À l’occasion des festivités du Nouvel An, un moment de fraternité et de solidarité inter-religieuse a été célébré à l’église d’Anfa à Casablanca, où des chrétiens, des juifs et des musulmans se sont réunis pour partager une « Bûche de la Fraternité ». Cet événement, unique en son genre, a permis de promouvoir les valeurs de tolérance, de paix et de coexistence entre les différentes confessions religieuses, en mettant en lumière le modèle marocain de vivre-ensemble.
L’initiative, portée par l’association Marocains Pluriels, a rassemblé plusieurs personnalités locales et diplomatiques, ainsi que des membres des différentes communautés religieuses. Parmi les invités de marque figuraient Aziz Dades, gouverneur de la préfecture d’arrondissements de Casablanca-Anfa, Marissa Scott-Torres, consule générale des États-Unis à Casablanca, le Père André Keumaleu, représentant de l’église Notre-Dame de Lourdes à Casablanca, ainsi que des responsables de l’association Salam Lekoulam. D’autres personnalités religieuses et autorités locales ont également assisté à cette célébration, symbolisant l’unité et la diversité de la société marocaine.
L’événement a été l’occasion de rappeler l’importance de la coexistence pacifique et de l’harmonie religieuse, valeurs profondément enracinées dans le tissu social marocain.
Cette célébration a été rythmée par des témoignages émouvants et enrichissants de représentants des trois religions monothéistes, qui ont témoigné de leur engagement à œuvrer pour un monde meilleur, où les différences ne seraient plus source de conflits, mais d’enrichissement mutuel. La soirée a été ponctuée par des chants religieux interprétés par la chorale des jeunes de la paroisse d’Anfa, accompagnée d’un groupe de musique aissaoui, une musique traditionnelle marocaine.
Ce mélange de traditions religieuses et musicales a symbolisé l’esprit de cette rencontre : un métissage harmonieux des cultures et des croyances.
Au-delà de la symbolique de la « Bûche de la Fraternité », cet événement a eu un impact profond sur les participants, renforçant l’idée que la solidarité entre les différentes communautés religieuses est non seulement possible, mais nécessaire pour bâtir un avenir commun de paix et de prospérité. En cette période de tensions internationales et de divisions idéologiques, le Maroc continue de démontrer, par des actes concrets, que le dialogue et la coopération inter-religieuse sont non seulement possibles, mais essentiels pour un monde plus juste et pacifique.
L’initiative, portée par l’association Marocains Pluriels, a rassemblé plusieurs personnalités locales et diplomatiques, ainsi que des membres des différentes communautés religieuses. Parmi les invités de marque figuraient Aziz Dades, gouverneur de la préfecture d’arrondissements de Casablanca-Anfa, Marissa Scott-Torres, consule générale des États-Unis à Casablanca, le Père André Keumaleu, représentant de l’église Notre-Dame de Lourdes à Casablanca, ainsi que des responsables de l’association Salam Lekoulam. D’autres personnalités religieuses et autorités locales ont également assisté à cette célébration, symbolisant l’unité et la diversité de la société marocaine.
L’événement a été l’occasion de rappeler l’importance de la coexistence pacifique et de l’harmonie religieuse, valeurs profondément enracinées dans le tissu social marocain.
Cette célébration a été rythmée par des témoignages émouvants et enrichissants de représentants des trois religions monothéistes, qui ont témoigné de leur engagement à œuvrer pour un monde meilleur, où les différences ne seraient plus source de conflits, mais d’enrichissement mutuel. La soirée a été ponctuée par des chants religieux interprétés par la chorale des jeunes de la paroisse d’Anfa, accompagnée d’un groupe de musique aissaoui, une musique traditionnelle marocaine.
Ce mélange de traditions religieuses et musicales a symbolisé l’esprit de cette rencontre : un métissage harmonieux des cultures et des croyances.
Au-delà de la symbolique de la « Bûche de la Fraternité », cet événement a eu un impact profond sur les participants, renforçant l’idée que la solidarité entre les différentes communautés religieuses est non seulement possible, mais nécessaire pour bâtir un avenir commun de paix et de prospérité. En cette période de tensions internationales et de divisions idéologiques, le Maroc continue de démontrer, par des actes concrets, que le dialogue et la coopération inter-religieuse sont non seulement possibles, mais essentiels pour un monde plus juste et pacifique.