"L'Alliance évolue vers une coopération plus efficace et plus agile, axée sur les projets", a déclaré Renault pour expliquer sa nouvelle relation avec Nissan. D'ici la fin de 2023, l'organisation de l'Alliance passera d'un modèle standardisé à l'échelle mondiale à une coopération axée sur les projets, permettant des décisions plus rapides et adaptées aux besoins régionaux. En d'autres termes, les entités communes, telles que celles dédiées au développement de l'informatique embarquée ou aux achats groupés pour la négociation des prix en volume, seront supprimées.
Cependant, Renault, Nissan, ainsi que leurs filiales telles que Dacia, Mitsubishi et Infiniti, continueront de travailler ensemble sur des projets spécifiques, négociés au cas par cas, à l'instar de nombreuses autres entreprises du secteur. De plus, les projets en cours, tels que la collaboration entre la future Micra et la future R5 électrique, ainsi que la plateforme commune partagée par le Nissan Ariya et la Renault Megane E-Tech, seront maintenus. Mitsubishi, quant à lui, continuera à être actif sur les marchés où la marque est présente, comme en témoignent les récentes versions rebadgées de la Colt et de l'ASX, qui sont essentiellement des déclinaisons des modèles Clio et Captur de Renault.
Cependant, Renault, Nissan, ainsi que leurs filiales telles que Dacia, Mitsubishi et Infiniti, continueront de travailler ensemble sur des projets spécifiques, négociés au cas par cas, à l'instar de nombreuses autres entreprises du secteur. De plus, les projets en cours, tels que la collaboration entre la future Micra et la future R5 électrique, ainsi que la plateforme commune partagée par le Nissan Ariya et la Renault Megane E-Tech, seront maintenus. Mitsubishi, quant à lui, continuera à être actif sur les marchés où la marque est présente, comme en témoignent les récentes versions rebadgées de la Colt et de l'ASX, qui sont essentiellement des déclinaisons des modèles Clio et Captur de Renault.