Le pays voisin de l’Est est ravagé par des feux de forêts. Il est question d’au moins une centaine de décès, à près de moitié des soldats envoyés combattre les flammes avec des pelles.
SM Mohammed VI a mobilisé deux Canadairs C-415 pour porter assistance à nos frères algériens, qui n’attendent que le feu vert d’Alger pour s’envoler.
Sauf que les criminels qui dirigent le pays voisin préfèrent voir leurs citoyens calcinés plutôt que d’accepter l’aide du Maroc.
Dans un tweet, le président français Emmanuel Macron a annoncé l’envoi de deux Canadairs en ‘Kabylie’, en soutien au ‘peuple algérien’.
Les caporaux d’Alger se taisent quand l’ancien colonisateur les ignore avec mépris, et font feu de tout bois (sans jeu de mots malsain) quand le Maroc, décrié comme l’ennemi juré, leur affiche du respect.
Jusqu’à preuve du contraire, aucun élément tangible ne permet, présentement, de politiser cette catastrophe écologique au pays voisin.
Les réseaux sociaux bourdonnent de rumeurs faisant état de la main du régime derrière le déclenchement simultané de plusieurs foyers d’incendie, d’abord dans les Aurès, puis en Kabylie.
Les incendies de forêts qui ravagent également la Grèce et la Californie, ou personne n’accuse qui que ce soit d’en être à l’origine, portent à croire que se seraient plutôt les effets destructeurs du réchauffement climatique.
Sauf que c’est vite oublier l’incompétence avérée des dirigeants algériens à gérer correctement les affaires publiques, qui a implémenter dans leur mentalité le réflexe pavlovien de quête de bous émissaires.
C’est le ministre de l’intérieur algérien qui a déclaré que les feux de forêts qui sévissent dans son pays seraient d’origine criminelle.
Les digues ont été ainsi ouvertes pour laisser se déverser, sur les réseaux sociaux, un flot d’accusations à l’encontre du mouvement indépendantiste kabyle, le MAK, qui serait instrumentalisé par l’ennemi ‘génétique’ des caporaux d’Alger : le Maroc.
Heureusement, les Algériens ne sont pas dupes et connaissent parfaitement la propension naturelle de leurs dirigeants à mentir et monter les uns contre les autres pour fuir leurs responsabilités.
C’est une ambiance de fin de régime qui règne en Algérie. Les populations ne font plus confiance à l’Etat et s’entraident pour éteindre les flammes et secourir les victimes.
Un sentiment de profond dégoût et de rage de moins en moins contenue taraude les Algériens. Les malades du covid étouffent dans les hôpitaux par manque d’oxygène, les autres suffoquent dans les incendies.
L’Algérie achète des bombardiers russes et des blindés pour le polisario, mais elle ne dispose pas d’un seul Canadair. Les dirigeants algériens veulent, maintenant, en louer deux, sauf que le temps que l’opération soit effectuée, il ne restera plus grand-chose à sauver.
Juste à quelques kilomètres à l’Ouest de l’Oued Isly, deux Canadairs marocains, avec des pilotes marocains expérimentés dans l’extinction des feux de forêts, qui parlent le même dialecte que les Algériens, n’attendent que de porter secours à leurs voisins, gratuitement.
Mais non ! Brûler dans la Géhenne plutôt que d’accepter la main tendue du Maroc.
Le président Tebboune ne s’est pas adressé à son peuple en ces temps de crise, il se cache pour ruminer sa haine du Maroc.
Le Général Chengriha, pour sa part, doit être trop occupé à changer de couches-culottes.
Quand aux généraux ‘retraités’, toujours en activité tapis dans l’ombre, Taoufik et Nizar, leur dépravation a gangréné même leurs racines, Kabyle pour le premier, Chaoui pour l’autre.
Tels des Néron, ils regardent leurs terres se consumer dans les flammes, holocauste présenté en contrepartie de la préservation du pouvoir.
Pendant que les dirigeants algériens restent de glace face à leur pays incendié et leurs compatriotes immolés, les Marocains ont le cœur qui brûle.
SM Mohammed VI a mobilisé deux Canadairs C-415 pour porter assistance à nos frères algériens, qui n’attendent que le feu vert d’Alger pour s’envoler.
Sauf que les criminels qui dirigent le pays voisin préfèrent voir leurs citoyens calcinés plutôt que d’accepter l’aide du Maroc.
Dans un tweet, le président français Emmanuel Macron a annoncé l’envoi de deux Canadairs en ‘Kabylie’, en soutien au ‘peuple algérien’.
Les caporaux d’Alger se taisent quand l’ancien colonisateur les ignore avec mépris, et font feu de tout bois (sans jeu de mots malsain) quand le Maroc, décrié comme l’ennemi juré, leur affiche du respect.
Jusqu’à preuve du contraire, aucun élément tangible ne permet, présentement, de politiser cette catastrophe écologique au pays voisin.
Les réseaux sociaux bourdonnent de rumeurs faisant état de la main du régime derrière le déclenchement simultané de plusieurs foyers d’incendie, d’abord dans les Aurès, puis en Kabylie.
Les incendies de forêts qui ravagent également la Grèce et la Californie, ou personne n’accuse qui que ce soit d’en être à l’origine, portent à croire que se seraient plutôt les effets destructeurs du réchauffement climatique.
Sauf que c’est vite oublier l’incompétence avérée des dirigeants algériens à gérer correctement les affaires publiques, qui a implémenter dans leur mentalité le réflexe pavlovien de quête de bous émissaires.
C’est le ministre de l’intérieur algérien qui a déclaré que les feux de forêts qui sévissent dans son pays seraient d’origine criminelle.
Les digues ont été ainsi ouvertes pour laisser se déverser, sur les réseaux sociaux, un flot d’accusations à l’encontre du mouvement indépendantiste kabyle, le MAK, qui serait instrumentalisé par l’ennemi ‘génétique’ des caporaux d’Alger : le Maroc.
Heureusement, les Algériens ne sont pas dupes et connaissent parfaitement la propension naturelle de leurs dirigeants à mentir et monter les uns contre les autres pour fuir leurs responsabilités.
C’est une ambiance de fin de régime qui règne en Algérie. Les populations ne font plus confiance à l’Etat et s’entraident pour éteindre les flammes et secourir les victimes.
Un sentiment de profond dégoût et de rage de moins en moins contenue taraude les Algériens. Les malades du covid étouffent dans les hôpitaux par manque d’oxygène, les autres suffoquent dans les incendies.
L’Algérie achète des bombardiers russes et des blindés pour le polisario, mais elle ne dispose pas d’un seul Canadair. Les dirigeants algériens veulent, maintenant, en louer deux, sauf que le temps que l’opération soit effectuée, il ne restera plus grand-chose à sauver.
Juste à quelques kilomètres à l’Ouest de l’Oued Isly, deux Canadairs marocains, avec des pilotes marocains expérimentés dans l’extinction des feux de forêts, qui parlent le même dialecte que les Algériens, n’attendent que de porter secours à leurs voisins, gratuitement.
Mais non ! Brûler dans la Géhenne plutôt que d’accepter la main tendue du Maroc.
Le président Tebboune ne s’est pas adressé à son peuple en ces temps de crise, il se cache pour ruminer sa haine du Maroc.
Le Général Chengriha, pour sa part, doit être trop occupé à changer de couches-culottes.
Quand aux généraux ‘retraités’, toujours en activité tapis dans l’ombre, Taoufik et Nizar, leur dépravation a gangréné même leurs racines, Kabyle pour le premier, Chaoui pour l’autre.
Tels des Néron, ils regardent leurs terres se consumer dans les flammes, holocauste présenté en contrepartie de la préservation du pouvoir.
Pendant que les dirigeants algériens restent de glace face à leur pays incendié et leurs compatriotes immolés, les Marocains ont le cœur qui brûle.