Par Jamal HAJJAM
Dans un message officiel adressé à SM Mohammed VI à l’occasion du 25ème anniversaire de la fête du Trône, le Président Emmanuel Macron explicite cette reconnaissance en affirmant que «le présent et l’avenir du Sahara s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine».
Par ces propos, la reconnaissance est désormais effective et donne une nouvelle et forte impulsion à la proposition marocaine d’autonomie que le président français considère d’ailleurs, à juste titre, comme « la seule base pour parvenir à une solution politique, durable et négociée, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies».
Voilà donc qui est acté après une longue hésitation. Mais tout vient à point à qui sait attendre. C’est une nouvelle victoire de la diplomatie royale, clairvoyante et persévérante, et du bien-fondé de la position marocaine appuyée sur des vérités historiques et accompagnée d’efforts concrets visant à mettre fin à ce conflit artificiel, outre les efforts colossaux de développement des provinces marocaines du Sud.
Ce tournant dans les relations diplomatiques entre la France et le Maroc, ouvre, du fait des responsabilités antérieures de la France dans la région de l’Afrique du Nord, de nouvelles et larges perspectives sur la scène mondiale, le processus de reconnaissance à l’international promettant de passer à une vitesse supérieure. Selon Emmanuel Macron lui-même «un consensus international de plus en plus large se dégage en faveur de ce plan [d’autonomie]», et la France qui «participe [déjà] activement à cet élan dans toutes les enceintes concernées, entend agir en cohérence avec la nouvelle position de la France, tant au niveau national qu'à celui international».
C’est la voix de la sagesse du fait des vérités historiques d’abords, ensuite du fait de l’importance de la stabilité de la région pour la France et l’Europe étroitement liées à celle du Maghreb et de l’Afrique. Le Maroc est en plus un allié incontournable des deux continents par sa position géostratégique et par sa géopolitique au pragmatisme confirmé.
Si cet évènement est perçu comme heureux du côté marocain et de celui de tous les pays épris de paix, de stabilité et de respect de l’intégrité territoriale des Etats, il y en a pour qui il constitue un véritable drame à force de s’être investi, un demi-siècle durant, moyennant des centaines de milliards de dollars, dans une entreprise de déstabilisation et d’émiettement du Maroc sans le moindre succès. C’est le cas exclusif de l’Algérie dont la diplomatie a déjà précédé l’officialisation de la nouvelle position de la France par un communiqué révélateur de son désarroi et de son échec cuisant.
L’Algérie qui n’égrène pour sa part que les camouflets (en occident de plus en plus, dans le monde arabe et en Afrique) ne fait en réalité que montrer son incapacité à évoluer et à contribuer positivement à la paix et à la stabilité régionales.
Son aveuglement et son isolement politique grandissant sur la scène internationale n’augurent rien de bon pour ce pays pris en otage par un régime grabataire, qui tourne le dos à son peuple, aveuglé comme il est par la haine du Maroc.
Par ces propos, la reconnaissance est désormais effective et donne une nouvelle et forte impulsion à la proposition marocaine d’autonomie que le président français considère d’ailleurs, à juste titre, comme « la seule base pour parvenir à une solution politique, durable et négociée, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies».
Voilà donc qui est acté après une longue hésitation. Mais tout vient à point à qui sait attendre. C’est une nouvelle victoire de la diplomatie royale, clairvoyante et persévérante, et du bien-fondé de la position marocaine appuyée sur des vérités historiques et accompagnée d’efforts concrets visant à mettre fin à ce conflit artificiel, outre les efforts colossaux de développement des provinces marocaines du Sud.
Ce tournant dans les relations diplomatiques entre la France et le Maroc, ouvre, du fait des responsabilités antérieures de la France dans la région de l’Afrique du Nord, de nouvelles et larges perspectives sur la scène mondiale, le processus de reconnaissance à l’international promettant de passer à une vitesse supérieure. Selon Emmanuel Macron lui-même «un consensus international de plus en plus large se dégage en faveur de ce plan [d’autonomie]», et la France qui «participe [déjà] activement à cet élan dans toutes les enceintes concernées, entend agir en cohérence avec la nouvelle position de la France, tant au niveau national qu'à celui international».
C’est la voix de la sagesse du fait des vérités historiques d’abords, ensuite du fait de l’importance de la stabilité de la région pour la France et l’Europe étroitement liées à celle du Maghreb et de l’Afrique. Le Maroc est en plus un allié incontournable des deux continents par sa position géostratégique et par sa géopolitique au pragmatisme confirmé.
Si cet évènement est perçu comme heureux du côté marocain et de celui de tous les pays épris de paix, de stabilité et de respect de l’intégrité territoriale des Etats, il y en a pour qui il constitue un véritable drame à force de s’être investi, un demi-siècle durant, moyennant des centaines de milliards de dollars, dans une entreprise de déstabilisation et d’émiettement du Maroc sans le moindre succès. C’est le cas exclusif de l’Algérie dont la diplomatie a déjà précédé l’officialisation de la nouvelle position de la France par un communiqué révélateur de son désarroi et de son échec cuisant.
L’Algérie qui n’égrène pour sa part que les camouflets (en occident de plus en plus, dans le monde arabe et en Afrique) ne fait en réalité que montrer son incapacité à évoluer et à contribuer positivement à la paix et à la stabilité régionales.
Son aveuglement et son isolement politique grandissant sur la scène internationale n’augurent rien de bon pour ce pays pris en otage par un régime grabataire, qui tourne le dos à son peuple, aveuglé comme il est par la haine du Maroc.