Selon ses déclarations, 15 % des sites historiques du monde islamique inscrits sur la liste du patrimoine mondial sont aujourd’hui menacés. Ce constat inquiétant met en lumière les défis colossaux auxquels fait face la préservation du patrimoine dans des régions souvent marquées par des conflits, des catastrophes naturelles ou encore des négligences institutionnelles.
Sur les 211 sites patrimoniaux répertoriés dans le monde islamique, 33 figurent désormais sur la liste des sites en danger, représentant près de 60 % des 53 sites menacés à l’échelle mondiale. Ces chiffres alarmants traduisent une urgence : celle de mobiliser les efforts internationaux pour protéger ces trésors culturels, qui incarnent des siècles d’histoire, de savoir-faire et de traditions. Ces sites, véritables témoins d’un héritage civilisationnel unique, risquent de disparaître si des actions concrètes ne sont pas entreprises rapidement.
Lors de son intervention, Salem bin Mohammed Al-Malik a insisté sur la nécessité de conjuguer les efforts entre les États membres de l’ICESCO et les organisations internationales pour préserver ces joyaux du passé. Il a également mis en avant l’importance de promouvoir la restitution des biens patrimoniaux spoliés ou perdus, souvent victimes de trafics illicites ou de pillages dans des contextes de guerre. Cette démarche, selon lui, est essentielle pour restaurer l’intégrité culturelle des nations concernées et transmettre cet héritage aux générations futures.
Créée en 1982 et basée à Rabat, l’ICESCO joue un rôle central dans la protection et la valorisation du patrimoine culturel, éducatif et scientifique des pays membres. Avec 53 États répartis sur quatre régions (africaine, arabe, asiatique et latino-américaine), l’organisation s’efforce de sensibiliser à l’importance de la sauvegarde du patrimoine en tant que pilier de l’identité collective et du développement durable.
Le défi est immense, mais l’enjeu l’est tout autant. Les sites historiques du monde islamique ne sont pas seulement des lieux physiques, ils sont les gardiens d’histoires, de cultures et de traditions qui transcendent les frontières. Leur perte serait une tragédie non seulement pour les pays concernés, mais pour l’humanité tout entière.
Sur les 211 sites patrimoniaux répertoriés dans le monde islamique, 33 figurent désormais sur la liste des sites en danger, représentant près de 60 % des 53 sites menacés à l’échelle mondiale. Ces chiffres alarmants traduisent une urgence : celle de mobiliser les efforts internationaux pour protéger ces trésors culturels, qui incarnent des siècles d’histoire, de savoir-faire et de traditions. Ces sites, véritables témoins d’un héritage civilisationnel unique, risquent de disparaître si des actions concrètes ne sont pas entreprises rapidement.
Lors de son intervention, Salem bin Mohammed Al-Malik a insisté sur la nécessité de conjuguer les efforts entre les États membres de l’ICESCO et les organisations internationales pour préserver ces joyaux du passé. Il a également mis en avant l’importance de promouvoir la restitution des biens patrimoniaux spoliés ou perdus, souvent victimes de trafics illicites ou de pillages dans des contextes de guerre. Cette démarche, selon lui, est essentielle pour restaurer l’intégrité culturelle des nations concernées et transmettre cet héritage aux générations futures.
Créée en 1982 et basée à Rabat, l’ICESCO joue un rôle central dans la protection et la valorisation du patrimoine culturel, éducatif et scientifique des pays membres. Avec 53 États répartis sur quatre régions (africaine, arabe, asiatique et latino-américaine), l’organisation s’efforce de sensibiliser à l’importance de la sauvegarde du patrimoine en tant que pilier de l’identité collective et du développement durable.
Le défi est immense, mais l’enjeu l’est tout autant. Les sites historiques du monde islamique ne sont pas seulement des lieux physiques, ils sont les gardiens d’histoires, de cultures et de traditions qui transcendent les frontières. Leur perte serait une tragédie non seulement pour les pays concernés, mais pour l’humanité tout entière.