Ce projet ambitieux permettra de relier les deux villes en seulement 2h45, renforçant ainsi le réseau de transport national et améliorant la mobilité entre les principales régions du pays. Selon Mohamed Rabie Khlie, directeur général de l’ONCF, cette extension viendra s’ajouter à la ligne Tanger-Casablanca, déjà en service, consolidant le Maroc en tant que leader africain du transport ferroviaire à grande vitesse.
L'extension de la LGV entre Marrakech et Tanger s'inscrit dans la volonté du gouvernement marocain de moderniser ses infrastructures et d'accélérer son développement économique. Une telle infrastructure permettra non seulement de faciliter les déplacements des citoyens, mais aussi de dynamiser le tourisme et de favoriser les échanges commerciaux entre le nord et le sud du pays.
En comparaison avec d'autres pays africains, le Maroc se distingue par son engagement à investir massivement dans les infrastructures de transport. Ce projet témoigne également de l’ambition du royaume de devenir un hub économique régional, en facilitant les flux de biens et de personnes sur son territoire.
Cependant, la mise en œuvre de ce projet pose des défis financiers et environnementaux. Les investissements massifs nécessaires pour construire ces infrastructures doivent être équilibrés avec les priorités budgétaires du pays, et l’impact écologique d’un tel projet doit être surveillé de près.
À long terme, l’extension du TGV pourrait transformer le paysage économique marocain, réduisant les distances, facilitant le commerce intérieur et renforçant la cohésion entre les différentes régions du pays. Toutefois, des incertitudes subsistent quant au calendrier précis de mise en œuvre, ainsi qu’aux retombées économiques et sociales à long terme.
L'extension de la LGV entre Marrakech et Tanger s'inscrit dans la volonté du gouvernement marocain de moderniser ses infrastructures et d'accélérer son développement économique. Une telle infrastructure permettra non seulement de faciliter les déplacements des citoyens, mais aussi de dynamiser le tourisme et de favoriser les échanges commerciaux entre le nord et le sud du pays.
En comparaison avec d'autres pays africains, le Maroc se distingue par son engagement à investir massivement dans les infrastructures de transport. Ce projet témoigne également de l’ambition du royaume de devenir un hub économique régional, en facilitant les flux de biens et de personnes sur son territoire.
Cependant, la mise en œuvre de ce projet pose des défis financiers et environnementaux. Les investissements massifs nécessaires pour construire ces infrastructures doivent être équilibrés avec les priorités budgétaires du pays, et l’impact écologique d’un tel projet doit être surveillé de près.
À long terme, l’extension du TGV pourrait transformer le paysage économique marocain, réduisant les distances, facilitant le commerce intérieur et renforçant la cohésion entre les différentes régions du pays. Toutefois, des incertitudes subsistent quant au calendrier précis de mise en œuvre, ainsi qu’aux retombées économiques et sociales à long terme.