Chaque année, environ 300 000 jeunes marocains quittent le système scolaire sans aucune qualification, une réalité alarmante qui menace l’avenir de toute une génération. ces jeunes, souvent issus de milieux défavorisés, se retrouvent rapidement marginalisés, sans perspective d’emploi ou de formation. face à cette crise, les écoles de la deuxième chance représentent une réponse salutaire, offrant à ces jeunes une opportunité de réintégrer le système éducatif et de se préparer à la vie professionnelle.
Le réseau des associations des écoles de la deuxième chance (RAE2C), un acteur clé dans ce mécanisme de réinsertion, organise une conférence nationale le 17 octobre 2024 à Rabat pour aborder les enjeux liés à la déscolarisation des jeunes au Maroc. cette rencontre réunira divers acteurs de l’éducation, des représentants gouvernementaux, des associations ainsi que des partenaires internationaux, dans le but de favoriser une réflexion collective sur les meilleures pratiques à adopter pour soutenir ces jeunes en difficulté.
Les écoles de la deuxième chance sont nées d’une volonté de ne pas abandonner ceux que le système éducatif a laissés de côté. elles proposent des formations adaptées aux besoins de ces jeunes, en leur offrant une combinaison d’éducation académique et de formation professionnelle. ce modèle permet à ceux qui ont quitté l’école sans diplôme d’acquérir des compétences utiles sur le marché du travail, tout en leur redonnant confiance en eux. c’est une véritable opportunité pour ces jeunes de reconstruire leur avenir.
Cette conférence nationale s’inscrit dans un contexte où l’insertion des jeunes dans le marché de l’emploi est un enjeu crucial pour le Maroc. le pays, en proie à des taux élevés de chômage chez les jeunes, doit impérativement mettre en place des solutions efficaces pour éviter que des milliers de jeunes ne sombrent dans la marginalisation. les écoles de la deuxième chance ne sont pas seulement des lieux d’apprentissage, elles sont aussi des espaces où ces jeunes retrouvent espoir et dignité.
Les intervenants de cette conférence partageront leurs expériences sur les défis auxquels ils sont confrontés, notamment en termes de financement, de partenariats et de soutien institutionnel. les écoles de la deuxième chance ne peuvent fonctionner sans une collaboration étroite entre les différents acteurs, y compris le secteur privé, qui joue un rôle déterminant dans l’employabilité des jeunes formés dans ces structures.
Mais le chemin est encore long pour parvenir à une insertion généralisée de ces jeunes déscolarisés. malgré les efforts des écoles de la deuxième chance et du ministère de l’Éducation, les chiffres restent préoccupants. les jeunes, confrontés à des difficultés économiques, sociales et familiales, sont souvent contraints de quitter l’école pour subvenir aux besoins de leur famille. cette réalité rend d’autant plus nécessaire une approche globale et inclusive qui prenne en compte ces facteurs multiples.
L’enjeu pour le Maroc est de faire des écoles de la deuxième chance un pilier central de son système éducatif et de sa politique de l’emploi. il est indispensable de développer des initiatives locales et nationales qui permettent de donner une vraie chance à ces jeunes de s’en sortir. la conférence du 17 octobre sera l’occasion de renforcer les partenariats, d’échanger des bonnes pratiques et de réfléchir à des solutions innovantes pour mieux accompagner ces jeunes.
Au-delà de l’aspect éducatif, cette initiative s’inscrit dans une démarche de justice sociale. chaque jeune qui quitte l’école sans qualification représente un gâchis, non seulement pour lui-même, mais aussi pour la société dans son ensemble. les écoles de la deuxième chance ont un rôle essentiel à jouer dans la réduction des inégalités et la lutte contre l’exclusion sociale.
Le réseau des associations des écoles de la deuxième chance (RAE2C), un acteur clé dans ce mécanisme de réinsertion, organise une conférence nationale le 17 octobre 2024 à Rabat pour aborder les enjeux liés à la déscolarisation des jeunes au Maroc. cette rencontre réunira divers acteurs de l’éducation, des représentants gouvernementaux, des associations ainsi que des partenaires internationaux, dans le but de favoriser une réflexion collective sur les meilleures pratiques à adopter pour soutenir ces jeunes en difficulté.
Les écoles de la deuxième chance sont nées d’une volonté de ne pas abandonner ceux que le système éducatif a laissés de côté. elles proposent des formations adaptées aux besoins de ces jeunes, en leur offrant une combinaison d’éducation académique et de formation professionnelle. ce modèle permet à ceux qui ont quitté l’école sans diplôme d’acquérir des compétences utiles sur le marché du travail, tout en leur redonnant confiance en eux. c’est une véritable opportunité pour ces jeunes de reconstruire leur avenir.
Cette conférence nationale s’inscrit dans un contexte où l’insertion des jeunes dans le marché de l’emploi est un enjeu crucial pour le Maroc. le pays, en proie à des taux élevés de chômage chez les jeunes, doit impérativement mettre en place des solutions efficaces pour éviter que des milliers de jeunes ne sombrent dans la marginalisation. les écoles de la deuxième chance ne sont pas seulement des lieux d’apprentissage, elles sont aussi des espaces où ces jeunes retrouvent espoir et dignité.
Les intervenants de cette conférence partageront leurs expériences sur les défis auxquels ils sont confrontés, notamment en termes de financement, de partenariats et de soutien institutionnel. les écoles de la deuxième chance ne peuvent fonctionner sans une collaboration étroite entre les différents acteurs, y compris le secteur privé, qui joue un rôle déterminant dans l’employabilité des jeunes formés dans ces structures.
Mais le chemin est encore long pour parvenir à une insertion généralisée de ces jeunes déscolarisés. malgré les efforts des écoles de la deuxième chance et du ministère de l’Éducation, les chiffres restent préoccupants. les jeunes, confrontés à des difficultés économiques, sociales et familiales, sont souvent contraints de quitter l’école pour subvenir aux besoins de leur famille. cette réalité rend d’autant plus nécessaire une approche globale et inclusive qui prenne en compte ces facteurs multiples.
L’enjeu pour le Maroc est de faire des écoles de la deuxième chance un pilier central de son système éducatif et de sa politique de l’emploi. il est indispensable de développer des initiatives locales et nationales qui permettent de donner une vraie chance à ces jeunes de s’en sortir. la conférence du 17 octobre sera l’occasion de renforcer les partenariats, d’échanger des bonnes pratiques et de réfléchir à des solutions innovantes pour mieux accompagner ces jeunes.
Au-delà de l’aspect éducatif, cette initiative s’inscrit dans une démarche de justice sociale. chaque jeune qui quitte l’école sans qualification représente un gâchis, non seulement pour lui-même, mais aussi pour la société dans son ensemble. les écoles de la deuxième chance ont un rôle essentiel à jouer dans la réduction des inégalités et la lutte contre l’exclusion sociale.