Par Kaïsse Ben Yahia
Le Mahatma quitta l’ashram ouvrant la voie
fit la non-violence son premier article de foi.
Il en clama vie, brisa le dictat des lois,
Impôts de colons sifflant trésors, mines et droits,
d’une marche métrée trois cent cinquante mille fois,
cueillant son sel sacré qui caressa ses doigts,
et le libéra des peines, des douleurs, du poids,
erreur humaine faite journal d’un désarroi.
Martin de même, quitta l’éveil pour son rêve.
Il fit d’un vœu, nouveau monde d’Adam et Eve.
Il en clama coutume, la haine à la trêve,
d’une main ferme que trois cent mille au ciel soulèvent,
caressant l’air pur, libre, pour qu’enfin s’achèvent,
les droits civils des humains soumis au glaive.
Le grain de sel et le bol d’air se firent sable
Des mains du Maître, la dune devint arable
Drapeau hissé, livre sacré, ton affable
Montra de quoi peuple et Roi sont capables
Trois cent cinquante mille scandant le même vocable
Dieu est Grand, une marche humaine incroyable
Marche pour l’histoire, verte, fière comme l’érable
Cultivé par le Roi Hassan, l’inoubliable . fit la non-violence son premier article de foi.
Il en clama vie, brisa le dictat des lois,
Impôts de colons sifflant trésors, mines et droits,
d’une marche métrée trois cent cinquante mille fois,
cueillant son sel sacré qui caressa ses doigts,
et le libéra des peines, des douleurs, du poids,
erreur humaine faite journal d’un désarroi.
Martin de même, quitta l’éveil pour son rêve.
Il fit d’un vœu, nouveau monde d’Adam et Eve.
Il en clama coutume, la haine à la trêve,
d’une main ferme que trois cent mille au ciel soulèvent,
caressant l’air pur, libre, pour qu’enfin s’achèvent,
les droits civils des humains soumis au glaive.
Le grain de sel et le bol d’air se firent sable
Des mains du Maître, la dune devint arable
Drapeau hissé, livre sacré, ton affable
Montra de quoi peuple et Roi sont capables
Trois cent cinquante mille scandant le même vocable
Dieu est Grand, une marche humaine incroyable
Marche pour l’histoire, verte, fière comme l’érable
Rédigé par Kaïsse Ben Yahia