L’exposition « Future of Textiles » a présenté en impression 3D, les fibres holographiques (de flash) et montré comment les champignons peuvent être utilisés comme moyen naturel et économe en énergie, pour teindre des vêtements.
L’Université De Montfort est l’une des universités publiques renommées du Royaume-Uni. Située à Leicester, les travaux de recherche ont été présentés pendant les deux jours de conférences organisées dans ce cadre sur la thématique: “L’avenir des textiles “. Ces travaux apportent des éléments de réponse aux défis auxquels est confrontée l’industrie textile et ont pour objectif de créer une industrie de la mode circulaire à même d’éliminer la pollution due à l’exploitation.
Ces œuvres sont l’exploit d’imminents professeurs de DMU, Jinsong Shen, Pr. de chimie textile et de biotechnologie, Martin Richardson, Pr. d’holographie moderne et Dr Lionel Dean, maître de conférences de la School of Design.
Ce travail effectué sur les textiles holographiques offre une profondeur tridimensionnelle qui n’exige pas le port des lunettes encombrantes rationnellement utilisées, associées à l’imagerie 3D ou VR. Ce genre de technologie d’imagerie tridimensionnelle ouvre de nouvelles opportunités commerciales pour les entreprises.
Cette technique utilise également des colorants non synthétiques, pouvant être nocifs pour l’environnement et pour les êtres humains. Mais aussi, des procédés écologiques pour tout ce qui est teinture de vêtements, dont des enzymes biodégradables produits à partir de champignons naturels.
Le procédé utilise une technologie multidisciplinaire, à une température inférieure à celle des colorants conventionnels. Ce qui se traduit par une économie d’énergie et une réduction des déchets de matériaux et d’eau.
La coordination des efforts des chercheurs, scientifiques, activistes, PDG d’entreprises, industries, est à même de rendre l’industrie textile plus durable, responsable et la mode moins chère.
Il est temps de transformer la façon de créer et de consommer la mode, telles que présentées par l’université et les chercheurs, avec des méthodologies telles que la biotechnologie enzymatique pour la laine lavable en machine, l’électroformage pour l’embellissement des textiles, autrement dit, la métallisation du textile ainsi que l’utilisation de fibres durables, une matière comme une autre d’atténuer les impacts sur l’humain et sur l’environnement.
L’Université De Montfort est l’une des universités publiques renommées du Royaume-Uni. Située à Leicester, les travaux de recherche ont été présentés pendant les deux jours de conférences organisées dans ce cadre sur la thématique: “L’avenir des textiles “. Ces travaux apportent des éléments de réponse aux défis auxquels est confrontée l’industrie textile et ont pour objectif de créer une industrie de la mode circulaire à même d’éliminer la pollution due à l’exploitation.
Ces œuvres sont l’exploit d’imminents professeurs de DMU, Jinsong Shen, Pr. de chimie textile et de biotechnologie, Martin Richardson, Pr. d’holographie moderne et Dr Lionel Dean, maître de conférences de la School of Design.
Ce travail effectué sur les textiles holographiques offre une profondeur tridimensionnelle qui n’exige pas le port des lunettes encombrantes rationnellement utilisées, associées à l’imagerie 3D ou VR. Ce genre de technologie d’imagerie tridimensionnelle ouvre de nouvelles opportunités commerciales pour les entreprises.
Cette technique utilise également des colorants non synthétiques, pouvant être nocifs pour l’environnement et pour les êtres humains. Mais aussi, des procédés écologiques pour tout ce qui est teinture de vêtements, dont des enzymes biodégradables produits à partir de champignons naturels.
Le procédé utilise une technologie multidisciplinaire, à une température inférieure à celle des colorants conventionnels. Ce qui se traduit par une économie d’énergie et une réduction des déchets de matériaux et d’eau.
La coordination des efforts des chercheurs, scientifiques, activistes, PDG d’entreprises, industries, est à même de rendre l’industrie textile plus durable, responsable et la mode moins chère.
Il est temps de transformer la façon de créer et de consommer la mode, telles que présentées par l’université et les chercheurs, avec des méthodologies telles que la biotechnologie enzymatique pour la laine lavable en machine, l’électroformage pour l’embellissement des textiles, autrement dit, la métallisation du textile ainsi que l’utilisation de fibres durables, une matière comme une autre d’atténuer les impacts sur l’humain et sur l’environnement.
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