Le luxe à prix d'or !
Avec un prix de départ de 30 400 €, cette petite voiture, offrant une autonomie de seulement 190 km, peine à justifier son coût face à des alternatives plus performantes.
Pour relancer l'intérêt, Fiat a décidé de sortir une édition spéciale haut de gamme, la Giorgio Armani Collector’s Edition. Cette série limitée se distingue par son esthétique raffinée, avec des teintes exclusives comme le Greige céramique, une nuance créée par le célèbre designer. Les jantes arborent fièrement le logo « GA », tandis que l'intérieur se pare de matériaux évoquant le luxe, tels que des finitions en bois découpé au laser et des selleries inspirées des techniques de couture traditionnelles.
Cependant, cette sophistication a un prix : la Fiat 500 Giorgio Armani est proposée à 41 500 €, un montant qui dépasse celui d'une Tesla Model 3, disponible à 39 990 €. Pour une berline offrant plus de 500 km d'autonomie et un équipement plus riche, ce choix devient difficile à défendre. Bien que Fiat propose une remise de 1 000 € et que la 500 soit éligible au bonus écologique, la question demeure : peut-on vraiment justifier un tel tarif pour une citadine face aux géants du marché ?
Pour relancer l'intérêt, Fiat a décidé de sortir une édition spéciale haut de gamme, la Giorgio Armani Collector’s Edition. Cette série limitée se distingue par son esthétique raffinée, avec des teintes exclusives comme le Greige céramique, une nuance créée par le célèbre designer. Les jantes arborent fièrement le logo « GA », tandis que l'intérieur se pare de matériaux évoquant le luxe, tels que des finitions en bois découpé au laser et des selleries inspirées des techniques de couture traditionnelles.
Cependant, cette sophistication a un prix : la Fiat 500 Giorgio Armani est proposée à 41 500 €, un montant qui dépasse celui d'une Tesla Model 3, disponible à 39 990 €. Pour une berline offrant plus de 500 km d'autonomie et un équipement plus riche, ce choix devient difficile à défendre. Bien que Fiat propose une remise de 1 000 € et que la 500 soit éligible au bonus écologique, la question demeure : peut-on vraiment justifier un tel tarif pour une citadine face aux géants du marché ?