La transition vers un développement économique post covid s'articule autour d'une économie bleue durable. La question de la durabilité autour de cette mer commune est cruciale, d’autant plus que la Méditerranée constitue la première destination touristique du monde.
Côté environnemental, il est à noter que la région subit un changement climatique dû au réchauffement, évalué à 20% plus vite que la moyenne mondiale. Des dégâts écologiques qui ne peuvent être atténués qu’à travers la réduction des émissions de carbone et le renforcement de la résilience des habitats marins et côtiers.
Côté environnemental, il est à noter que la région subit un changement climatique dû au réchauffement, évalué à 20% plus vite que la moyenne mondiale. Des dégâts écologiques qui ne peuvent être atténués qu’à travers la réduction des émissions de carbone et le renforcement de la résilience des habitats marins et côtiers.
Renforcer la coopération sur l'économie bleue et la gouvernance maritime
La Déclaration ministérielle a focalisé sur les politiques et les mécanismes, à même de transformer et d’innover le secteur et de relever le challenge de l’économie bleue. A titre d’exemple le passage vers une transformation à travers les clusters maritimes, l’usage de technologies à faibles émissions et une économie bleue circulaire.
Les ministres de l’UpM ont décidé de transiter vers une économie bleue durable pour sortir de la crise et s’attaquer aux graves effets du changement climatique et de la dégradation de l'environnement.
Cette fois, les intervenants ont placé la barre haute, pour ce qui est d’une synergie et coopération entre gouvernements, société civile, secteur de la recherche et secteur du privé. L’objectif est de pérenniser les activités maritimes, et qu’elles soient novatrices et génératrices d'emplois.
Parmi les défis communs à relever : l’inadéquation entre la demande et l’offre en « compétences bleues », les problématiques des déchets marins, les énergies renouvelables marines et l’écotourisme.
La conférence ministérielle a mobilisé plus de 100 experts et représentants d’ONGs internationales.
L’UpM, l'organisation intergouvernementale euro-méditerranéenne qui englobe 42 Etats membres dont les pays de l’Union Européenne, 15 pays des rives sud et de la Méditerranée, a pour but une coopération pérenne et l'intégration régionale dans la zone euro-méditerranéenne.
Bouteina BENNANI
Les ministres de l’UpM ont décidé de transiter vers une économie bleue durable pour sortir de la crise et s’attaquer aux graves effets du changement climatique et de la dégradation de l'environnement.
Cette fois, les intervenants ont placé la barre haute, pour ce qui est d’une synergie et coopération entre gouvernements, société civile, secteur de la recherche et secteur du privé. L’objectif est de pérenniser les activités maritimes, et qu’elles soient novatrices et génératrices d'emplois.
Parmi les défis communs à relever : l’inadéquation entre la demande et l’offre en « compétences bleues », les problématiques des déchets marins, les énergies renouvelables marines et l’écotourisme.
La conférence ministérielle a mobilisé plus de 100 experts et représentants d’ONGs internationales.
L’UpM, l'organisation intergouvernementale euro-méditerranéenne qui englobe 42 Etats membres dont les pays de l’Union Européenne, 15 pays des rives sud et de la Méditerranée, a pour but une coopération pérenne et l'intégration régionale dans la zone euro-méditerranéenne.
Bouteina BENNANI