Nassim Azarzar, Othmane Bengebara et Morran Ben Lahcen sont les stars du Group Show XYZt qui ayant lieu du 02 au 28 février au Loft Art Gallery à Casablanca.
L’exposition zoom sur les œuvres de Nassim Azarzar, un artiste qui mène une recherche autour de l’imagerie, voire des imaginaires populaires en explorant leurs différentes formes, occurrences et dispositifs de représentation dans un contexte marocain.
Depuis plusieurs années, il développe un projet en cours appelé «Bonne route » traitant des pratiques décoratives appliquées aux camions transportant des marchandises entre les villes portuaires de Tanger, Casablanca et Agadir notamment et les villages marocains de l’Atlas et du Rif. La recherche esthétique d’Azarzar s’articule autour des arts décoratifs, de la peinture, du dessin, de la sculpture et du cinéma expérimental.
Pour Othmane Bengebara, l’architecte et artiste conceptuel, il a exposé en 2012 ses premiers travaux à la Wuho Gallery de Los Angeles. Depuis 2018, son travail devient plus artistique. Elle lui permet d’explorer et d’expérimenter ses concepts dans l’espace. Il se rapproche de la ligne minimaliste et s’exprime à travers une vision poétique et contemplative.
Son œuvre se polarise autour du carré, élément référant et répétitif, comme une unité de base pour construire de l’espace. Une forme empreinte de sens et représentant la tentative prétentieuse du parfait. Son travail s’intéresse à développer un axe conceptuel simple: « La vie est une succession de jours et de nuits. »
S’agissant de Morran Ben Lahcen, né en 1982 à Tahanouat, l’artiste fait partie de l’avant-garde des artistes contemporains tout en restant fidèle à ses racines marocaines sans pourtant s’y enferrer. Autodidacte, il se fraie d’abord un chemin dans le paysage artistique au grès du street art. Le succès et la reconnaissance sont vite au rendez-vous. Mais Morran a envie d’explorer d’autres terres, refusant là encore de se retrouver estampillé seulement « graffeur ».
On peut probablement voir, dans ses œuvres, l’influence de son vécu avec une obsession du temps qui passe et du souvenir à entretenir. Tant d’autres questionnements existentielles sont à l’origine de l’abstraction et de l’esthétisme de ses œuvres.
L'ODJ avec Hespress
L’exposition zoom sur les œuvres de Nassim Azarzar, un artiste qui mène une recherche autour de l’imagerie, voire des imaginaires populaires en explorant leurs différentes formes, occurrences et dispositifs de représentation dans un contexte marocain.
Depuis plusieurs années, il développe un projet en cours appelé «Bonne route » traitant des pratiques décoratives appliquées aux camions transportant des marchandises entre les villes portuaires de Tanger, Casablanca et Agadir notamment et les villages marocains de l’Atlas et du Rif. La recherche esthétique d’Azarzar s’articule autour des arts décoratifs, de la peinture, du dessin, de la sculpture et du cinéma expérimental.
Pour Othmane Bengebara, l’architecte et artiste conceptuel, il a exposé en 2012 ses premiers travaux à la Wuho Gallery de Los Angeles. Depuis 2018, son travail devient plus artistique. Elle lui permet d’explorer et d’expérimenter ses concepts dans l’espace. Il se rapproche de la ligne minimaliste et s’exprime à travers une vision poétique et contemplative.
Son œuvre se polarise autour du carré, élément référant et répétitif, comme une unité de base pour construire de l’espace. Une forme empreinte de sens et représentant la tentative prétentieuse du parfait. Son travail s’intéresse à développer un axe conceptuel simple: « La vie est une succession de jours et de nuits. »
S’agissant de Morran Ben Lahcen, né en 1982 à Tahanouat, l’artiste fait partie de l’avant-garde des artistes contemporains tout en restant fidèle à ses racines marocaines sans pourtant s’y enferrer. Autodidacte, il se fraie d’abord un chemin dans le paysage artistique au grès du street art. Le succès et la reconnaissance sont vite au rendez-vous. Mais Morran a envie d’explorer d’autres terres, refusant là encore de se retrouver estampillé seulement « graffeur ».
On peut probablement voir, dans ses œuvres, l’influence de son vécu avec une obsession du temps qui passe et du souvenir à entretenir. Tant d’autres questionnements existentielles sont à l’origine de l’abstraction et de l’esthétisme de ses œuvres.
L'ODJ avec Hespress