Depuis la décision de la Confédération africaine de football (CAF) de retirer l'organisation de la Coupe d'Afrique des Nations 2025 à la Guinée, nous entendons des formules dans la presse algérienne comme:
Notons qu'une simple déclaration du ministre algérien de la Jeunesse et des sports, Abderrazak Sebgag a suffi pour que toute l'Algérie s'enflamme. Dans cette dernière, le ministre a annoncé la candidature officielle de l'Algérie.
Et parmi ses atouts qui sont nombreuses et qui pourraient faire pencher la balance en sa faveur : ses stades aux normes internationales dont nul pays en Afrique ne dispose !
Une formule qu'on le lit dans la presse et les réseaux sociaux, algériens, alors que la vérité est moins reluisante.
En effet, l'instante dirigeante du football africain a envoyé une correspondance à la Fédération algérienne de football (FAF), dans laquelle est annoncée que le stade d'Oran qui est sorti fraîchement de terre à l'occasion des Jeux méditerranéens, ne peut pas accueillir le match du deuxième tour préliminaire de la Coupe de la CAF entre la Jeunesse Sportive de Saoura et les Ivoiriens du SC Gagnoa.
Alors que tout le monde connaît le manque d'infrastructure dont le pays souffre ainsi que l'incompétence chronique dans l'organisation de grands événements, les caporaux au pouvoir à Alger savent garder leur calme même après une énième gifle de la part de la Confédération Africaine de Football.
La superpuissance doit fermer ses stades trois mois à l'avance afin d'organiser un "grand" événement footballistique. Pourquoi ? l'état extrêmement défectueux des pelouses.
Evidemment, une décision autre que d’octroyer à l’Algérie le droit d’organiser la CAN 2025 serait imputable au «jeu de coulisses» dans lequel excelle particulièrement le président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF), Fouzi Lekjaa, et du lobbying marocain dans les instances dirigeantes du football africain.
"Pour l'organisation de la CAN 2025, aucun pays ne peut rivaliser avec l'Algérie" ou "CAN 2025: l’Algérie seule au monde", ou bien "L’Algérie est prête pour accueillir la CAN 2025". "Les stades algériens aux normes internationales".
Notons qu'une simple déclaration du ministre algérien de la Jeunesse et des sports, Abderrazak Sebgag a suffi pour que toute l'Algérie s'enflamme. Dans cette dernière, le ministre a annoncé la candidature officielle de l'Algérie.
Et parmi ses atouts qui sont nombreuses et qui pourraient faire pencher la balance en sa faveur : ses stades aux normes internationales dont nul pays en Afrique ne dispose !
Une formule qu'on le lit dans la presse et les réseaux sociaux, algériens, alors que la vérité est moins reluisante.
En effet, l'instante dirigeante du football africain a envoyé une correspondance à la Fédération algérienne de football (FAF), dans laquelle est annoncée que le stade d'Oran qui est sorti fraîchement de terre à l'occasion des Jeux méditerranéens, ne peut pas accueillir le match du deuxième tour préliminaire de la Coupe de la CAF entre la Jeunesse Sportive de Saoura et les Ivoiriens du SC Gagnoa.
L'instance a écrit aux dirigeants de la JS Saoura "Il s'est avéré dans le dernier rapport de l'expert des pelouses de la CAF que le complexe (complexe Olympique d'Oran) ne doit pas accueillir des rencontres pour éviter la détérioration de la pelouse. Par conséquent, nous vous informons par la présente que le match susmentionné sera délocalisé au stade de Rouiba dans la ville d'Alger".
Alors que tout le monde connaît le manque d'infrastructure dont le pays souffre ainsi que l'incompétence chronique dans l'organisation de grands événements, les caporaux au pouvoir à Alger savent garder leur calme même après une énième gifle de la part de la Confédération Africaine de Football.
Cette décision a été expliquée par la CAF par le fait que le stade d'Oran est choisi afin d'accueillir les rencontres du CHAN qui se tiendra...en janvier prochain : "Comme communiqué aux officiels de la FAF et au COL du CHAN Algérie 2022, aucun match ne dot avoir lieu aux stades concernés par les matchs du CHAN 2022."
La superpuissance doit fermer ses stades trois mois à l'avance afin d'organiser un "grand" événement footballistique. Pourquoi ? l'état extrêmement défectueux des pelouses.
Evidemment, une décision autre que d’octroyer à l’Algérie le droit d’organiser la CAN 2025 serait imputable au «jeu de coulisses» dans lequel excelle particulièrement le président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF), Fouzi Lekjaa, et du lobbying marocain dans les instances dirigeantes du football africain.