Selon le dernier rapport européen sur l'islamophobie, le monde a été témoin, ces dernières années, des conséquences de la propagation de l’idéologie de l’« alternative » et autres théories du complot, émis par le droit extrémiste. Et qui considère les musulmans résidents dans les pays d’Europe comme une menace pour eux, et comme des conquérants, ce qui pousse à la panique.
D’ailleurs, de nombreux jeunes adoptent cette approche, d’où le développement de l’esprit de haine contre l'islam et les musulmans, pouvant arriver jusqu’aux actes de violence et d’attaques individuelles ou communautaires contre les musulmans.
Il faut noter que le Conseil de l'Europe, à travers la Commission européenne, a déjà souligné la minimisation et la sous-estimation de l’importance et du danger de certains groupes organisés.
Sur le plan médiatique, près de 50% des informations liées à l'islam et aux musulmans en Espagne sont imprégnées d’un certain type d'islamophobie, dans le discours, dans le contenu ou à travers des insinuations, qu’elles soient intentionnelles ou pas, ou via des idées préconçues basées sur l’héritage communautaire antimusulman.
Il faut aussi noter que grâce à la pression exercée pour l’abolition de toutes les formes de discrimination, et l’alerte de l’opinion publique sur les éléments cachés dans le discours, attribués à
l'islamophobie, il y a quelque peu une baisse « des grands titres d’’informations anti-islam » au niveau de quelques journaux et chaînes espagnoles.
C'est pour cela que l'Association Marocaine en Espagne estime qu’il est nécessaire de créer une « conscience sociale », une sorte d'interaction et de pression incessante, entre différents intervenants, afin de mettre fin, petit à petit, à ce phénomène.
Seulement, malgré que le tribunal européen des droits de l’homme ait officiellement mis en place des normes spécifiques ciblées ainsi que des stratégies, afin de mettre fin au discours de haine, il n’y a aucun progrès dans ce cadre. Le problème a été accentué via les réseaux sociaux et internet.
Pour ces trois jours de conférence de l’association, le sujet est abordé selon cinq angles : sciences de l’éducation, droit, communication et médias, approche genre ainsi que le domaine de l’intervention sociale.
Les différentes sessions analysent la réalité de l'islamophobie du point de vue sociale, académique, et dans le code pénal espagnol.
D’ailleurs, de nombreux jeunes adoptent cette approche, d’où le développement de l’esprit de haine contre l'islam et les musulmans, pouvant arriver jusqu’aux actes de violence et d’attaques individuelles ou communautaires contre les musulmans.
Il faut noter que le Conseil de l'Europe, à travers la Commission européenne, a déjà souligné la minimisation et la sous-estimation de l’importance et du danger de certains groupes organisés.
Sur le plan médiatique, près de 50% des informations liées à l'islam et aux musulmans en Espagne sont imprégnées d’un certain type d'islamophobie, dans le discours, dans le contenu ou à travers des insinuations, qu’elles soient intentionnelles ou pas, ou via des idées préconçues basées sur l’héritage communautaire antimusulman.
Il faut aussi noter que grâce à la pression exercée pour l’abolition de toutes les formes de discrimination, et l’alerte de l’opinion publique sur les éléments cachés dans le discours, attribués à
l'islamophobie, il y a quelque peu une baisse « des grands titres d’’informations anti-islam » au niveau de quelques journaux et chaînes espagnoles.
C'est pour cela que l'Association Marocaine en Espagne estime qu’il est nécessaire de créer une « conscience sociale », une sorte d'interaction et de pression incessante, entre différents intervenants, afin de mettre fin, petit à petit, à ce phénomène.
Seulement, malgré que le tribunal européen des droits de l’homme ait officiellement mis en place des normes spécifiques ciblées ainsi que des stratégies, afin de mettre fin au discours de haine, il n’y a aucun progrès dans ce cadre. Le problème a été accentué via les réseaux sociaux et internet.
Pour ces trois jours de conférence de l’association, le sujet est abordé selon cinq angles : sciences de l’éducation, droit, communication et médias, approche genre ainsi que le domaine de l’intervention sociale.
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