Cette année, le prestigieux prix a été attribué à deux œuvres remarquables : « J'ai vécu 300 ans » de Mohamed Habida dans la catégorie roman et « La terre infestée » de Mokhlis Sghir dans la catégorie poésie. Ces distinctions soulignent l'importance de promouvoir la littérature marocaine auprès des nouvelles générations et de valoriser les talents locaux.
Un programme ambitieux pour des lecteurs passionnés
Organisé par le Réseau de lecture en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, ce prix s’inscrit dans une démarche visant à élargir le cercle des lecteurs au Maroc tout en renforçant l’intérêt pour les œuvres littéraires nationales. Cette année, 53 lecteurs, répartis dans 12 clubs de lecture issus de 10 villes marocaines, ont participé activement au programme. Ces clubs, majoritairement composés d’étudiants universitaires et de lycéens encadrés par des professeurs et des chercheurs, ont eu accès à un total de 150 ouvrages, soit 12 livres par club, pour nourrir leurs analyses et discussions.
Les participants n’ont pas été choisis au hasard : seuls des lecteurs expérimentés, ayant déjà remporté des prix régionaux ou nationaux de lecture, ont été sélectionnés pour cette édition. Parmi eux, une trentaine a mené à bien toutes les lectures nécessaires et participé à la sélection des œuvres gagnantes. Ce processus rigoureux a été supervisé par un jury présidé par Amin Kazdar, étudiant-chercheur à la Faculté des lettres et des sciences humaines Ben M’sik de Casablanca.
Un événement pour célébrer la littérature marocaine
La cérémonie de remise des prix, prévue samedi prochain à la Faculté des sciences humaines et sociales de l’Université Ibn Tofaïl à Kénitra, sera l’occasion de rendre hommage aux lauréats et de célébrer la richesse de la littérature marocaine. Ce prix, qui bénéficie également du soutien des Académies régionales de l’éducation et des directions régionales du ministère de l’Éducation nationale, vise à faire rayonner les lettres marocaines et à cultiver l’amour de la lecture chez les jeunes.
En récompensant des œuvres comme « J’ai vécu 300 ans » et « La terre infestée », le Réseau de lecture au Maroc ne se contente pas de distinguer des écrivains talentueux, mais contribue également à renforcer l’identité culturelle et littéraire du pays.
Un programme ambitieux pour des lecteurs passionnés
Organisé par le Réseau de lecture en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, ce prix s’inscrit dans une démarche visant à élargir le cercle des lecteurs au Maroc tout en renforçant l’intérêt pour les œuvres littéraires nationales. Cette année, 53 lecteurs, répartis dans 12 clubs de lecture issus de 10 villes marocaines, ont participé activement au programme. Ces clubs, majoritairement composés d’étudiants universitaires et de lycéens encadrés par des professeurs et des chercheurs, ont eu accès à un total de 150 ouvrages, soit 12 livres par club, pour nourrir leurs analyses et discussions.
Les participants n’ont pas été choisis au hasard : seuls des lecteurs expérimentés, ayant déjà remporté des prix régionaux ou nationaux de lecture, ont été sélectionnés pour cette édition. Parmi eux, une trentaine a mené à bien toutes les lectures nécessaires et participé à la sélection des œuvres gagnantes. Ce processus rigoureux a été supervisé par un jury présidé par Amin Kazdar, étudiant-chercheur à la Faculté des lettres et des sciences humaines Ben M’sik de Casablanca.
Un événement pour célébrer la littérature marocaine
La cérémonie de remise des prix, prévue samedi prochain à la Faculté des sciences humaines et sociales de l’Université Ibn Tofaïl à Kénitra, sera l’occasion de rendre hommage aux lauréats et de célébrer la richesse de la littérature marocaine. Ce prix, qui bénéficie également du soutien des Académies régionales de l’éducation et des directions régionales du ministère de l’Éducation nationale, vise à faire rayonner les lettres marocaines et à cultiver l’amour de la lecture chez les jeunes.
En récompensant des œuvres comme « J’ai vécu 300 ans » et « La terre infestée », le Réseau de lecture au Maroc ne se contente pas de distinguer des écrivains talentueux, mais contribue également à renforcer l’identité culturelle et littéraire du pays.