, incarne le renouveau de Renault, un hommage au passé glorieux et une promesse pour l'avenir. Une voiture qui, tout en étant moins chère, pourrait bien rapporter gros à la marque au losange.