Adnane Benchakroun
Le bonheur, cette quête vaine et sans repos,
Ne se trouve pas en un lieu ou un propos.
Ce sont des instants, fugaces et précieux,
Que l'on doit provoquer sous les cieux silencieux.
Rarement offerts, ces moments sont à bâtir,
Dans l'effort, le labeur, sans jamais défaillir.
La tâche est ardue, dans ce monde en mouvement,
Où chacun poursuit son ombre, perdant son temps.
Mais l'espoir demeure, luit comme une étoile,
Guide vers le bien-être, en dépit de la toile
Tissée par le destin, chaque âme en son combat
Cherche son propre éclat, dans le froid, sous les draps.
Variable est le bien, selon le temps, le lieu,
Chacun son paradis, en son cœur, dans ses yeux.
Avec qui, où et quand, le bonheur prend sa forme,
Fuyant, tel un éclair, avant que la nuit dorme.
Oui, possible il est, de saisir cette essence,
En mode radar, vivre avec persévérance.
Le bonheur, un art, de l'instant saisi,
Dans le jardin de vie, fleurit sous la pluie.
Dans l'échange d'un regard, le toucher d'une main,
Dans le parfum d'une rose, au matin serein.
Le bonheur se niche, dans les gestes petits,
Un sourire, une étreinte, là où le cœur s'unit.
Il est cette musique, que seul l'esprit entend,
Un son pur et sublime, qui doucement s'étend.
À travers les âges, les peines et les joies,
Oum Kalthoum l'aurait chanté, dans ses vers, avec foi.
La vie est un voyage, où le bonheur est roi,
Mais roi sans couronne, qui se cache parfois.
Il faut le chercher, dans le bruit et le silence,
Le construire avec amour, patience et persévérance.
Le bonheur n'est pas un état, mais un chemin,
Une série de pas, dans l'herbe, le matin.
Où chaque instant vécu, est un trésor caché,
Que seul le cœur ouvert, peut vraiment apprécier.
À l'ombre d'un vieux chêne, ou sous le soleil d'or,
Le bonheur se vit, sans raison, sans remord.
Il est le souffle léger, sur un champ de blé,
La quiétude d'un soir, où l'âme peut rêver.
Pourtant fugace, il est fort et résistant,
Se nourrissant d'espoir, et d'amour grandissant.
Le bonheur est la quête, du poète, du sage,
Un voyage sans fin, à travers les âges.
Dans le chant d'un oiseau, à l'aube d'un nouveau jour,
Se trouve cette joie, simple et pleine d'amour.
Ronsard l'a bien dit, dans ses vers immortels,
Le bonheur se cultive, en nos cœurs, éternels.
Ne se trouve pas en un lieu ou un propos.
Ce sont des instants, fugaces et précieux,
Que l'on doit provoquer sous les cieux silencieux.
Rarement offerts, ces moments sont à bâtir,
Dans l'effort, le labeur, sans jamais défaillir.
La tâche est ardue, dans ce monde en mouvement,
Où chacun poursuit son ombre, perdant son temps.
Mais l'espoir demeure, luit comme une étoile,
Guide vers le bien-être, en dépit de la toile
Tissée par le destin, chaque âme en son combat
Cherche son propre éclat, dans le froid, sous les draps.
Variable est le bien, selon le temps, le lieu,
Chacun son paradis, en son cœur, dans ses yeux.
Avec qui, où et quand, le bonheur prend sa forme,
Fuyant, tel un éclair, avant que la nuit dorme.
Oui, possible il est, de saisir cette essence,
En mode radar, vivre avec persévérance.
Le bonheur, un art, de l'instant saisi,
Dans le jardin de vie, fleurit sous la pluie.
Dans l'échange d'un regard, le toucher d'une main,
Dans le parfum d'une rose, au matin serein.
Le bonheur se niche, dans les gestes petits,
Un sourire, une étreinte, là où le cœur s'unit.
Il est cette musique, que seul l'esprit entend,
Un son pur et sublime, qui doucement s'étend.
À travers les âges, les peines et les joies,
Oum Kalthoum l'aurait chanté, dans ses vers, avec foi.
La vie est un voyage, où le bonheur est roi,
Mais roi sans couronne, qui se cache parfois.
Il faut le chercher, dans le bruit et le silence,
Le construire avec amour, patience et persévérance.
Le bonheur n'est pas un état, mais un chemin,
Une série de pas, dans l'herbe, le matin.
Où chaque instant vécu, est un trésor caché,
Que seul le cœur ouvert, peut vraiment apprécier.
À l'ombre d'un vieux chêne, ou sous le soleil d'or,
Le bonheur se vit, sans raison, sans remord.
Il est le souffle léger, sur un champ de blé,
La quiétude d'un soir, où l'âme peut rêver.
Pourtant fugace, il est fort et résistant,
Se nourrissant d'espoir, et d'amour grandissant.
Le bonheur est la quête, du poète, du sage,
Un voyage sans fin, à travers les âges.
Dans le chant d'un oiseau, à l'aube d'un nouveau jour,
Se trouve cette joie, simple et pleine d'amour.
Ronsard l'a bien dit, dans ses vers immortels,
Le bonheur se cultive, en nos cœurs, éternels.