Poème à écouter en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Celui qui de l'habitude enchaîne son chemin,
Meurt d'une lente mort, sous un voile inhumain.
Esclave du banal, il s'éteint doucement,
Répétant chaque jour ses gestes sans présent.
Meurt celui qui se fie aux écrans oppressants,
Et fait d'un faux savoir son guide aveuglant.
Celui qui fuit la vie, les voyages lointains,
Ignore que le monde le nourrit de ses mains.
Meurt celui qui dédaigne un livre ou une voix,
Et ferme ses oreilles aux murmures de soi.
Celui qui n’entend pas les chants de l'univers,
S'égare et se condamne à un silence amer.
Meurt celui qui détruit son amour le plus pur,
En nourrissant l’oubli d’une blessure obscure.
Celui qui n’accepte ni soutien, ni l’élan,
Succombe à l’arrogance d’un combat déclinant.
Meurt celui qui se plaint des pluies incessantes,
Et ne voit dans les cieux qu’une peine pesante.
Évitons la mort douce aux mains de l’indolence,
En cultivant l’effort, éclat de l’existence.
La vie n’est point un souffle qu’un corps peut exhaler,
Mais un feu qu’il faut croire et toujours attiser.
Souviens-toi que la vie demande un noble art :
Celui de l'éveil clair, des cœurs et des regards.
Meurt d'une lente mort, sous un voile inhumain.
Esclave du banal, il s'éteint doucement,
Répétant chaque jour ses gestes sans présent.
Meurt celui qui se fie aux écrans oppressants,
Et fait d'un faux savoir son guide aveuglant.
Celui qui fuit la vie, les voyages lointains,
Ignore que le monde le nourrit de ses mains.
Meurt celui qui dédaigne un livre ou une voix,
Et ferme ses oreilles aux murmures de soi.
Celui qui n’entend pas les chants de l'univers,
S'égare et se condamne à un silence amer.
Meurt celui qui détruit son amour le plus pur,
En nourrissant l’oubli d’une blessure obscure.
Celui qui n’accepte ni soutien, ni l’élan,
Succombe à l’arrogance d’un combat déclinant.
Meurt celui qui se plaint des pluies incessantes,
Et ne voit dans les cieux qu’une peine pesante.
Évitons la mort douce aux mains de l’indolence,
En cultivant l’effort, éclat de l’existence.
La vie n’est point un souffle qu’un corps peut exhaler,
Mais un feu qu’il faut croire et toujours attiser.
Souviens-toi que la vie demande un noble art :
Celui de l'éveil clair, des cœurs et des regards.
Ce poème explore le thème de l’aliénation face à la routine et l’inertie, symbolisant une lente mort intérieure.
Il dénonce l’esclavage de l’habitude, la soumission aux écrans, et l’absence de curiosité pour le monde et la culture, comme les voyages, la lecture ou la musique.
L'auteur met également en lumière la perte de l’amour-propre, le refus d’accepter l’aide des autres et l’habitude de se plaindre sans agir, toutes sources de déclin spirituel et émotionnel. Il invite à rejeter cette "mort douce" en embrassant une vie active, éveillée et exigeante.
La vie, selon le poème, n'est pas qu'un simple souffle vital, mais une œuvre d’effort et de dépassement. Enfin, il appelle à un réveil des cœurs et des esprits pour briser le silence et cultiver un feu intérieur, symbole d’espoir et d’existence authentique.
L'auteur met également en lumière la perte de l’amour-propre, le refus d’accepter l’aide des autres et l’habitude de se plaindre sans agir, toutes sources de déclin spirituel et émotionnel. Il invite à rejeter cette "mort douce" en embrassant une vie active, éveillée et exigeante.
La vie, selon le poème, n'est pas qu'un simple souffle vital, mais une œuvre d’effort et de dépassement. Enfin, il appelle à un réveil des cœurs et des esprits pour briser le silence et cultiver un feu intérieur, symbole d’espoir et d’existence authentique.