Pour écouter l'émission : (Fichier MP3 en bas de page)
Édito :
À se pencher le nez en avant sur les bruits de couloirs, et d’autres, au bon vouloir de notre filtre bon fouineur, bon ménager, si tant qu’il puisse, sous sa seule lanterne, disqualifier un tapage obnubilant, au profit d’un bruit issu de la mêlée, mais porteur de sens.
À vue d’œil, et sans lanterner, il en sort, chemin faisant, que le secteur public serait endiablé de la cape, qu’il trainaille derrière sa marche tonitruante des miséreux, de ces petites gens qui se borneraient, et leur bout du nez, au peu qu’on daigne leur accoler, de ces quidams routiniers, affriolés par le verbe, ou sous-verbe, à votre guise, : Stagner.
De ces citoyens qui se suffisent à leur pas butant contre la marche récalcitrante, debout sur leurs aises, ou leurs peines inhibées par l’utile ou le nécessaire. De ces bonnes gens, dont le trait tranche d’avec la cupidité, le superflu, ou nommez-en d’autres.
Mais il en est d’autres, des battants, des acharnés, qui se suffisent un temps et leur égo, et leur fâcherie voyante, à leur piètre position, électrique, mauvaise hôte, occupée à regret, à contre poche par ce salarié qui s’échine à dérègler le cours train-train es-tu là?
À se pencher le nez en avant sur les bruits de couloirs, et d’autres, au bon vouloir de notre filtre bon fouineur, bon ménager, si tant qu’il puisse, sous sa seule lanterne, disqualifier un tapage obnubilant, au profit d’un bruit issu de la mêlée, mais porteur de sens.
À vue d’œil, et sans lanterner, il en sort, chemin faisant, que le secteur public serait endiablé de la cape, qu’il trainaille derrière sa marche tonitruante des miséreux, de ces petites gens qui se borneraient, et leur bout du nez, au peu qu’on daigne leur accoler, de ces quidams routiniers, affriolés par le verbe, ou sous-verbe, à votre guise, : Stagner.
De ces citoyens qui se suffisent à leur pas butant contre la marche récalcitrante, debout sur leurs aises, ou leurs peines inhibées par l’utile ou le nécessaire. De ces bonnes gens, dont le trait tranche d’avec la cupidité, le superflu, ou nommez-en d’autres.
Mais il en est d’autres, des battants, des acharnés, qui se suffisent un temps et leur égo, et leur fâcherie voyante, à leur piètre position, électrique, mauvaise hôte, occupée à regret, à contre poche par ce salarié qui s’échine à dérègler le cours train-train es-tu là?
À forcer le contingent d’un revenu gras, d’une carrière au train agile, évolutif, non celui grincheux, et grinçant, à vous enserrer les nerfs. De ces salariés frustrés, prêts à verser et leur joug fait d’aigreur et de nonchalance, dans le secteur voisin, rival, réputé, à tort ou à raison, pour son dynamisme, son ouverture, ses opportunités en nombre, à même d’insuffler le nécessaire au tracé d’une carrière, un secteur qui se sert, au besoin, sans vergogne, dans le lot disparate, dispersé, des têtes les mieux faites, et d’autres.
De ces salariés qui jugent, du haut de leur ire, que la fuite des cerveaux, ce composé de mots consommé à satiété, réchauffé à l’aune du sacré décliné en statistiques, serait d’abord une affaire interne, que ce secteur public sujet de plaintes, ne peut qu’œuvrer en sous-capacité, eu égard du capital humain, s’il ne change, plutôt que prépare, le terrain pratique, ne compose avec les doléances en genre et en nombre de ces salariés.
Vérité ou préjugé ? La situation est-elle du même ordre de grandeur que celui qui jaillit sous notre plume ?
De ces salariés qui jugent, du haut de leur ire, que la fuite des cerveaux, ce composé de mots consommé à satiété, réchauffé à l’aune du sacré décliné en statistiques, serait d’abord une affaire interne, que ce secteur public sujet de plaintes, ne peut qu’œuvrer en sous-capacité, eu égard du capital humain, s’il ne change, plutôt que prépare, le terrain pratique, ne compose avec les doléances en genre et en nombre de ces salariés.
Vérité ou préjugé ? La situation est-elle du même ordre de grandeur que celui qui jaillit sous notre plume ?
Le salarié est-il mal en point ? souffre-t-il en silence ? Se donne-t-il plutôt en spectacle quand il s’agit de conjuguer son mal à la rigidité d’un contexte sourd à ses doléances ? En fait-il part à qui de droit ?
Se plaint-il de son salaire ? de l’évolution d’une carrière qui peine à décoller ? Le charge-t-on de plus qu’il ne doit? Et si tant est qu’il persistait à dénoncer ce que pour lui sonne comme injustice, l’écoute-t-on ? Que lui dit-on ?
Enfin, quelles sont ces entraves qui mériteraient d’être levé pour qu’un jeune salarié ne déserte pas le secteur public ? En clair, que faut-il changer ? Nos responsables sont-ils sensibles à ce sujet ? Sinon que vaut ce secteur privé qu’on encense tant, qu’on juge meilleur ?
Hicham Aboumerrouane
Se plaint-il de son salaire ? de l’évolution d’une carrière qui peine à décoller ? Le charge-t-on de plus qu’il ne doit? Et si tant est qu’il persistait à dénoncer ce que pour lui sonne comme injustice, l’écoute-t-on ? Que lui dit-on ?
Enfin, quelles sont ces entraves qui mériteraient d’être levé pour qu’un jeune salarié ne déserte pas le secteur public ? En clair, que faut-il changer ? Nos responsables sont-ils sensibles à ce sujet ? Sinon que vaut ce secteur privé qu’on encense tant, qu’on juge meilleur ?
Hicham Aboumerrouane
public.mp3 (23.36 Mo)