Le monde s’est changé en un sombre carrefour,
Où jadis brillait l’espoir, aujourd’hui sans détour.
La démocratie s’efface, son éclat se meurt,
Et le rêve autrefois doux devient rongeur de cœur.
Les peuples las et tristes réclament un sauveur,
Quand l’autorité s’installe, les rêves font malheur.
Les libertés s’étiolent sous des lois sévères,
Et l’homme autrefois libre se voit pris de fers.
Le vent totalitaire souffle dans chaque coin,
Et lentement s’efface l’étendard du bien commun.
Les droits sont érodés sous des mains de fer froid,
La voix qui s’élève se brise sous leur loi.
La censure en silence étouffe les esprits,
Et les cœurs des nations se couvrent de mépris.
Les regards se tournent vers le chef imposant,
En oubliant les voix de ceux qui sont mourants.
Les promesses vaines s’égrainent dans la peur,
Sous l’œil vigilant du régime prédateur.
Les tyrans se dressent, sûrs de leur pouvoir fort,
Et les peuples en silence se résignent au sort.
Que reste-t-il de l’espoir, de cette lumière ?
S'efface-t-elle à jamais dans une nuit amère ?
Un jour viendra peut-être, où l'éclat renaîtra,
Ou bien est-ce l'oubli qui doucement viendra ?
Où jadis brillait l’espoir, aujourd’hui sans détour.
La démocratie s’efface, son éclat se meurt,
Et le rêve autrefois doux devient rongeur de cœur.
Les peuples las et tristes réclament un sauveur,
Quand l’autorité s’installe, les rêves font malheur.
Les libertés s’étiolent sous des lois sévères,
Et l’homme autrefois libre se voit pris de fers.
Le vent totalitaire souffle dans chaque coin,
Et lentement s’efface l’étendard du bien commun.
Les droits sont érodés sous des mains de fer froid,
La voix qui s’élève se brise sous leur loi.
La censure en silence étouffe les esprits,
Et les cœurs des nations se couvrent de mépris.
Les regards se tournent vers le chef imposant,
En oubliant les voix de ceux qui sont mourants.
Les promesses vaines s’égrainent dans la peur,
Sous l’œil vigilant du régime prédateur.
Les tyrans se dressent, sûrs de leur pouvoir fort,
Et les peuples en silence se résignent au sort.
Que reste-t-il de l’espoir, de cette lumière ?
S'efface-t-elle à jamais dans une nuit amère ?
Un jour viendra peut-être, où l'éclat renaîtra,
Ou bien est-ce l'oubli qui doucement viendra ?
Le poème décrit un monde où la démocratie, autrefois porteuse d'espoir, s'efface progressivement, laissant place à l'autoritarisme.
Les peuples, désillusionnés par les promesses non tenues de liberté et de prospérité, se tournent vers des régimes totalitaires. La quête de sécurité et de stabilité conduit à l'érosion des droits et des libertés, tandis que les voix dissidentes sont étouffées par la répression et la censure. Le pouvoir fort s'impose, et les tyrans bâtissent leur emprise en instaurant la peur et l'oppression. Le poème s'interroge sur l'avenir de la démocratie et la possibilité d'un renouveau face à cette montée des ténèbres politiques. Il évoque également la résignation des peuples face à ce glissement vers des régimes autoritaires, tout en laissant ouverte la question d'une éventuelle renaissance ou d'un oubli durable de l'espoir démocratique.