Selon le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts du Maroc, Mohamed Sadiki
L’agriculture irriguée est priorisée seulement après la satisfaction des besoins en eau potable et reste de ce fait, la plus impacté par les changements climatiques
Les autorités ont également lancé un programme de suivi rapproché pour rationaliser l’utilisation de l’eau dans les zones irriguées, avec une attention particulière pour l’arboriculture et les cultures pérennes.
Pour atténuer les impacts de la sécheresse, les autorités ont pris des mesures proactives telles que la gestion de l’offre en eau, l’adaptation des programmes de culture, la mobilisation de ressources hydriques supplémentaires (comme les forages et les puits), et la modernisation des réseaux d’irrigation.
On a restreint l’expansion des cultures gourmandes en eau comme les agrumes, l’avocat et les pastèques, privilégiant des plantations plus résilientes à la sécheresse telles que le pistachier, le caroubier, l’amandier, l’arganier, le cactus, l’olivier, le palmier dattier et l’arganier.
Les autorités ont également lancé un programme de suivi rapproché pour rationaliser l’utilisation de l’eau dans les zones irriguées, avec une attention particulière pour l’arboriculture et les cultures pérennes.
Pour atténuer les impacts de la sécheresse, les autorités ont pris des mesures proactives telles que la gestion de l’offre en eau, l’adaptation des programmes de culture, la mobilisation de ressources hydriques supplémentaires (comme les forages et les puits), et la modernisation des réseaux d’irrigation.