Une ONG tire la sonnette d'alarme.  L'organisation viennoise Noyb dénonce une nouvelle politique de confidentialité qui permettrait à Meta de s'approprier l'ensemble des données collectées depuis 2007 auprès de ses milliards d'utilisateurs.  Objectif ?  Alimenter une "technologie expérimentale d'IA sans aucune limite",  s'insurge l'ONG.

Vers un "Big Brother" numérique ?  L'utilisation massive des données personnelles pour l'IA soulève de vives inquiétudes quant au respect de la vie privée.  Si Meta franchit cette ligne rouge,  c'est un précédent dangereux qui serait créé,  avec des conséquences potentiellement liberticides.  Les autorités européennes sont appelées à réagir rapidement pour protéger les droits des citoyens.