A lire ou à écouter en podcast :
Par Najib Mikou
Un véritable festival de la musique en neuf semaines de compétition, sous l'œil et l'oreille savants et bienveillants, mais vigilants, d'un jury de cinq artistes d'exception.
De très jeunes filles et garçons de différentes régions d'un Maroc rythmé à sa diversité culturelle et à sa joie de vivre dans l'âme, ont encore donné la preuve que ici, comme dans tous les autres aspects de la vie, il suffit de la moindre chance, de la moindre opportunité, de la moindre petite lumière, pour qu'ils brillent de mille feux et impressionnent.
Une leçon que notre gouvernement ne retiendra jamais assez pour redoubler d'imagination et d'efforts afin de faire émerger le plus grand nombre de nos jeunes talents dans TOUS les domaines. C'est là l'un des chemins où s'alimente deux ingrédients majeurs de la confiance en soi, du labeur et de la rage de réussir : le rêve et l'espoir.
Ceci dit, tous les espoirs étaient placés sur 2M pour qu'en cette 2ème année de "StarLight", elle fasse valoir "l'exception artistique" qui lui aurait fait éviter le choix d'un seul vainqueur.
On a eu droit à cinq finalistes qui n'ont rien en commun, en dehors du fait qu'ils aient été jusque-là d'illustres inconnus et qui se sont avéré être, le temps de ce festival-compétition, de très grands artistes. Des styles et des voix tellement différents qu'il était injuste de choisir un vainqueur que l'histoire retiendra au dépend des quatre autres.
En tout cas, les performances artistiques de Ahlam de Guercif à la voix identique à celle de l'inoubliable Naïma Samih, de Anas de Berkane déjà Maître du Raï, de M'hamed, un Sabah Fakhri ressuscité, ne pourront jamais passer aux oubliettes de l'histoire.
De très jeunes filles et garçons de différentes régions d'un Maroc rythmé à sa diversité culturelle et à sa joie de vivre dans l'âme, ont encore donné la preuve que ici, comme dans tous les autres aspects de la vie, il suffit de la moindre chance, de la moindre opportunité, de la moindre petite lumière, pour qu'ils brillent de mille feux et impressionnent.
Une leçon que notre gouvernement ne retiendra jamais assez pour redoubler d'imagination et d'efforts afin de faire émerger le plus grand nombre de nos jeunes talents dans TOUS les domaines. C'est là l'un des chemins où s'alimente deux ingrédients majeurs de la confiance en soi, du labeur et de la rage de réussir : le rêve et l'espoir.
Ceci dit, tous les espoirs étaient placés sur 2M pour qu'en cette 2ème année de "StarLight", elle fasse valoir "l'exception artistique" qui lui aurait fait éviter le choix d'un seul vainqueur.
On a eu droit à cinq finalistes qui n'ont rien en commun, en dehors du fait qu'ils aient été jusque-là d'illustres inconnus et qui se sont avéré être, le temps de ce festival-compétition, de très grands artistes. Des styles et des voix tellement différents qu'il était injuste de choisir un vainqueur que l'histoire retiendra au dépend des quatre autres.
En tout cas, les performances artistiques de Ahlam de Guercif à la voix identique à celle de l'inoubliable Naïma Samih, de Anas de Berkane déjà Maître du Raï, de M'hamed, un Sabah Fakhri ressuscité, ne pourront jamais passer aux oubliettes de l'histoire.
On a eu droit à cinq finalistes qui n'ont rien en commun, en dehors du fait qu'ils aient été jusque-là d'illustres inconnus et qui se sont avéré être, le temps de ce festival-compétition, de très grands artistes. Des styles et des voix tellement différents qu'il était injuste de choisir un vainqueur que l'histoire retiendra au dépend des quatre autres.
En tout cas, les performances artistiques de Ahlam de Guercif à la voix identique à celle de l'inoubliable Naïma Samih, de Anas de Berkane déjà Maître du Raï, de M'hamed, un Sabah Fakhri ressuscité, ne pourront jamais passer aux oubliettes de l'histoire.
En tout cas, les performances artistiques de Ahlam de Guercif à la voix identique à celle de l'inoubliable Naïma Samih, de Anas de Berkane déjà Maître du Raï, de M'hamed, un Sabah Fakhri ressuscité, ne pourront jamais passer aux oubliettes de l'histoire.
Au lieu de miser sur un seul vainqueur, quand bien même soit-il très méritant par une voix sublime, en lui attribuant les 300.000 dh, une banale opération de sponsoring pouvait largement permettre aux cinq finalistes-vainqueurs d'avoir une enveloppe suffisamment motivante, d'abord en reconnaissance de leur grand talent artistique, puis pour leur donner le minimum de moyens requis pour continuer leur exploit ... sous la lumière.
D'autres émissions sur 2M ou ailleurs, ainsi que des parrainages, devraient prendre très vite le relais pour permettre aux cinq vainqueurs de continuer à briller et à se surpasser au grand bonheur du grand public et du Maroc.
Un grand BRAVO à nos cinq grands artistes vainqueurs et à toute notre jeunesse marocaine qui démontre au moindre brun de lumière qu'elle puisse recevoir, toutes ses qualités et tout son génie distinctifs.
Rédigé par Najib Mikou