D’emblée, l’on retiendra de ces indicateurs, que suite à un recul de 5,8 % des activités non agricoles et une baisse de 8,6 % du secteur agricole, l’économie nationale s’est contractée de 6,3 % au lieu d’une croissance de 2,6 % enregistrée une année auparavant.
Avec la baisse de 7,6 % des impôts nets des subventions sur les produits au lieu d’une hausse de 1,9 % l'année précédente, le taux d’accroissement du produit intérieur brut en volume, hors agriculture, est passé de 3,7% en 2019 à -6 % en 2020.
Cette contre-performance s’est aussi traduite par une chute de 6 % de la demande intérieure avec une contribution négative à la croissance de 6,5 points et un recul de 14,3 % de celle de l’extérieur avec une contribution négative à la croissance de 5,6 points. Et ce, au moment où les importations de biens et services ont connu une forte baisse de 12,2 % au lieu d’une augmentation de 3,4 % en 2019, avec une contribution négative à la croissance de 5,8 points au lieu d’une contribution positive de 1,7 points l’année passée.
Avec la baisse de 7,6 % des impôts nets des subventions sur les produits au lieu d’une hausse de 1,9 % l'année précédente, le taux d’accroissement du produit intérieur brut en volume, hors agriculture, est passé de 3,7% en 2019 à -6 % en 2020.
Cette contre-performance s’est aussi traduite par une chute de 6 % de la demande intérieure avec une contribution négative à la croissance de 6,5 points et un recul de 14,3 % de celle de l’extérieur avec une contribution négative à la croissance de 5,6 points. Et ce, au moment où les importations de biens et services ont connu une forte baisse de 12,2 % au lieu d’une augmentation de 3,4 % en 2019, avec une contribution négative à la croissance de 5,8 points au lieu d’une contribution positive de 1,7 points l’année passée.
Le HCP fournit plus de détails
Les dépenses de consommation finale des ménages ont connu une baisse de 4,1 % avec une contribution négative à la croissance de 2,3 points.
L’investissement brut (formation brute de capital fixe et variation des stocks) a enregistré un net recul de son taux d’accroissement passant de -0,4 % en 2019 à -14,2 % en 2020, avec une contribution à la croissance de -4,6.
En revanche, la consommation finale des administrations publiques a affiché un taux d’accroissement de 1,7 % en 2020 au lieu de 4,7 % une année auparavant.
L’investissement brut (formation brute de capital fixe et variation des stocks) a enregistré un net recul de son taux d’accroissement passant de -0,4 % en 2019 à -14,2 % en 2020, avec une contribution à la croissance de -4,6.
En revanche, la consommation finale des administrations publiques a affiché un taux d’accroissement de 1,7 % en 2020 au lieu de 4,7 % une année auparavant.
Qu’en est-il du besoin de financement ?
A ce niveau, le HCP évoque un certain allégement dans la mesure où le besoin de financement de l’économie nationale est passé de 4,1 % du PIB en 2019 à 1,8 % en 2020. Eu ce, suite un certain nombre de facteurs dont une hausse de 24,2 % des revenus nets reçus du reste du monde, une épargne nationale située à 26,7 % du PIB et un niveau d’investissement brut qui a représentant 28,4% du PIB au lieu de 31,9 % une année auparavant.
En chiffres, le besoin de financement de l’économie nationale s’est ainsi allégé passant de 4,1 % du PIB en 2019 à 1,8 % en 2020.
En chiffres, le besoin de financement de l’économie nationale s’est ainsi allégé passant de 4,1 % du PIB en 2019 à 1,8 % en 2020.