Bruxelles a lancé vendredi une procédure de règlement des différends contre l’Algérie, visant à remédier à diverses restrictions qui entravent les exportations et les investissements européens, tout en protégeant les intérêts des entreprises de l’UE.
Les mesures restrictives imposées par Alger sont jugées préjudiciables non seulement aux exportateurs et aux entreprises européennes opérant en Algérie, mais aussi aux consommateurs algériens, limités dans leur choix de produits.
Les points de friction incluent un système de licences d’importation fonctionnant comme une interdiction, des subventions conditionnées à l’utilisation d’intrants locaux pour l’industrie automobile et des restrictions sur la propriété étrangère pour les entreprises importatrices.
En l’absence de résolution amiable, l’UE pourrait demander la création d’un groupe spécial d’arbitrage, conformément aux dispositions de l’accord d’association.
Les mesures restrictives imposées par Alger sont jugées préjudiciables non seulement aux exportateurs et aux entreprises européennes opérant en Algérie, mais aussi aux consommateurs algériens, limités dans leur choix de produits.
Les points de friction incluent un système de licences d’importation fonctionnant comme une interdiction, des subventions conditionnées à l’utilisation d’intrants locaux pour l’industrie automobile et des restrictions sur la propriété étrangère pour les entreprises importatrices.
En l’absence de résolution amiable, l’UE pourrait demander la création d’un groupe spécial d’arbitrage, conformément aux dispositions de l’accord d’association.