Cette amélioration s'inscrit dans la continuité des performances exceptionnelles enregistrées en 2022, où l'ONCF a atteint une progression impressionnante de l'activité voyageurs, avec 45,9 millions de passagers, représentant une augmentation de 33%. Ces chiffres encourageants ont été publiés dans un rapport accessible sur le site du ministère de l'Économie et des Finances.
Concernant le secteur du fret, l'ONCF prévoit également une croissance, avec une hausse prévue de 3,2% du tonnage des marchandises, atteignant 9,6 millions de tonnes en 2023, et une augmentation encore plus significative de 13% pour les phosphates, portant leur volume à 13 millions de tonnes, comme indiqué par la même source.
En ce qui concerne les aspects financiers, le chiffre d'affaires (CA) de l'ONCF devrait dépasser 4,34 milliards de dirhams (MMDH) en 2023, enregistrant une croissance de 6% par rapport à 2022. Parallèlement, les investissements prévus se situent à près de 2 MMDH.
Les prévisions pour les trois prochaines années sont également prometteuses, avec un CA estimé à 4,85 MMDH en 2024, 5,24 MMDH en 2025 et 5,47 MMDH en 2026. L'ONCF prévoit d'investir plus de 12,38 MMDH au cours de la même période, principalement pour l'acquisition de nouveau matériel roulant, avec des budgets respectifs de 4,77 MMDH en 2024, 3,79 MMDH en 2025 et 3,82 MMDH en 2026.
Dans le cadre de son plan de développement, l'ONCF travaille sur la création d'une unité industrielle pour la fabrication locale des trains, visant une intégration industrielle dépassant 60%. Parallèlement, une unité de maintenance sera mise en place grâce à un partenariat avec le secteur privé.
Cependant, le secteur ferroviaire, bien que prospère, est confronté à des défis financiers importants, notamment liés à l'endettement. Cela exige une réforme institutionnelle et organisationnelle accélérée pour optimiser le financement de l'infrastructure ferroviaire et garantir la durabilité des projets de l'ONCF. Ces projets comprennent l'extension de la ligne à grande vitesse (LGV) vers Marrakech et Agadir ainsi que des connexions portuaires, telles que Safi et Nador West Med.
La mise au point et la signature d'un nouveau contrat-programme entre l'État et l'ONCF, actuellement en cours de préparation en concertation entre les parties concernées, devraient jouer un rôle clé dans l'établissement d'un nouveau schéma de financement pour le développement du secteur ferroviaire et la restructuration de la situation financière de l'ONCF.
Concernant le secteur du fret, l'ONCF prévoit également une croissance, avec une hausse prévue de 3,2% du tonnage des marchandises, atteignant 9,6 millions de tonnes en 2023, et une augmentation encore plus significative de 13% pour les phosphates, portant leur volume à 13 millions de tonnes, comme indiqué par la même source.
En ce qui concerne les aspects financiers, le chiffre d'affaires (CA) de l'ONCF devrait dépasser 4,34 milliards de dirhams (MMDH) en 2023, enregistrant une croissance de 6% par rapport à 2022. Parallèlement, les investissements prévus se situent à près de 2 MMDH.
Les prévisions pour les trois prochaines années sont également prometteuses, avec un CA estimé à 4,85 MMDH en 2024, 5,24 MMDH en 2025 et 5,47 MMDH en 2026. L'ONCF prévoit d'investir plus de 12,38 MMDH au cours de la même période, principalement pour l'acquisition de nouveau matériel roulant, avec des budgets respectifs de 4,77 MMDH en 2024, 3,79 MMDH en 2025 et 3,82 MMDH en 2026.
Dans le cadre de son plan de développement, l'ONCF travaille sur la création d'une unité industrielle pour la fabrication locale des trains, visant une intégration industrielle dépassant 60%. Parallèlement, une unité de maintenance sera mise en place grâce à un partenariat avec le secteur privé.
Cependant, le secteur ferroviaire, bien que prospère, est confronté à des défis financiers importants, notamment liés à l'endettement. Cela exige une réforme institutionnelle et organisationnelle accélérée pour optimiser le financement de l'infrastructure ferroviaire et garantir la durabilité des projets de l'ONCF. Ces projets comprennent l'extension de la ligne à grande vitesse (LGV) vers Marrakech et Agadir ainsi que des connexions portuaires, telles que Safi et Nador West Med.
La mise au point et la signature d'un nouveau contrat-programme entre l'État et l'ONCF, actuellement en cours de préparation en concertation entre les parties concernées, devraient jouer un rôle clé dans l'établissement d'un nouveau schéma de financement pour le développement du secteur ferroviaire et la restructuration de la situation financière de l'ONCF.